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Doulezon

Doulezon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Doulezon
Doulezon
La mairie (juillet 2014).
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes Castillon-Pujols
Maire
Mandat
Christian Bourdier
2020-2026
Code postal 33350
Code commune 33153
DĂ©mographie
Gentilé Doulezonnais
Population
municipale
263 hab. (2020 en augmentation de 3,54 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 36 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 47â€Č 35″ nord, 0° 00â€Č 15″ ouest
Altitude Min. 26 m
Max. 112 m
Superficie 7,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton des Coteaux de Dordogne
LĂ©gislatives DixiĂšme circonscription
Localisation
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Doulezon
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Doulezon
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Doulezon
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Doulezon

    GĂ©ographie

    SituĂ©e Ă  environ 5 km Ă  vol d'oiseau au sud (rive gauche) de la Dordogne, entre Pujols et Pessac-sur-Dordogne, la commune de Doulezon se trouve Ă  52 km Ă  l'est de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă  22,8 km au sud-est de Libourne, chef-lieu d'arrondissement, et Ă  3,5 km au sud-est de Pujols, chef-lieu de canton[1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Mouliets-et-Villemartin au nord sur un peu plus de 500 mÚtres, Sainte-Radegonde au nord-est, Pellegrue à l'est, en quadripoint (point de la surface de la Terre qui touche quatre régions distinctes), Saint-Antoine-du-Queyret au sud-est, Ruch au sud-ouest et Pujols à l'ouest.

    Le quadripoint oĂč se rejoignent les communes de Doulezon, Sainte-Radegonde, Saint-Antoine-du-Queyret et Pellegrue se trouve au cƓur d'une forĂȘt.

    Voies de communication et transports

    La principale voie de communication routiÚre est la route départementale D 18 qui passe à environ 500 mÚtres au nord du village et qui conduit vers l'ouest-nord-ouest à Pujols et au-delà, plus au nord, à Castillon-la-Bataille et vers le ouest-nord-ouest à Gensac et, plus au nord, à Pessac-sur-Dordogne ; le village est traversé par la route départementale D 21 qui mÚne à cette D 18 vers le nord et vers le sud à Saint-Antoine-du-Queyret.
    L'accĂšs, par la route, Ă  la rive gauche de la Dordogne (dĂ©partement de la Dordogne) peut se faire soit au pont de Castillon-la-Bataille sur la route dĂ©partementale D 17 distant de 8,5 km vers le nord-ouest, soit Ă  celui de Pessac-sur-Dordogne sur la route dĂ©partementale D 16 distant de 10 km vers le nord-est.
    L'accĂšs Ă  l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) le plus proche est celui de l'Ă©changeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe Ă  28 km vers le nord-ouest, tandis que l'accĂšs no 11, dit de Coutras, est distant de 31 km vers le nord et l'accĂšs no 12, dit de Montpon, est distant de 32 km vers le nord-est.
    L'accĂšs Ă  l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 4, dit de La RĂ©ole, distant de 36 km par la route vers le sud.

    La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 10 km vers le nord-nord-ouest, de Castillon-la-Bataille, sur la ligne Libourne - Sarlat du TER Nouvelle-Aquitaine.

    Hydrographie

    Les cours d'eau notables arrosant le territoire communal sont, d'une part, au sud, l'Escouach, nĂ© dans la commune voisine de Saint-Antoine-du-Queyret, qui fait office de limite entre les communes de Doulezon et de Ruch, puis continue vers l'ouest vers Pujols, Saint-Pey-de-Castets et Civrac-sur-Dordogne oĂč il se jette dans la Dordogne et d'autre part, au nord, son affluent, le RomĂ©dol qui naĂźt en limite des communes de Doulezon et de Sainte-Radegonde, fait office de limite entre ces deux communes, traverse la pointe nord du territoire communal et continue vers l'ouest, entre Pujols et Mouliets-et-Villemartin, jusqu'Ă  rejoindre l'Escouach sur la commune de Saint-Pey-de-Castets.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 827 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[10] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 809,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le dĂ©partement de la Dordogne, mise en service en 1988 et Ă  39 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Doulezon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (89,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (70,5 %), prairies (13 %), forĂȘts (10,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,3 %), terres arables (2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Doulezon est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2005 et 2009[25] - [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Doulezon.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 153 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 153 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

    Toponymie

    Le nom de la commune de Doulezon provient sans doute du nom d’une villa gallo-romaine, la villa Dolatius, propriĂ©tĂ© de Dolus, ou peut-ĂȘtre du celtique dol qui signifie « eau »[28].

    Le nom de la commune est Doleson en gascon.

    Histoire

    Le site de Doulezon se rĂ©vĂšle ĂȘtre, depuis toujours, non seulement propice Ă  la culture puisque situĂ© dans le bassin formĂ© par l'Escouach et son affluent, le RomĂ©dol, mais encore un lieu d’habitation aisĂ© Ă  dĂ©fendre. C'est durant la pĂ©riode gallo-romaine que le coteau se couvre de vignes et que la viticulture devient la principale activitĂ© du village qui va se dĂ©velopper rapidement.
    De cette Ă©poque, Doulezon conserve une importante villa gallo-romaine qui s’étend sur prĂšs de trois hectares. Elle est mise au jour en 1972. Un hypocauste (chauffage par le sol), aujourd'hui recouvert, y est dĂ©gagĂ©, attestant la prĂ©sence de thermes[28].

    Au Moyen Âge (VIe-XIIe siĂšcles), Doulezon se dote d’une Ă©glise dĂ©pendant de la grande abbaye de La Sauve-Majeure et la paroisse s’agrandissant peu Ă  peu, elle devient un prieurĂ© au XVe siĂšcle[28].

    À la RĂ©volution, la paroisse Notre-Dame de Doulezon forme la commune de Doulezon[29].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2008 mars 2014 Annie Galineau
    mars 2014 En cours Christian Bourdier Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Aucun jumelage n'a existé, n'existe ou n'est prévu pour la commune.

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants sont appelés les Doulezonnais[30].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[32].

    En 2020, la commune comptait 263 habitants[Note 6], en augmentation de 3,54 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    499482453487429457445422442
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    409377325330355332310306361
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    404392418383393393376379375
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    314327225183212230246248262
    2017 2020 - - - - - - -
    265263-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune, dépendant de l'académie de Bordeaux, héberge un seul établissement scolaire, une école maternelle qui accueille 24 élÚves (année scolaire 2014-2015)[35].

    Le collÚge auquel la commune est rattachée est le collÚge AliÚnor-d'Aquitaine de Castillon-la-Bataille[36].

    Le lycĂ©e auquel la commune est rattachĂ©e est le lycĂ©e ÉlysĂ©e-Reclus de Sainte-Foy-la-Grande[37].

    Économie

    L'activitĂ© principale des entreprises et des salariĂ©s de la commune relĂšve du secteur primaire et essentiellement de l'agriculture, de la sylviculture et de la pĂȘche.

    Établissements actifs par secteur d'activitĂ© au 31 dĂ©cembre 2011[38] Postes salariĂ©s par secteur d'activitĂ© au 31 dĂ©cembre 2011[38]
    Secteur d'activitéNbre d'entreprisesPourcentage0 salarié1 à 9 salarié(s)10 à 19 salariés Nbre salariésPourcentage1 à 9 salarié(s)10 à 19 salariés
    Agriculture, sylviculture et pĂȘche 17 54,8 12 4 1 19 70,4 9 10
    Industrie 1 3,2 1 0 0 0 0,0 0 0
    Construction 6 19,4 5 1 0 4 14,8 4 0
    Commerce, transports, services divers 5 16,1 5 0 0 0 0,0 0 0
    Administration publique, enseignement, santé, action sociale 2 6,5 0 2 0 4 14,8 4 0
    Totaux 31 100,0 23 7 1 27 100,0 17 10

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Notre-Dame (juillet 2014).
      L'Ă©glise Notre-Dame (juillet 2014).
    • Le chevet de l'Ă©glise (juillet 2014).
      Le chevet de l'Ă©glise (juillet 2014).
    • Le monument aux morts contre le mur de l'Ă©glise (juillet 2014).
      Le monument aux morts contre le mur de l'Ă©glise (juillet 2014).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 45,3 km pour Bordeaux, 27 km pour Libourne et 2,8 km pour Pujols. DonnĂ©es fournies par Lion1906.com, consultĂ© le 23 aoĂ»t 2014.
    2. Doulezon sur Géoportail, consulté le 21 mai 2015.
    3. Doulezon sur Géoportail, consulté le 21 mai 2015.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Doulezon et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Doulezon et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Doulezon », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Doulezon », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    28. Doulezon sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 25 août 2014.
    29. Historique des communes, p. 19, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 29 août 2014.
    30. Nom des habitants de la commune sur Habitants.fr, consulté le 25 août 2014.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. L'Ă©cole maternelle de Doulezon sur le site de l'Éducation nationale, consultĂ© le 25 aoĂ»t 2014.
    36. [PDF] Secteurs des collÚges, p. 3, sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 25 août 2014.
    37. [PDF] Lycées d'enseignement général & techologique, p. 3, sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 25 août 2014.
    38. Chiffres clés caractéristiques des entreprises et des établissements pour la commune de Doulezon en 2011, consulté le 22 août 2014.
    39. « Notice MH de l'église Saint-Vincent », notice no PA00083540, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consulté le 17 août 2014.
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