Pronleroy
Pronleroy est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Prompeloniens et les Prompeloniennes.
Pronleroy | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Plateau Picard | ||||
Maire Mandat |
Bruno Rabussier 2020-2026 |
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Code postal | 60190 | ||||
Code commune | 60515 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Prompeloniens, Prompeloniennes | ||||
Population municipale |
374 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 42 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 28′ 17″ nord, 2° 32′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 76 m Max. 130 m |
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Superficie | 8,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Estrées-Saint-Denis | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.pronleroy.com | ||||
Géographie
Pronleroy est une commune située à 70 km au nord de Paris, 34 km à l'est de Beauvais, 21 km à l'ouest de Compiègne et à 51 km au sud d'Amiens[1].
Topographie et géologie
Pronleroy forme un territoire d'étendue généralement plane située sur le plateau Picard.
Culminant à 130 mètres au sud-ouest, il est entaillé de quelques vallées sèches à pente douce formant les seuls éléments de reliefs. La vallée Vivevot puis le fond des Nœuds forment avec le fond de la Payelle la vallée des Nœuds au nord de la commune, où se situe le point le plus bas à 76 mètres d'altitude.
Le village se trouve entre 90 et 120 mètres au-dessus du niveau de la mer tandis que le bois de Pronleroy culmine à 121 mètres[2].
La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à -dire faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].
Hydrographie
La commune n'est traversée par aucun cours d'eau permanent. Les vallées sèches de ruissellements sont orientées vers le bassin versant de l'Aronde[2] et sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4]
Deux étangs ont été creusés dans le bois de Pronleroy.
Un château d'eau et une station de pompage des eaux y ont été construits et sont gérés par le syndicat intercommunal d'adduction en eau potable de Pronleroy-Cressonsacq-Grandvillers-aux-Bois-Rouvillers[5]
Voies de communications et transports
La commune est traversée par quatre routes départementales : la RD 36, la RD 127, la RD 528 et la RD 529. La route départementale 36, de Jaux à Saint-Just-en-Chaussée est le principal axe de circulation permettant d'accéder à l'agglomération de Compiègne, la plus proche. Elle traverse le territoire d'est en ouest par la rue des Fontaines, la Grande Rue et la rue Charles-Follet. La route départementale 127, reliant Fitz-James à Montiers traverse le nord de la commune par la vallée des Nœuds. Deux route départementales se détachent de la D 36 dans le village : la RD 528 vers La Neuville-Roy et la RD 529 vers Léglantiers. Une route communale se dirige également vers Trois-Étots puis Cernoy[2].
Les gares SNCF les plus proches sont celles d'Estrées-Saint-Denis à 8 km au sud-est sur la ligne d'Amiens à Compiègne et de Saint-Just-en-Chaussée à 9 kilomètres au nord-ouest sur la ligne Paris-Nord - Lille[1].
La commune est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par deux lignes de car départementaux (ligne 47 de Saint-Just-en-Chaussée à Compiègne et ligne C2 de Cauvigny à Fournival) ainsi que par une ligne de transport scolaire vers le collège de Saint-Just-en-Chaussée[6]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des 8 points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[7]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal a été mise en place avec les communes voisines de Léglantiers et de Montiers[8].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 32 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 52 km au sud[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[15] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[16] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 32 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[19] à 10,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels
Hormis les espaces bâtis couvrant 24 hectares soit 3 % de la surface communale, le territoire comprend 82 % d'espaces cultivés sur 737 hectares ainsi que 14 hectares de vergers et de prairies. Les surfaces boisées, correspondant au bois de Pronleroy et aux divers bosquets disséminés sur le territoire s'étendent sur 124 hectares soit 14 % du terroir[22] - [2]. Ce dernier constitue une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[23].
Urbanisme
Typologie
Pronleroy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [24] - [25] - [26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27] - [28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82 %), forêts (12,9 %), zones urbanisées (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].
Hameaux et lieux-dits
La totalité de l'espace bâti se situe dans le village[2].
Toponymie
Durant la Révolution française, la commune porte le nom de Pron-l'Oise[31].
Ses habitants sont appelés les Prompeloniens[32].
Histoire
Le village par lui-même commence à être habité au Moyen Âge, en témoigne la présence d'un sarcophage en plâtre découvert lors des fouilles archéologiques effectuées autour du clocher. Cet élément serait de l'époque mérovingienne (années 500 à 800).
Au bas Moyen Âge, le village dépend initialement du comté de Clermont, et est donné en partie à l'abbaye Notre-Dame de Breteuil en 1035 par Guildin comte de Clermont.
Au XVIe siècle, la seigneurie de Pronleroy passa dans les mains de la famille de Lancry, par le mariage d'Antoinette Herault, dame de Pronleroy et de Riffard, avec Jean IV de Lancry écuyer seigneur de Bains, et Boulogne la Grace. La famille Lancry s'illustre par de nombreux militaires. En 1806, madame de Lancry de Pronleroy donna un exemple utile en se soumettant elle et ses jeunes enfants, au procédé de la vaccination contre la variole, en présence d'une nombreuse assemblée. Les Lancry, pour ne pas réduire ses ouvriers au chômage, fit continuer le travail, s'endetta, fit des emprunts onéreux, et finalement, pour faire honneur à ses engagements, dût vendre toutes ses propriétés de Pronleroy.
- Selon la plupart des sources, la Grande Jacquerie, révolte paysanne, éclate le 28 mars 1358, jour de la Fête-Dieu, à Ponleroi [33](aujourd'hui Pronleroy)[34] - [35] ainsi que dans les environs de Saint-Leu-d'Esserent. Les origines immédiates de cette révolte sont mal connues mais semblent résulter d'échauffourées entre nobles et paysans ou d'une résistance victorieuse d'un groupe de paysans contre des nobles locaux. Les grandes compagnies, lorsqu'elles ne guerroient pas pour l'un ou l'autre des partis, rançonnent le pays. Au-delà , la pression fiscale, due au versement de la rançon du roi, et la mévente des productions agricoles placent les paysans dans une situation intolérable. Étienne Marcel entretient sciemment l'agitation à son profit. Le dauphin Charles, parvenu à s'enfuir de la capitale, convoque les états généraux à Compiègne. Et gagne à sa cause les villes d'Île de France. Mais les dés sont joués
- Étienne Marcel se compromet par son alliance avec Charles II le Mauvais. Les bourgeois, devant le mécontentement de la population, se tournent alors vers le parti loyaliste de Jean Maillard. Alors qu'il essaie de faire entrer Charles II le Mauvais dans Paris au milieu de la nuit, Étienne Marcel est surpris par l'échevin Jean Maillard, qui l'exécute le 31 juillet 1358, devant la Porte Saint-Antoine. Dans les jours qui suivent, ses partisans sont mis à mort. Le dauphin est rentre triomphalement à Paris deux jours plus tard. Charles le Mauvais, voyant la situation se retourner, opère un nouveau renversement d'alliance et va écraser la jacquerie dans le sang à Mello. La dernière rencontre entre les Jacques et les seigneurs a lieu entre Nointel et Catenoy, au lieu-dit le Champ de Bataille : Guillaume Cale a la tête tranchée sur la grand-place de Clermont et 3 bourgeois, Pierre le Cirier, Jean Alliaume et Henri du Breuil, reçoivent des lettres de rémission pour avoir pillé pendant cette période le château d'Ermenonville[36].
- Première Guerre mondiale
Le , le général Mangin établit son quartier général à Pronleroy. À 16 h, il réunit ses divisionnaires et leur donne connaissance de l'ordre 9051 qui stipule la contre-attaque de Méry Courcelles aura lieu le plus tôt possible dans la journée du . La bataille aura une direction est-ouest. Quatre divisions sont engagées : la 129e division d'infanterie qui a pour objectif le Grand Bois, la 133e ferme du Moulin, la 165e : Belloy Lataule et la 48e Saint Maur. Les chars seront échelonnés en profondeur et partiront derrière l'infanterie et tâcheront de la rattraper au plus tôt. Mangin dessine sur le boulier de la salle de billard du château un croquis avec des flèches qui pénètrent au flanc de la poche ennemie.
- Seconde Guerre mondiale
Durant la Seconde Guerre mondiale en 1940, un combat aérien se déroule dans le secteur de Pronleroy et Angivillers. Le commandant Maurice Arnoux est abattu sur la route d'Angivillers au lieu-dit les Grès à bord de son Maurane Saulnier 406 par des chasseurs allemands Messerschmitt 109 E3. De l'occupation allemande, le village est libéré le . Une cloche nommée Jacqueline Thérèse Marie de la Délivrance salue cet événement.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1803 du canton de Saint-Just-en-Chaussée[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton d'Estrées-Saint-Denis.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, créée fin 1999.
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].
En 2020, la commune comptait 374 habitants[Note 8], en diminution de 4,35 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 193 hommes pour 186 femmes, soit un taux de 50,92 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI), qui regroupe La Neuville-Roy, Léglantiers, Pronleroy, Wacquemoulin et Montiers et est géré par le syndicat scolaire « Les Hirondelles[46] », et qui, en 2018, accueille 270 écoliers scolarisés dans onze classes de double niveau réparties dans quatre écoles. Soixante enfants sont accueillis dans deux structures périscolaires, à La Neuville- Roy et Léglantiers.
Le syndicat scolaire a décidé de réaliser une école unique pour les 5 villages, constituant donc un regroupement pédagogique concentré (RPC) à La Neuville-Roy comprenant notamment 12 salles de classe, deux salles de repos, des locaux administratifs, ainsi que des espaces mutualisés comme la bibliothèque, une salle périscolaire, une salle de motricité. La cantine est prévue pour accueillir 50 couverts dans deux salles et jusqu’à 200 convives en deux services.
Ce projet, envisagé dès 2006[47], voit le début de la construction en pour une livraison escomptée fin 2019.
Le coût du projet conçu par Christophe Giraud et Christophe Fournier, du cabinet ADD d’Ons-en-Bray, est évalué à 5,2 millions d’euros, financé par une subvention départementale de 1,78 M€, l’État (1,1 million d’euros), le conseil régional (675 767 €) et la CAF de l’Oise (90 000 €)[48] - [49].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Pronleroy compte deux monuments inscrits ou classés à l'inventaire des monuments historiques :
- Église Saint-Fiacre (XVIe siècle) : construite au XIIe siècle, elle reconstruite au XVIe au elle se trouve à côté du clocher restant de l'ancienne église. Elle fut inscrite monument historique en 1949[50].
- Château du XVIIIe siècle, construit vers 1750 : la grille, l'avenue, les communs, le pigeonnier et le château sont inscrits monument historique depuis 1949[51].
- L'église paroissiale.
- L'église et le cimetière qui l'entoure.
- La grille du château.
- Plaque apposée au château.
On peut également noter :
- Monument aux morts[52].
Personnalités liées à la commune
Laurent Boutonnat, compositeur, réalisateur et mentor de Mylène Farmer habite à Pronleroy depuis les années 2000. Il vit avec sa compagne et ses chiens dans une magnifique demeure que certains fans de la chanteuse imaginent être le château de la ville d'après certaines images parues dans un magazine russe.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 29 mai 2017)..
- « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Pronleroy », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
- « Syndicat intercommunal d'adduction en eau potable », sur www.pronleroy.com (consulté le ).
- « Transports en commun à Pronleroy (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
- « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- « Navette de regroupement pédagogique intercommunal », sur Oise mobilité (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Pronleroy (60190) », sur https://monumentsmorts.univ-lille.fr, (consulté le ).