Pujols (Gironde)
Pujols est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pujols | |||||
La mairie dans le château (juillet 2014). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Libourne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Castillon-Pujols | ||||
Maire Mandat |
Delphine Condot 2020-2026 |
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Code postal | 33350 | ||||
Code commune | 33344 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pujolais | ||||
Population municipale |
526 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 48′ 28″ nord, 0° 01′ 47″ ouest | ||||
Altitude | Min. 9 m Max. 98 m |
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Superficie | 7,4 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Coteaux de Dordogne | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | communepujols33.fr/ | ||||
Géographie
Située sur un promontoire surplombant les vallées de l'Escouach et de la Dordogne, à environ 5 km à vol d'oiseau au sud (rive gauche) de cette dernière, au sud de Castillon-la-Bataille, la commune de Pujols se trouve à 49 km à l'est de Bordeaux, chef-lieu du département et à 24 km au sud-est de Libourne, chef-lieu d'arrondissement[1].
Communes limitrophes
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Les communes limitrophes en sont Mouliets-et-Villemartin au nord, Doulezon à l'est, Ruch au sud-est sur environ un kilomètre, Bossugan au sud-ouest et Saint-Pey-de-Castets à l'ouest.
Communications et transports
La principale voie de communication routière est la route départementale D 17 qui passe à moins d'un kilomètre à l'ouest du village et qui conduit vers le nord à Castillon-la-Bataille et vers le sud à Bossugan et, au-delà , à Pellegrue ; le village est traversé par la route départementale D 18 qui mène vers l'ouest à cette D 17 puis à Saint-Pey-de-Castets et vers l'ouest vers Doulezon et, au-delà , à Gensac ainsi que par la route départementale D 232 qui rejoint la D 17 au nord et au sud du village.
L'accès à la rive gauche de la Dordogne (département de la Dordogne) le plus proche est le pont dit de Castillon-la-Bataille (pont de pierre entre Mouliets-et-Villemartin et Castillon-la-Bataille), sur la route départementale D 17, distant de 5,5 km vers le nord ; le pont dit de Saint-Magne-de-Castillon (pont « Eiffel » entre Mouliets-et-Villemartin et Saint-Magne-de-Castillon), sur la route départementale D 119, distant de 6 km vers le nord-nord-ouest.
L'accès à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) le plus proche est celui de l'échangeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe à 25 km vers le nord-ouest, tandis que l'accès no 11, dit de Coutras, est distant de 28 km vers le nord et l'accès no 12, dit de Montpon, est distant de 32 km vers le nord-est.
L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 4, dit de La Réole, distant de 38 km par la route vers le sud.
La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 6,5 km vers le nord-nord-ouest, de Castillon-la-Bataille, sur la ligne Libourne - Sarlat du TER Nouvelle-Aquitaine.
Hydrographie
Les cours d'eau notables arrosant le territoire communal sont, d'une part, au sud, l'Escouach, qui fait office de limite territoriale avec la commune de Ruch, puis continue vers l'ouest vers Saint-Pey-de-Castets et Civrac-sur-Dordogne où il se jette dans la Dordogne, d'autre part, au nord, son affluent, le Romédol qui fait office de limite avec Mouliets-et-Villemartin avant de rejoindre l'Escouach sur la commune de Saint-Pey-de-Castets et, enfin, le ruisseau de Pedayne, affluent du Romédol, qui naît dans l'est de la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 809,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 41 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Pujols est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (60,7 %), terres arables (11 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %), prairies (8,3 %), forêts (5,1 %), zones urbanisées (4,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Pujols est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 1999 et 2009[23] - [21].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 324 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 324 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 6] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[28]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[29].
Toponymie
Le toponyme « Pujol », également patronyme, est assez fréquent en aires linguistiques occitane et catalane ; il s'agit d'un mot occitan issu du bas latin podiollum avec le sens de « petite colline » et dérivé lui-même du latin podium qui désigne une « console », une « élévation ». Le nom de Pujols est dû à sa situation à une centaine de mètres d’altitude.
Le nom de la commune est Pujòus en gascon.
Les habitants en sont les Pujolais[30].
Histoire
À la Révolution, la paroisse Notre-Dame de Pujols forme la commune de Pujols[31].
Le , l'amiral Charles Platon, secrétaire d'État du maréchal Pétain, est enlevé par les maquisards du 6e Bataillon FTP à son domicile de Pujols. Condamné à mort, il est exécuté le à Valojoulx[32].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2020, la commune comptait 526 habitants[Note 7], en diminution de 9,15 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Pierre construite aux XIIIe et XIVe siècles et initialement dédiée à la mère de Jésus et nommée Notre-Dame, est classée au titre des monuments historiques en 1846[38] - [39].
- L'église renferme un sarcophage chrétien datant du Moyen Âge, portant sur le flanc la sculpture d'un chrisme dans une couronne, qui est classé au tire objet des monuments historiques depuis 1903[40].
- Du château construit aux XIVe et XVe siècles ne restent que le corps de bâtiment est et le mur d'enceinte sud ; il est inscrit au titre des monuments historiques en 1925[41].
- L'église Saint-Pierre (juillet 2014).
- Le chevet de l'église (juillet 2014).
- Le sarcophage (mars 2013).
- Le chrisme du sarcophage (mars 2013).
- Le château (juillet 2014).
- La tour du château (juillet 2014).
- Le monument aux morts sur l'esplanade du Château (juillet 2014).
Personnalités liées à la commune
- Charles Platon (1886-1944), amiral vichyste, né et inhumé dans la commune
- René Audubert (1892-1957), physico-chimiste et résistant, né dans la commune
- Yves Péron (1914-1977), résistant et député communiste, inhumé dans la commune
Héraldique
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Les armes de Pujols se blasonnent ainsi : Écartelé, au premier et au quatrième d'argent à la bande d'azur, au deuxième et au troisième de gueules à la grappe de raisin tigée d'argent feuillée d'une pièce d'or. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la commune
- Pujols sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[27].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 43 km pour Bordeaux et 20 km pour Libourne. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 26 août 2014.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pujols et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Pujols et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Pujols », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pujols », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Bort-les-Orgues », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 25 août 2014.
- Historique des communes, p. 42, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 25 août 2014.
- Patrice Rolli, « L’Exécution de l’amiral Platon où les errements d’un soldat perdu », Le Périgord dans la Seconde Guerre mondiale, Chronique des années noires du Mussidanais et de l'Ouest de la Dordogne, Éditions l'Histoire en Partage, 2012.
- « Résultats départementales 2015 », sur interieur.gouv.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Classement MH de l'église Saint-Pierre », notice no PA00083689, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 24 août 2014.
- Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - pp. 224-225 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN 2-7084-0421-0).
- « Classement MH du sarcophage », notice no PM33000635, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 25 août 2014.
- « Inscription MH du château », notice no PA00083688, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 24 août 2014.