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Angivillers

Angivillers est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Angivillers
Angivillers
Calvaire avec la mairie en arrière-plan.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Elisabeth Van de Weghe
2020-2026
Code postal 60130
Code commune 60014
Démographie
Population
municipale
166 hab. (2020 en diminution de 7,78 % par rapport à 2014)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 13″ nord, 2° 30′ 08″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 151 m
Superficie 6,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Angivillers
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Angivillers
Liens
Site web https://angivillers.fr/

    Géographie

    Description

    Angivillers est un village rural du Plateau picard situé à km au sud-est de Saint-Just-en-Chaussée, 13 km au nord-est de Clermont (Oise), 24 km au nord-ouest de Compiègne et {{>Unité|19|km}} au sud de Montdidier (Somme). Il est aisément accessible par l'ancienne route nationale 16 (actuelle RD 916).

    La commune a une superficie de 627 ha et une altitude d'environ 120 m et était décrite de la manière suivante au milieu du XIXe siècle : « son territoire, dépourvu d'eau et de bois, est coupé par quelques légers plis de terrain courant de l'ouest à l'est[1] ».

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 679 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 28 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Angivillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 90, alors qu'il était de 77 en 2013 et de 82 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 86,2 % étaient des résidences principales, 5 % des résidences secondaires et 8,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,3 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Angivillers en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,6 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Angivillers en 2018.
    Typologie Angivillers[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 86,2 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 8,8 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été désignée sous les noms suivants : Angivillier, Angivillier, Angiviler, Anjolviller, Angevillers, (Angevillare, Angvillare, Angevillare)[1]

    Histoire

    Selon Louis Graves, « La seigneurie d'Angivillers appartenait, dans le treizième siècle,,à la maison de Candavène ; elle fut acquise en 1494 par Philippe Le Toillier, dit Guillebon, docteur en' théologie, des descendants duquel elle parvint par alliance, vers 1614, au marquis de Nesle, et plus tard par alliance aussi à la .maison -dé.Flahaut ; elle relevait du comté de Clermont[1] ». Selon d'autres sources, la terre et seigneurie d'Angivilliers a été tenue par la famille d'Amerval, puis par la famille de Le Thoillier de Guillebon qui la transmit aux Flahaut de la Billarderie[22].

    Dans la première moitié du XIXe siècle, la commune comptait deux moulins à vent, et la population était exclusivement agricole. Quelques femmes augmentaient leurs revenus par la confection de gants de peau[1].

    La commune a été desservie par la ligne Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand, une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise. La gare se situait en limite de commune en direction de Ravenel.

    • La gare de Ravenel
      La gare de Ravenel
    • Horaires 1936.Deux des 3 trains jourbaliers sont assurés par des autorails.
      Horaires 1936.
      Deux des 3 trains jourbaliers sont assurés par des autorails.

    Au début de la Seconde Guerre mondiale, lors de la bataille de France de 1940, 118 soldats français de la 4e division d'infanterie coloniale sont tués sur le territoire de la commune, les 8 et . Un cimetière militaire est aménagé de 1941 à 1952, puis les dépouilles des soldats sont transférées dans un autre lieu. Un calvaire commémoratif a été édifié à l’angle des routes départementales RD 530 et RD 36 en hommage aux soldats africains, "massacrés sur place" et "victimes de la lâcheté nazie"[23] - [24]

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1794 1794 Sébastien Seraine
    1797 1797 François Debacq
    1801 1807 M. Delafraye
    1831 1831 M. Gueudré
    1836 1839 Louis Joseph Goulliard
    1941 1941 Jean François Auguste Gueudré
    1849 1870 Polycarpe Bricaut
    1877 1877 Charles Jean Baptiste Boucher
    1884 1910 Paul Félix Corbet
    1946 1948 Georges Bernard Philippe Toullet
    avant 1988 Pierre Munier
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Roger Van Acker DVD[26]
    mars 2014 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Élisabeth Van de Weghe[27] Réélue pour le mandat 2020-2026[28]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2020, la commune comptait 166 habitants[Note 8], en diminution de 7,78 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    360343359341298274284279267
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    253235232240252241219223222
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    237235212245216215223239223
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    177178156159181200191189183
    2015 2020 - - - - - - -
    182166-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 89 hommes pour 89 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,2
    2,4
    75-89 ans
    6,0
    19,3
    60-74 ans
    15,7
    28,9
    45-59 ans
    20,5
    15,7
    30-44 ans
    20,5
    15,7
    15-29 ans
    12,0
    18,1
    0-14 ans
    24,1
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin, construite au XVIe siècle, possède quelques parties datant du XIIe siècle. Elle est décrite par Louis Graves en 1835 :« est -un petit bâtiment du seizième siècle, en forme de T, devenu humide,par

    l'exhaussement du .sol voisin. Le chœur et les chapelles sont voûtés et à nervures, la nef est. lambrissée; le clocher central est une tour carré recouverte d"'ardoises; le portail est formé d'une arcade en anse de panier[1]. »
    Trois objets : deux dalles funéraires de la famille de Guillebon et les fonts baptismaux sont classés monument historique[35].

    • Calvaire édifié par les anciens combattants de la commune à la mémoire des 118 soldats français morts au combat les 8 et . Une stèle à la mémoire de la 4e division d'infanterie coloniale a été par la suite apposée au pied du calvaire.
    • Stèle à la mémoire de Maurice Arnoux, commandant pilote aviateur, tombé le
    • Calvaire dédié aux 118 combattants qui ont péri lors de la Seconde Guerre mondiale.
      Calvaire dédié aux 118 combattants qui ont péri lors de la Seconde Guerre mondiale.
    • Détail de ce calvaire.
      Détail de ce calvaire.
    • Autre détail.
      Autre détail.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Stèle à la mémoire de Maurice Arnoux, commandant pilote aviateur, tombé le 6 juin 1940.
      Stèle à la mémoire de Maurice Arnoux, commandant pilote aviateur, tombé le .

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Angivillers », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Saint-Just-en-Chaussée, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 45-46.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Angivillers et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Angivillers et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. ↑ Mémoire de la Société Académique de l'Oise, Tome VIII, Beauvais, Société Académique de l'Oise, , P 21 à 24 p..
    23. Jean-Paul Delance, « Seconde Guerre mondiale : retour sur le massacre des tirailleurs sénégalais en juin 1940 dans l'Oise : À l'occasion des 80 ans de la Bataille de France, notre journaliste Jean-Paul Delance revient sur les événements marquants du printemps 1940. Aujourd'hui, il relate le massacre des troupes coloniales françaises par les Allemands », France 3 Hauts-de-France,‎ 9/6/2020 mis ç jour le 12/6/2020 (lire en ligne, consulté le ).
    24. Dominique Tantin, « Erquinvillers (Oise), 9 - 10 juin 1940 : Les 9 et 10 juin 1940, dans un quadrilatère Angivillers - Cressonsacq - Bailleul-le- Soc-Erquinvillers (Oise), les troupes allemandes massacrèrent de nombreux soldats des Régiments de Tirailleurs sénégalais (RTS) de la 4e Division d’Infanterie coloniale (DIC). Le 11 juin, huit officiers métropolitains furent exécutés à Cressonsacq », Maitron - Dictionnaire biographique des fusillés, guillotinés, exécutés, massacrés 1940-1944 (consulté le ).
    25. « Les maires de Angivillers », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    26. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
    27. « Plateau picard : Ils sont vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283,‎ , p. 21.
    28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Angivillers (60014) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    35. Les objets classés de l'église Saint-Martin sur la base Palissy
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