Penvénan
Penvénan [pɛnvenɑ̃] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, la région Bretagne, et le pays historique du Trégor.
Penvénan | |||||
Le rocher de la Sentinelle. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Lannion | ||||
Intercommunalité | CA Lannion-Trégor Communauté | ||||
Maire Mandat |
Denise Prud'homm 2020-2026 |
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Code postal | 22710 | ||||
Code commune | 22166 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Penvénanais | ||||
Population municipale |
2 473 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 125 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 48′ 44″ nord, 3° 17′ 37″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 92 m |
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Superficie | 19,84 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Lannion (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Tréguier | ||||
Législatives | 5e circonscription des Côtes-d'Armor | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Ses habitants sont les Penvénanais et les Penvénanaises.
Port-Blanc et Buguélès sont les noms des stations balnéaires et des ports de plaisance situés sur la commune de Penvénan.
Géographie
Description
La commune est côtière mais le village est à 3,4 km de Port-Blanc, le port le plus proche[1].
Le village est traversé par la D 31 reliant Lannion (16 km au sud-ouest) et Plougrescant (7 km au nord-est) ; et par la D 74 venant de vers Langoat (7,6 km au sud)[1].
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ploumanac'h », sur la commune de Perros-Guirec, mise en service en 1947[10] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 856,2 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 46 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,2 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Penvénan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23] - [24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,8 %), terres arables (29,9 %), zones urbanisées (22,2 %), forêts (5,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), zones humides côtières (2,3 %), prairies (1 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Penguennan en 1160, Penvennan en 1163, Penguennan en 1165, Peneguan en 1188, Penguennan et Penvennan en 1330, Penguenan en 1429, Penguennan en 1516, Penguenan en 1636, Penvenant en 1779[27].
Penvénan s’écrivant autrefois Penguennan et Penvennan. Penquenan ou Kenan pourrait bien rappeler Saint-Kenan (Ve siècle). On peut encore interpréter Penguenan, comme « extrémité du territoire de Guénan »[28].
Le nom breton de la commune est Penwenan[28].
Histoire
Préhistoire
L'occupation humaine sur le territoire de la commune est attestée dès le Néolithique comme en témoignent encore le dolmen de l'île Saint-Gildas, les nombreux menhirs (Kerbelven, Kerbriant, Kergastel, Kermarquer, Kervéniou, Pellinec), le tumulus de Tossen-Kelen et les tombes de Roch-Las-en-Port-Blanc. Plusieurs autres mégalithes (Crec'h-Bleiz, Pennerez-ar-Guelennou, Guernotier, île Balanec, Keribot) signalés au XIXe siècle ont été depuis détruits ou sont disparus[29].
Moyen Âge
En , Bolingbroke, duc de Lancastre, futur roi Henri IV d'Angleterre, armé et équipé par le duc de Bretagne, part de Port-Blanc[30] avec dix navires[31] et fait voile vers l'Angleterre pour réclamer ses titres et terres que le roi Richard II lui a confisqués. Il déposera ce roi et se fera couronner à sa place sous le nom d'Henri IV. Dans sa pièce Richard II, Shakespeare cite Port-Blanc à l'acte II scène 1 vers 277.
Révolution
La loi du 14 décembre 1789 découpe la France en départements, districts et cantons. Le canton de Penvénan est créé faisant ainsi partie des 90 cantons du département[32]. Les communes de Plougrescrant, Trélévern, Trévou-Tréguignec, Coatreven et Trézény en font partie. Toutefois, cette existence sera de courte durée. Pour des raisons d'économie, en 1800, les subdivisions administratives sont revues et Penvénan redevient une simple commune, comme 48 autres communes du département[32].
Les guerres du XXe siècle
Le monument aux Morts porte les noms de 162 soldats morts pour la Patrie[33] :
- 110 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
- 52 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
Au cours d'un transport d'armes, Roger Bervet, originaire de Paris, fut arrêté en même temps que cinq autres de ses camarades le 6 juin 1944 à Penvénan. Emmené à la feldgendarmerie de Plouaret où il fut atrocement torturé, Roger Bervet fut aperçu pour la dernière fois à Lanvollon en même temps que ses compagnons d'infortune. On ignore le lieu où il a été exécuté car le corps n'a jamais été retrouvé[34]. Il avait 24 ans.
Époque contemporaine
Penvénan a accueilli de grands auteurs comme Anatole Le Braz, qui a défendu le patrimoine culturel de la commune et du Trégor, notamment les contes et légendes ; ou Jean Guéhenno de l'Académie française, ainsi que des peintres, des musiciens et des personnalités marquantes de la Résistance comme André Postel-Vinay, Pierre Lefaucheux, et Marie-Hélène Lefaucheux qui eut un rôle marquant sur l'évolution du droit international des femmes.
La Belle Époque
En 1902, l'abbé Camus, recteur de Penvénan, se justifie d'utiliser la langue bretonne : « Messieurs les instituteurs, eux aussi, font dans ce pays un usage fréquent du breton, même en public. C'est ainsi que M. le directeur de notre école communale ne craint nullement de se compromettre en faisant son petit prône en breton à la population réunie sur la place du bourg. (...) Et les candidats au Conseil général, à la députation, en quelle langue débitent-ils leurs boniments ? En breton, en très mauvais breton parfois, mais toujours en breton, et il le faut bien, car c'est pour eux le seul moyen de se faire comprendre de la population[35].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Lannion du département des Côtes-d'Armor.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Tréguier[36]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Tréguier
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription des Côtes-d'Armor.
Intercommunalité
Maricourt était membre de la communauté de communes des Trois Rivières, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
En 2013, cette intercommunalité a fusionné avec la communauté de communes du Pays Rochois pour former la communauté de communes du Haut-Trégor, qui, elle-même, a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Lannion-Trégor Communauté, dont la commune est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
Au premier tour des élections municipales de 2014 dans les Côtes-d'Armor, la liste DVD menée par le maire sortant remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 890 voix (52,07 %, 18 conseillers municipaux dont 4 conseillers communautaires élus), devançant la liste PS menée par Alain Hamel (819 voix, 47,92 %, 5 conseillers municipaux dont un communautaire), lors d'un scrutin marqué par 26,38 % d'abstention[37].
Au second tour des élections municipales de 2020 dans les Côtes-d'Armor, marqué par une quadrangulaire, la liste DVD menée par Denise Prud'homm remporte la majorité des suffrages, avec 552 voix (36,65 %, 16 conseillers municipaux dont 2 communautaires), devançant respectivement celles menées par[38] :
- Monique Garel — soutenue par le maire sortant qui ne se représentait pas — (DVD, 488 voix, 32,40 %, 4 conseillers municipaux élus), ;
- Graziella Segoni (DVG, 325 voix, 21,58 %, 2 conseillers municipaux élus) :
- Denis Baulier (app. GE, 141 voix, 9,36 %, 1 conseiller municipal élu)
lors d'un scrutin où 35,45 % des électeurs se sont abstenus
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune de Penvénan a rejoint BRUDED en 2006, un réseau d'échanges entre communes et intercommunalités engagées dans le développement durable. BRUDED signifie Bretagne Rurale et Rurbaine pour un développement durable et compte des adhérents répartis sur toute la Bretagne et la Loire-Atlantique. À travers ce réseau, les élus peuvent partager leur culture du développement durable lors de visites et de rencontres, échanger autour de leurs projets et offrir une meilleure visibilité à leurs actions.
Jumelages
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].
En 2020, la commune comptait 2 473 habitants[Note 8], en diminution de 6,18 % par rapport à 2014 (Côtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Langue bretonne
Le nom en breton de la commune est Perwenan.
L'adhésion à la charte Ya d'ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le .
À la rentrée 2017, 60 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue publique (soit 26,8 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[47].
Lieux et monuments
- La chapelle Notre-Dame de Port-Blanc date du XVIe siècle. Elle est partiellement classée au titre des monuments historiques[48].
- La chapelle Saint-Nicolas de Buguélès, probablement datée du XVIIe siècle.
- La chapelle Saint-Gonval est un édifice située dans l'ancienne frairie de Trégonval datant probablement du XVIIIe siècle.
- Corps de garde du Port-Blanc.
- Sentinelle.
- Poudrière.
- Batterie (Rocher du Voleur).
- Le moulin à marée de Buguélès ; construit en 1835, couvert de tuiles d'origine anglaise, il est situé sur une digue reliant l'île Balanec et l'île Ozac'h.
- Le manoir de Kerbelven, inscrit au titre des monuments historiques[49]et le colombier du manoir de Kerbeulven.
- Plusieurs mégalithes et sépultures :
- Sépulture néolithique de Roch-Las-en-Port-Blanc, classée au titre des monuments historiques[50] ;
- Le menhir de Kervéniou, classé au titre des monuments historiques[51] ;
- Les menhirs de Kerbelven, classés au titre des monuments historiques[52].
- Selon la légende, l'île de Groagez (ile aux femmes), au large de Port-Blanc, aurait abrité une « fée de la mer », la Groac'had vor[53] ;
- Marécages de Penvénan, dans l'anse de Pellinec, entre Buguélès et Port-Blanc.
- Les îles de Buguélès, composées, entre autres, de l'île Illiec et son sillon de galets abritant des espèces rares de faune et de flore.
- L'île Saint-Gildas, célèbre pour son pardon aux chevaux, à Port-Blanc.
- L'église Notre-Dame, dans le bourg de Penvénan.
Menhir de Kervéniou. Menhir de Kerbelven. Marécage de Penvénan. Chapelle Notre-Dame de Port-Blanc.
Personnalités liées à la commune
- Ambroise Thomas (1811 - 1896), achète l'Île Illiec ('Ziliec' en breton, 'île aux Congres') vers 1860 à la famille Portal de Goasmeur. Il cède l'île en 1938 au colonel Charles Lindbergh.
- Jules de Cuverville (1834 - 1912), propriétaire du château de Crec'h Bleiz.
- Anatole Le Braz (1859 - 1926), né à Saint-Servais (Côtes-d'Armor), écrivain et folkloriste qui avait sa maison à Port-Blanc.
- Augustin Hamon (1862-1945), originaire de Saint-Nazaire, ayant grandi à Paris, puis s’étant installé à Port-Blanc en 1904, était un véritable homme d’influence pour certains mouvements bretons.
- Théodore Botrel (1868 - 1925), avant de venir habiter à Pont-Aven.
- Alexis Carrel (1873 - 1944), prix Nobel de médecine et propriétaire de l'île Saint-Gildas.
- Aldous Huxley (1894 - 1963), écrivain, avait également une résidence secondaire dans le village de Port-Blanc.
- Marie Curie, enceinte d'Irène, réside à l’hôtel des Roches grises durant l'été 1897.
- Charles Lindbergh (1902 - 1974), le célèbre aviateur, a vécu sur l'île Illiec au large de Buguélès, fuyant New York et ses ennuis avec la mafia.
- Marie-Hélène Lefaucheux (1904-1964), femme politique, résistante, promotrice des droits de la femme à l'ONU a résidé au Port-Blanc et possédait l'île des femmes.
- Charles-Marie Guillois (1910-1994), résistant, fut un temps la « voix bretonne de la France Libre ».
- Tina Weymouth, chanteuse et bassiste du groupe Talking Heads[54].
- Claire Leroy (1980), championne du monde 2007 et 2008 de match racing.
- Philippe Erulin, décédé en 1979, commandant le 2e REP lors de l'opération Bonite à Kolwezi (Zaïre) en . Il séjournait régulièrement en famille à Port-Blanc.
Héraldique
Blasonnement :
De sinople à trois chevrons d'argent remplis de gueules, accompagnés de trois abeilles d'or ; au chef d'hermine. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Bibliographie
- Nicole Chouteau, Histoire de Penvénan, Port-Blanc, Buguélès, Saint-Brieuc, Les presses bretonnes, , 104 p. (lire en ligne)
- Nicole Chouteau, Histoire de Penvénan, Port-Blanc et Buguélès, Bégard, Cahier du Trégor, (ISSN 0758-1238, lire en ligne)
Références
- Penvénan, carte sur googlemaps.com.
- Penvénan - carte sur geoportail.fr.
- Penvénan - carte sur geoportail.fr.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Penvénan et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- .infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Motreff ».
- Anne Marchat et Michelle Le Brozec, Les mégalithes de l'arrondissement de Lannion, Rennes, Institut Culturel de Bretagne, , 102 p. (ISBN 2-86822-039-8), p. 36.
- Jean-Michel Déprats, Shakespeare Histoires, tome 2, Gallimard, collection La Pléiade, Paris, 2008, 1743 pages, (ISBN 978-0-804-70503-5), p. 1475 note 16
- Benjamin Williams, Chronicque de Richart, 1846, 324 pages, oclc 2200437, p. 179
- Chouteau, p 69
- « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
- Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités après jugement d'un tribunal militaire allemand (Côtes-du-Nord, 1940-1944)", les cahiers de la résistance populaire, mai 2011, page 28..
- Cité par Fanch Broudic, "L'interdiction du breton en 1902", Coop Breizh, 1997, (ISBN 2-909924-78-5).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats officiels pour la commune Penvénan
- Bertrand Dumarché, « Municipales. Denise Prud'homm remporte le second tour à Penvénan : Avec 36,65% des suffrages, la liste menée par Denise Prud'homm enlève 16 sièges au conseil de Penvénan. Une défaite pour Monique Garel qui a immédiatement quitté la salle », Le Trégor, (lire en ligne, consulté le ).
- Notice FOURMAND Auguste par Alain Prigent , version mise en ligne le 9 avril 2009, dernière modification le 9 avril 2009
- « Fernand Le Duc élu maire pour la deuxième fois : C'est sans surprise que Fernand Le Duc a été élu maire de Penvénan pour la seconde fois. », Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).
- Bertrand Dumarché, « Le maire ne se représente pas : le bilan de Michel Deniau à Penvénan : Après deux mandats de maire de Penvénan, Michel Deniau a décidé de ne pas se représenter. Le bilan de ces 12 années dans le fauteuil de premier magistrat », Le Trégor, (lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales à Penvénan. Denise Prud’homm élue maire sans suspense : Ce samedi 4 juillet 2020, à l’occasion de l’installation du conseil municipal de Penvénan (Côtes-d’Armor), Denise Prud’homm a été élue maire, sans grande surprise. L’étonnement était ailleurs », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ) « La séance aura surtout été marquée par l’absence du maire sortant, Michel Deniau, et de sa première adjointe, Monique Garel, pourtant élue, mais ne souhaitant pas siéger ».
- « Les Villes Jumelées avec Penvenan », sur www.jumelage.xyz (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Office public de la langue bretonne.
- « Chapelle Notre-Dame de Port-Blanc », notice no PA00089372, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir de Kerbelven », notice no PA00089373, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Sépultures néolithiques », notice no PA00089377, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Menhir de Kervéniou », notice no PA00089376, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Menhir de Kerbelven », notice no PA00089375, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Édouard Brasey, L'encyclopédie des héros du merveilleux, Place Des Editeurs, 2010 (extraits en ligne).
- Marie-Hélène Clam, « Héritage. D'Anatole Le Braz aux Talking Heads », Le Télégramme, (lire en ligne).