LĂ©glantiers
Léglantiers est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
LĂ©glantiers | |||||
L'Ă©glise Saint-Ăloi. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Plateau Picard | ||||
Maire Mandat |
Julien Bonnement 2020-2026 |
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Code postal | 60420 | ||||
Code commune | 60357 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
551 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 29âČ 48âł nord, 2° 32âČ 07âł est | ||||
Altitude | Min. 77 m Max. 122 m |
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Superficie | 7,78 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton d'Estrées-Saint-Denis | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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GĂ©ographie
Localisation
Village rural du plateau picard, situé entre Clermont et Montdidier.
Hydrographie
Il n'existe pas de cours d'eau dans le territoire communal.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[7] et qui se trouve Ă 10 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 700,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă 31 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Léglantiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (88,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (88,2 %), forĂȘts (8 %), zones urbanisĂ©es (3,8 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Histoire
De 1891 Ă 1948, le village a Ă©tĂ© desservi par la ligne Ă EstrĂ©es-Saint-Denis - Froissy - CrĂšvecĆur-le-Grand, une ligne de chemin de fer secondaire Ă voie mĂ©trique du rĂ©seau des chemins de fer dĂ©partementaux de l'Oise. L'ancienne gare subsiste toujours aujourd'hui.
à la fin de la PremiÚre Guerre mondiale, le village est traversé, notamment le , par des chars Schneider CA1 français montant au front[21] - [22].
Lors de la Seconde Guerre mondiale, le bombardier Martin B-26 Marauder no 42-96058 du 394th Bomb Group de l'United States Air Force (9th Air Force - 585th Bomb Squadron) basĂ© Ă Boreham, dans lâEssex, de retour d'une mission de bombardement le sur le nĆud ferroviaire de Creil prĂ©parant le DĂ©barquement de Normandie, est abattu au-dessus du village[23].
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la premiÚre circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Maignelay-Montigny[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le commune intÚgre le canton d'Estrées-Saint-Denis.
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté de communes du Plateau Picard, créée fin 1999.
Liste des maires
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[31].
En 2020, la commune comptait 551 habitants[Note 8], en diminution de 1,78 % par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 42,6 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 15,9 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 290 hommes pour 261 femmes, soit un taux de 52,63 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI), qui regroupe La Neuville-Roy, Léglantiers, Pronleroy, Wacquemoulin et Montiers et est géré par le syndicat scolaire « Les Hirondelles[35] », et qui accueille en 2018 270 écoliers scolarisés dans 11 classes de double niveaux réparties dans quatre écoles. Soixante enfants sont accueillis dans deux structures périscolaires, à La Neuville- Roy et Léglantiers.
Le syndicat scolaire a dĂ©cidĂ© de rĂ©aliser une Ă©cole unique pour les 5 villages, constituant donc un regroupement pĂ©dagogique concentrĂ© (RPC) Ă La Neuville-Roy comprenant notamment 12 salles de classe, deux salles de repos, des locaux administratifs, ainsi que des espaces mutualisĂ©s comme la bibliothĂšque, une salle pĂ©riscolaire, une salle de motricitĂ©. La cantine est prĂ©vue pour accueillir 50 couverts dans deux salles et jusquâĂ 200 convives en deux services.
Ce projet, envisagé dÚs 2006[36], voit le début de la construction en pour une livraison escomptée fin 2019.
Le coĂ»t du projet conçu par Christophe Giraud et Christophe Fournier, du cabinet ADD dâOns-en-Bray, est Ă©valuĂ© Ă 5,2 millions dâeuros, financĂ© par une subvention dĂ©partementale de 1,78 MâŹ, lâĂtat (1,1 million dâeuros), le conseil rĂ©gional (675 767 âŹ) et la CAF de lâOise (90 000 âŹ)[37] - [38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Ăloi (XVe siĂšcle) : le chĆur et le clocher sont inscrits monument historique depuis 1927[39]. Ă la suite de l'affaissement de la voĂ»te de lâĂ©difice et Ă de dangereuses chutes de pierres, l'Ă©glise est fermĂ©e en 2001, et fait l'objet d'une restauration qui permet sa rĂ©ouverture en 2015[40].
Personnalités liées à la commune
- François Anne Joseph Meurine, député du tiers état entre 1789 et 1791, né et mort dans la commune.
- Maurice André Bonnement, maire de la commune pendant 42 ans et président du club de football pendant de nombreuses années. Stanislas Pediac, maire de la commune avec trois mandats consécutifs et maire honoraire actuel.
- L'Ă©quipage du âMarauderâ no 42-96058 abattu le au-dessus du village : le Capitaine Joy, le 2nd Lt Johnson et le S/Sgt Maynard, blessĂ©s, sont capturĂ©s par les Allemands et lâopĂ©rateur-radio S/Sgt Louis I. Watts, le navigateur/bombardier Sgt William L. Edge et le mitrailleur arriĂšre le soldat Joseph J. Houlihan ont Ă©tĂ© aidĂ©s par la population pour s'Ă©vader de France[23].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Léglantiers sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Léglantiers (60357) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Léglantiers et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Léglantiers et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Section photographique de l'armée, « Photo : Léglantiers. Petit char d'assaut Schneider montant en ligne », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - BibliothÚque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Léglantiers. Petit char d'assaut Schneider montant en ligne », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - BibliothÚque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- « 10 mai 1944 - Martin B-26 âMarauderâ # 42-96058 - 394th Bomb Group - 585th Bomb Squadron - 9th Air Force - LĂ©glantiers (Oise) », Aviateurs, sur 2017, Association des Sauveteurs d'Aviateurs AlliĂ©s (consultĂ© le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- « Les maires de Léglantiers », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Scrutins Ă LĂ©glantiers et Avrechy dimanche », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
- « Julien Bonnement Ă©lu maire », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Ils sont vos nouveaux Ă©lus », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Clermont, no 3283,â , p. 20.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de LĂ©glantiers (60357) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
- Site du SIRS Les Hirondelles
- « Un projet de regroupement scolaire », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Câest parti pour la future Ă©cole de la Neuville-Roy », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- CĂ©line Sol, « La premiĂšre pierre est posĂ©e : LâĂ©cole ouvrira fin 2019 : Cinq communes se sont unies pour construire un groupe scolaire de plus de 2 200 mĂštres carrĂ©s », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Clermont, no 3520,â , p. 15.
- « Ăglise Saint-Ăloi », notice no PA00114728, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- « Et lâĂ©glise reprit vie⊠: FermĂ©e au public depuis 2001, lâĂ©glise Saint-Ăloi sâapprĂȘte Ă reprendre vie grĂące aux efforts conjuguĂ©s de lâassociation de sauvegarde et de la mairie », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Léglantiers (60420) », Les monuments aux morts - France, Belgique et autres pays, (consulté le ).