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Pellegrue

Pellegrue (Pelagrua en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pellegrue
Pellegrue
La mairie (juil. 2012).
Blason de Pellegrue
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Foyen
Maire
Mandat
José Bluteau
2020-2026
Code postal 33790
Code commune 33316
Démographie
Gentilé Pellegruens
Population
municipale
903 hab. (2020 en diminution de 15,37 % par rapport à 2014)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 44′ 39″ nord, 0° 04′ 34″ est
Altitude Min. 33 m
Max. 132 m
Superficie 38,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Pellegrue
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Pellegrue
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Pellegrue
Liens
Site web www.pellegrue.com/

    Ses habitants sont appelés les Pellegruens[1].

    Géographie

    La commune se trouve dans l'Entre-deux-Mers, à 62 km à l'est de Bordeaux, chef-lieu du département et à 41 km au nord-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement[2].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Massugas au nord-nord-est, Caplong au nord-est, Landerrouat à l'est, Esclottes (Lot-et-Garonne) à l'est-sud-est, Sainte-Colombe-de-Duras (Lot-et-Garonne) au sud-est, Dieulivol au sud, Saint-Ferme au sud-ouest, Auriolles à l'ouest, Listrac-de-Durèze à l'ouest-nord-ouest, Saint-Antoine-du-Queyret au nord-ouest, Sainte-Radegonde au nord-nord-ouest et Coubeyrac au nord.

    Communications et transports

    Les principales voies de communication routière sont la route départementale 672 qui mène vers le nord-est à Sainte-Foy-la-Grande et vers le sud-ouest à Sauveterre-de-Guyenne, la route départementale D 15 qui mène vers le nord-ouest à Castillon-la-Bataille et vers le sud-est vers Duras, la route départementale D 16 qui mène vers le nord à Pessac-sur-Dordogne et vers le sud à Monségur et la route départementale D 128e7 qui relie la commune à Massugas au nord.

    L'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est le no 4, dit de La Réole, distant de 33 km par la route vers le sud-sud-ouest.

    L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 51 km vers le sud-ouest.

    L'accès le plus proche à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est le no 12, dit de Montpon-Ménestérol, qui se situe à 35 km vers le nord.

    La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 18 km par la route vers le nord-nord-ouest, de Castillon-la-Bataille sur la ligne de Libourne-Buisson du TER Nouvelle-Aquitaine.

    Sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine, la gare la plus proche est celle, distante de 25 km par la route vers le sud-sud-ouest, de La Réole.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 818 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Lèves-et-Thoumeyragues », sur la commune des Lèves-et-Thoumeyragues, mise en service en 1984[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 827,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 34 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Pellegrue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (56 %), forêts (21 %), prairies (11,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), terres arables (1,2 %), zones urbanisées (1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Pellegrue est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[24] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pellegrue.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 546 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 546 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Histoire

    Pellegrue est une bastide du XIIIe siècle.

    Le nom de la commune qui signifie colline aux grues (pella grua) proviendrait de ce qu'un groupe de grues se reposant à proximité du village aurait été dérangé par des brigands s'apprêtant à l'investir de nuit et, en prenant son essor, aurait réveillé les habitants qui auraient ainsi pu défendre leurs biens[27].

    À la Révolution, les paroisses Saint-André, Saint-Pierre de Genas, Notre-Dame de Lareyre, Saint-Blaise d'Esclottes, Saint-Laurent de Cervolle et son annexe, Saint-Martin de Cervolle, forment la commune de Pellegrue[28].

    Héraldique

    Blason de Pellegrue

    « D'azur à la grue d'argent tenant sa vigilance du même. »

    Ce blason était aussi celui du cardinal Arnaud de Pellegrue, né au château de la Mothe Pellegrue (ancien diocèse de Bazas), qui fut préalablement vicaire général à Bordeaux.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    ca 1958 ? Georges Faure Rad. Conseiller général du canton de Pellegrue (1968-1974)
    1972 juin 1995 André Goudard[29] Apparenté PCF Conseiller général du canton de Pellegrue (1973-1988)
    juin 1995 mars 2001 …
    mars 2001 En cours José Bluteau[30] DVD puis MoDem[31] Artisan
    Conseiller général du canton de Pellegrue (2008-2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Le , la Communauté de communes du Pays de Pellegrue ayant été supprimée, la commune de Pellegrue s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du pays Foyen siégeant à Pineuilh.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33]. En 2020, la commune comptait 903 habitants[Note 6], en diminution de 15,37 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5001 8822 0851 8601 8571 7761 8401 7121 738
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7141 6781 7071 6751 6221 5591 4631 3431 431
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5241 5941 5121 4061 5141 5511 4781 4931 516
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 4381 3431 1441 0651 0469791 0301 043991
    2015 2020 - - - - - - -
    1 098903-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-André.
      L'église Saint-André.
    • Façade occidentale de l'église (juil. 2012).
      Façade occidentale de l'église (juil. 2012).
    • Le château du Puch de Gensac.
      Le château du Puch de Gensac.
    • La halle (juil. 2012).
      La halle (juil. 2012).
    • Pèlerin dans une ruelle (août 2008).
      Pèlerin dans une ruelle (août 2008).
    • Lavoir communal (juil. 2012).
      Lavoir communal (juil. 2012).
    • Le monument aux morts sur l'ancienne place du Foirail (juil. 2012).
      Le monument aux morts sur l'ancienne place du Foirail (juil. 2012).
    • Église Saint-Laurent de Saint-Laurent
      Église Saint-Laurent de Saint-Laurent
    • Marché couverte vers 1905
      Marché couverte vers 1905
    • Châtea Boirac
      Châtea Boirac
    • Château Laforest
      Château Laforest
    • Château Lugagnac
      Château Lugagnac

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 15 juillet 2012.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 52,4 km pour Bordeaux et 33,3 km pour Langon. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 15 juillet 2012.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Les Lèves-et-Thoumeyragues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Pellegrue et Les Lèves-et-Thoumeyragues », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Les Lèves-et-Thoumeyragues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Pellegrue et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Pellegrue », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pellegrue », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    27. Histoire et patrimoine sur le site officiel de la commune, consulté le 15 juillet 2012.
    28. Historique des communes, p. 39, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 8 avril 2013.
    29. [PDF] Éditorial du maire (José Bluteau) du 20 août 2008, consulté le 9 juillet 2014.
    30. Commune de Pellegrue sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 15 juillet 2012.
    31. José Bluteau rejoint Xavier Loriaud au MoDem
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Inscription de l'église », notice no PA00083655, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 15 juillet 2012.
    37. « Inscription du château », notice no PA00132749, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 15 juillet 2012.
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