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Pérignac (Charente)

Pérignac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pérignac
Pérignac (Charente)
Vue de Pérignac depuis la route de Blanzac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes des 4B Sud-Charente
Maire
Mandat
Thierry Montenon
2020-2026
Code postal 16250
Code commune 16258
Démographie
Gentilé Pérignacais
Population
municipale
494 hab. (2020 en augmentation de 0,41 % par rapport à 2014)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 55″ nord, 0° 04′ 42″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 189 m
Superficie 25,52 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Sud
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Pérignac
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Pérignac
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Pérignac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Pérignac

    Ses habitants sont les Pérignacais et les Pérignacaises[1].

    Géographie

    La D 46 vers Tire-Brette.

    Localisation et accès

    Pérignac est une commune du Sud Charente située km à l'est de Blanzac et 21 km au sud d'Angoulême.

    Le bourg de Pérignac est aussi km au nord-ouest de Montmoreau, 11 km au sud de Mouthiers-sur-Boëme. Il est aussi à km à l'ouest de l'abbaye de Puypéroux[2].

    À l'écart des grandes routes, Pérignac est située entre la D 5, route de Blanzac à Villebois-Lavalette, qui passe au nord, et la D 10, route de Blanzac à Montmoreau, qui passe au sud. La D 46 relie ces deux routes, et la D 54 entre Aignes et Blanzac dessert le bourg. La D 674, route d'Angoulême à Libourne, passe à km à l'est du bourg[3].

    La gare la plus proche est celle de Montmoreau, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune arrive aux foubourgs de Blanzac à l'ouest avec le quartier des Granges. Elle compte de nombreuses fermes formant souvent de véritables petits hameaux, comme l'Age, Chatignac ou Puytillac au sud, Lafond, le Burguet à l'ouest, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Pérignac
    Bécheresse Chadurie
    Coteaux-du-Blanzacais Pérignac Montmoreau
    Nonac

    Géologie et relief

    La commune est située dans les coteaux calcaires du Bassin aquitain datant du Crétacé supérieur, comme toute la moitié sud du département de la Charente.

    Sablière près de la D 10 au sud de la commune.

    On trouve le Campanien, calcaire crayeux, sur toute la surface communale. Les crêtes au centre et au sud de la commune sont recouvertes de dépôts du Tertiaire (Lutétien et Cuisien), composés de galets, sables et argiles. Les sommets et certains flancs de vallées sont occupés par des formations de recouvrement et colluvions issues de la roche en place et datant du Quaternaire (Pléistocène)[4] - [5] - [6].

    La commune occupe un plateau vallonné compris entre les vallées du Né au nord et de l'Arce au sud. Le point culminant de la commune est à une altitude de 189 m, situé au mont Choix, près de la D 46 au nord-est de la commune. Le point le plus bas est à 77 m, situé près du Né à Blanzac, en limite nord-ouest. Le bourg, situé au centre de la commune près du Puy Tison, est à 163 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Pérignac.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente et le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Né, l'Arce, la Rivollée, le ruisseau de la Font Coulon et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Le , affluent de la Charente, traverse le nord de la commune en amont de Blanzac. L'Arce, un des affluents du Né, traverse le sud de la commune. Ces deux cours d'eau prennent leur source à peu de kilomètres à l'est de la commune.

    Le Né reçoit sur sa rive gauche trois petits affluents qui naissent dans la commune, dont le ruisseau de la Font Coulon qui est le plus au sud-ouest, et dont deux ruisseaux affluents naissent au pied du bourg. Au sud, la Rivollée se jette dans l'Arce.

    La commune compte aussi des sources et fontaines, dont la fontaine de Vérine, la Font du Loup, la fontaine Chauvet[3], etc.

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Le SAGE « Isle - Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Pérignac est une commune rurale[Note 1] - [12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13] - [14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15] - [16].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,3 %), forêts (28,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,4 %), prairies (7,9 %), cultures permanentes (1,8 %), zones urbanisées (0,4 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Pérignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

    Pérignac est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du bois de Pérignac – Puypéroux. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[20]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3] - [20] - [21] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pérignac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 283 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 283 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont in vicaria Petriacense avant 1075[25], Petriniaco, Petrinhaco, Perinhaco en 1312[26] - [Note 4].

    L'origine du nom de Pérignac remonterait à un nom de personne gallo-romain Patrinius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Patriniacum, « domaine de Patrinius »[27] - [Note 5].

    Histoire

    À partir du Xe siècle, Pérignac était le siège d'une viguerie, qui rendait la justice localement. Au nombre de six sous les Carolingiens, le comté d'Angoulême en comptera une vingtaine de par son extension[28].

    Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Pérignac était sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait en Charente par Nanteuil-en-Vallée, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Blanzac, Puypéroux, Aubeterre. L'Aumônerie en serait l'ancien relais-étape[29].

    L'église a été construite au XIIe siècle. Elle était le siège d'un des treize archiprêtrés de l'Angoumois[30].

    Les registres de l'état civil se succèdent sans interruption depuis 1653[31].

    Bien qu'il n'en reste aucun vestige, jusqu'en 1986 se dressait en lieu et place de l'actuelle salle des fêtes une dîmerie. Elle fut abimée lors de la pose d'une nouvelle charpente, qui s'écroula en causant de lourds dégâts aux murs porteurs. On décida alors de la détruire entièrement.

    Au sud de la commune, le château de l'Herse (ou de Lerse) était un ancien fief qui a d'abord appartenu aux La Rochefoucauld, puis à la famille de Lubersac.

    Le Breuil et la Font étaient également deux seigneuries, dont Pierre Dexmier était propriétaire au XVIe siècle. Celui-ci fut l'un des chefs les plus ardents du protestantisme en Angoumois.

    Au début du XXe siècle, on pouvait trouver encore quelques petits moulins qui fabriquaient de l'huile de noix[31].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1999 2005 Francis Girou
    2005 2014 Christian Matrat Pilote de montgolfière
    2014 En cours Thierry Montenon Agriculteur

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2020, la commune comptait 494 habitants[Note 6], en augmentation de 0,41 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 1008891 8331 0111 0131 0441 0051 002961
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 004949874887845812715782718
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    700800640647638628582545528
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    501467430475485508518507470
    2020 - - - - - - - -
    494--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 231 hommes pour 242 femmes, soit un taux de 51,16 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    1,2
    7,5
    75-89 ans
    11,1
    26,1
    60-74 ans
    24,1
    24,9
    45-59 ans
    21,3
    15,8
    30-44 ans
    15,8
    11,6
    15-29 ans
    9,5
    13,3
    0-14 ans
    17,0
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[38].

    La commune comporte en 2020 une douzaine d'exploitants agricoles, en particulier dans la vallée du Né.

    L'un des deux plus gros producteurs français de chrysanthèmes est installé sur la commune, avec une production annuelle de quatre millions de fleurs et 120 variétés en 2020[39].

    Un peu d'élevage compose aussi l'agriculture. Le territoire est boisé à plus de 30 %[39].

    Équipements, services et vie locale

    La bibliothèque et l'école.

    Enseignement

    Pérignac possédait jusqu'à 2015 une école élémentaire publique comprenant deux classes[40] - [39]. Elle se trouvait au bourg, sur la place.

    Une école privée alternative a ouvert en 2016, proposant la méthode d'enseignement Montessori et Freinet. Elle comprend en 2023 trois classes (maternelle / primaire / collège)[41].

    Le secteur du collège est Blanzac[40].

    Services

    La commune dispose d'une bibliothèque située à côté de l'école.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • Église de Pérignac
    • Vue d'ensemble.
      Vue d'ensemble.
    • Le clocher.
      Le clocher.
    • La nef.
      La nef.
    Croix de pèlerinage au bourg.

    Patrimoine civil

    Le château de Lerse.
    • Le château de Lerse[3] (aussi orthographié de l'Herse ou Lerce plus anciennement[44]) est situé au sud de la commune et tire son nom de l'Arce dont il domine la vallée. Il date de la fin du XVe et XVIe siècles. Il a d'abord appartenu aux La Rochefoucauld, puis à partir du XVe siècle, aux Desmier, aux de Lubersac jusqu'au XVIIe siècle[44], puis aux Courjac, Desgenis... Il se présente avec un corps de logis flanqué de deux tours rondes à toits pointus. L'aile orientale comprend une porte sculptée avec des meurtrières[45].
    • Vestiges de trois moulins à vent.
    • Anciens moulins à eau.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
    4. La forme 'nh' est occitane. Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc et la toponymie dans les Charentes en garde de nombreuses traces.
    5. Comme Payrignac, Peyrignac, Périgné, Périgny...
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Pérignac » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Pérignac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    10. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. « Les risques près de chez moi - commune de Pérignac », sur Géorisques (consulté le )
    19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    20. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    21. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur www.charente.gouv.fr, (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pérignac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 164
    26. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 63,192,195,203
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 519.
    28. André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 88
    29. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 208
    30. Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 5
    31. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 269-270
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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    40. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    41. « École Montessori Charente », sur Graines d'Arc en Ciel (consulté le )
    42. « Église de Pérignac », notice no PA00104453, base Mérimée, ministère français de la Culture
    43. « Pérignac », base Palissy, ministère français de la Culture
    44. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 294
    45. Robert Dexant, Châteaux de Charente, Paris, Nouvelles Éditions latines, , 30 p., p. 18

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