Grandvillers-aux-Bois
Grandvillers-aux-Bois est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Eutropiens et les Eutropiennes en hommage à saint Eutrope, patron du village.
Grandvillers-aux-Bois | |||||
Église Saint-Eutrope. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Plateau Picard | ||||
Maire Mandat |
Bertrand Candelot 2020-2026 |
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Code postal | 60190 | ||||
Code commune | 60285 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Eutropiens | ||||
Population municipale |
304 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 27′ 27″ nord, 2° 36′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 63 m Max. 99 m |
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Superficie | 6,63 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Estrées-Saint-Denis | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.grandvillersauxbois-beaupuits.fr | ||||
Géographie
Localisation
Grandvillers-aux-Bois est une commune située à 69 km au nord de Paris, 38 km à l'est de Beauvais, 17 km à l'ouest de Compiègne et à 54 km au sud d'Amiens[1].
Topographie et géologie
Grandvillers-aux-Bois est une commune de transition entre la plaine d'Estrées et le plateau Picard, d'étendues planes. Ce dernier est parcouru par plusieurs vallées sèches : la fosse Quette et la vallée à Fromages à l'ouest convergent vers la vallée sinueuse de Grandvillers. Elle se prolonge au nord par la vallée de Beaupuits au niveau du hameau éponyme où se trouve le point le plus bas du territoire à 63 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le terroir culmine à 99 mètres au sommet de la fosse Quette, tandis que le chef-lieu et le hameau de Beaupuits se trouvent respectivement à 80 et 70 mètres. Plusieurs bornes géodésiques ont été implantées, la première à 92 mètres sur la route de Cressonsacq au sud-ouest et la seconde à l'arbre des Pauvres à l'est à 91 mètres d'altitude[2].
La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].
Hydrographie
La commune n'est traversée par aucun cours d'eau permanent. Les talwegs orientent les ruissellements vers le bassin versant de l'Aronde situé au nord[2]. La vallée de Beaupuits est située au-dessus d'une nappe phréatique sous-affleurante[4].
Voies de communications, transports et liaisons douces
La commune est traversée par trois routes départementales : la D 36, la D 531 et la D 531E. La principale voie de communication est la route départementale 36 reliant Jaux à Saint-Just-en-Chaussée traversant le village par la rue du bois de Coupelle. Elle permet d'accéder aux agglomérations d'Estrées-Saint-Denis et de Compiègne, les plus proches par la commune voisine de Rouvillers. La D 531 se détache de la D 36 au niveau du cimetière, passe sur la place de l'église rejoint Moyenneville en passant par la rue Saint-Lucien au hameau de Beaupuits. La D 531E se détache de la D 531 à Beaupuits par la rue de l'Épine et se dirige vers La Neuville-Roy[2].
La gare SNCF la plus proche est celle d'Estrées-Saint-Denis à 4 km à l'est sur la ligne d'Amiens à Compiègne[1]. De 1891 à 1948, la commune était traversée par la ligne à voie métrique Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand. L'ancienne gare, au hameau de Beaupuits subsiste toujours aujourd'hui.
La commune est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par la ligne 47 reliant Compiègne à Saint-Just-en-Chaussée et par deux lignes de transports scolaires vers les établissements de l'agglomération de Clermont ainsi que vers le collège d'Estrées-Saint-Denis[5] - [6]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des huit points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[7]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal relie le village au groupe scolaire de Bailleul-le-Soc, avec les communes de Cressonsacq et Rouvillers[8] - [9].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 36 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 51 km au sud[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[16] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[17] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 36 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[20] à 10,6 °C pour 1981-2010[21], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[22].
Milieux naturels
Hormis les espaces bâtis couvrant 20 hectares soit 3 % de la surface communale, le territoire comprend 96 % d'espaces cultivés sur 631 hectares ainsi que 2,4 hectares de vergers et de prairies. Les quelques larris boisés autour de Beaupuits, seuls éléments boisés, s'étendent sur 6,4 hectares soit 1 % du terroir[23] - [2].
Urbanisme
Typologie
Grandvillers-aux-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [24] - [25] - [26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[27] - [28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].
En 2020, la commune comptait 304 habitants[Note 8], en diminution de 4,7 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 156 hommes pour 153 femmes, soit un taux de 50,49 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
En matière d'enseignement primaire, les enfants sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal associant les communes de Bailleul-le-Soc,Cressonsacq, Rouvillers et Grandvillers-aux-Bois, dans lequel chaque village conserve son école.
En , 150 élèves fréquentent le regroupement. Une cantine a été créée ainsi qu'une bibliothèque, une salle informatique et une salle d'accueil périscolaire[39].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Eutrope : elle possède des fonts baptismaux du XIe siècle.
- Chapelle Saint-Lucien de Beaupuits : bâtie à côté d’un monastère, elle a subi quelques transformations depuis sa construction, notamment la construction d'un clocher. Celui-ci date du début du XXe siècle. Autrefois, le bas de ce dernier était fermé par des portes et servait d’entrepôt pour les pompiers. Dans les années 1970, les portes furent supprimées et un arrêt de bus a été aménagé.
- Ancien moulin à vent en ruines, entre le village et Beaupuits
- L'Arbre des Pauvres : Il est situé sur un point stratégique (point culminant où les troupes françaises et allemandes envoyaient les éclaireurs pendant la Première Guerre mondiale) à la croisée de plusieurs chemins. Les « anciens » des villages voisins avaient l’habitude de se retrouver pour discuter sous cet arbre.
- Site archéologique au lieu-dit la Sente du Moulin
- Ancienne distillerie de Beaupuits
- Ancienne gare de Beaupuits
- Monument aux morts, dans le cimetière de Beaupuits
- Calvaire, à l’intersection de la D 36 et la rue du Calvaire.
- Croix, le long de la D 531, en sortie du village
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 31 mai 2017)..
- « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Grandvillers-aux-Bois », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur www.inondationsnappes.fr (consulté le ).
- « Ligne 47 à Grandvillers-aux-Bois », sur Oise mobilité (consulté le ).
- « Lignes de transports scolaires à Grandvillers-aux-Bois », sur Oise mobilité (consulté le ).
- « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- « Navette de regroupement pédagogique intercommunal 1er car », sur Oise mobilité (consulté le ).
- « Navette de regroupement pédagogique intercommunal 2e car », sur Oise mobilité (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Grandvillers-aux-Bois et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Grandvillers-aux-Bois et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
- « Grandvillers-aux-Bois », Cartes de France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Grandvillers-aux-Bois (60285) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Sylvie Molines, « Terminée la cantine à la salle des fêtes : Les élèves disposent désormais d'une salle de restauration. Mais aussi d'un périscolaire », Courrier picard, édition Oise, , p. 12.