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Montfarville

Montfarville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 799 habitants[Note 1].

Montfarville
Montfarville
L'ancienne mairie devenue bibliothèque municipale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Jean Marie Rocques
2021-2026
Code postal 50760
Code commune 50342
Démographie
Gentilé Monfarvillais
Population
municipale
799 hab. (2020 en diminution de 0,75 % par rapport à 2014)
Densité 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 16″ nord, 1° 16′ 11″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 28 m
Superficie 5,40 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Val-de-Saire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Montfarville
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Montfarville

    Géographie

    La commune est au nord-est de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à km au sud de Barfleur, à 7,5 km au nord de Quettehou et à 12 km à l'est de Saint-Pierre-Église[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 796 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[10] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 919,7 mm pour la période 1981-2010[12].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 26 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Montfarville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].

    La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,3 %), zones urbanisées (16,2 %), zones agricoles hétérogènes (12,9 %), zones humides côtières (2,5 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le toponyme est attesté sous les formes Morfarvilla vers 1120, vers 1210, en 1260 et en 1280[27] - [28], Monfarville en 1760, le t de Mont- n'apparaît qu'en 1792[27].

    Si l'élément -ville — de l'ancien français vile dans son sens originel de « domaine rural » issu du gallo-roman VILLA (latin villa rustica) — est bien identifié par les auteurs[29] - [27] - [28] - [30], il n'en est pas de même pour le premier élément, qui représente vraisemblablement un anthroponyme, du moins en partie.

    Albert Dauzat croit y déceler l'anthroponyme germanique Faro précédé de l'appellatif Mont-[29], cependant il ne cite aucune forme ancienne, preuve qu'il n'en connaît pas. Cette explication est incompatible avec la nature des formes les plus anciennes toutes en Mor- ; en outre, la topographie discrédite cette hypothèse.

    Pour Ernest Nègre, il pourrait s'agir du germanique Morfridus[28], ce qui suppose un hypothétique passage de Morfrid- à Morfar-. On s'attendrait régulièrement à *Morfreville (voir Gonfreville ou Amfreville).

    François de Beaurepaire propose le nom de personne scandinave Morfar qui fut utilisé dans le nord de l'Angleterre[27]. René Lepelley lui emboite le pas[30]. Il n'est effectivement pas attesté en Scandinavie, ni en Islande. Par contre, Il fut bien commun en Angleterre, où on le trouve sous les formes Morfar, Morfare et Morfari[31].

    Le gentilé est Monfarvillais.

    Histoire

    C'est à Landemer que fut découvert un gisement de silex du Paléolithique inférieur, datant de plus de 300 000 ans[32], attestant de l'ancienneté de l'occupation[33].

    Vers 1200, un certain Samson Folliot, seigneur de la paroisse[32], et quelques croisés fondèrent une léproserie dans la paroisse pour accueillir les malades du villages et ceux du Vicel, de Canteloup, de Sainte-Geneviève, de Barfleur, de Gatteville. Le patronage relevait de l'abbaye de Montebourg et sa chapelle était placée sous le vocable de sainte Marie-Madeleine[Note 8]. À proximité se tenait une foire le jour de la fête patronale appelée « foire à la Madeleine » ou « foire aux lépreux ». En 1406, la léproserie a pour administrateur, Jehan de Tamerville, bachelier en théologie[34]. L'établissement fut abandonné, vers 1600, faute de malades[32].

    La commune a été réunie à celle de Barfleur de 1804 à 1831[35].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1793 Pierre Le Baron Tanneur
    fév. 1793 mai 1793[36] Pierre Lejeune
    avr. 1795[37] Pierre Le Baron
    1795 1797 Pierre Lejeune
    1797 Georges Le Fèvre
    1800 1804 Georges Le Fèvre
    18041831fusion avec Barfleur
    1832 1848 Pierre Hébert
    1848 1852 Pierre Le Baron
    1852 1880[38] François Debrix
    1880 1904 Charles Hébert
    1904 1930 Ernest Le Rouvreur
    1930 1965 Édouard Lemarchand
    1965 1978 André Launay
    1978 1983 Pierre Le Poittevin
    1983 mars 2008 Jean Lecœur Agriculteur
    mars 2008[39] mars 2014 Paul Cauhapé SE Retraité (banque)
    mars 2014[40] 2020 François Lecœur SE Directeur territorial retraité
    mai 2020[41] juin 2021[42] Philippe Pesnelle SE Directeur d'établissement sanitaire
    juin 2021[43] juin 2021 Claude Ledoublée SE Maire par intérim
    septembre 2021[44] En cours Jean-Marie Rocques SE Ancien chef d’entreprise en informatique
    Maire par interim entre juin et sept. 2021
    Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et Paul Cauhapé[45].

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[41].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[47].

    En 2020, la commune comptait 799 habitants[Note 9], en diminution de 0,75 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Réunie à Barfleur de 1804 à 1831, la commune n'a pas de recensement séparé entre ces dates. Montfarville a compté jusqu'à 1 682 habitants en 1846.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866
    1 4631 4941 6331 6761 6821 6801 4191 3191 317
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    1 3031 2161 2121 2181 1811 1861 2241 2561 191
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    1 0661 028976928940954901914862
    1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 -
    763866860814814800811799-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture et patrimoine

    Église Notre-Dame

    L'église Notre-Dame (XIIIe, XVIIIe – XIXe siècles)[45]. Elle est construite vers 1763, en granit blanc, avec un clocher préexistant du XIIIe siècle.

    La voûte de la nef est riche de dix-neuf toiles peintes par le Révillais Guillaume Fouace et restaurées par Michel Adrien Servant, représentant des scènes bibliques connues comme l'Annonciation, la fuite en Égypte ou la marche des rois mages. La cène est reproduite dans le chœur de l'église. Les personnages sont inspirés d'habitants de la région, dont la femme du peintre. Ces toiles sont classées au titre objet aux monuments historiques ainsi que d'autres œuvres dont statues et autels[49].

    Douze verrières ont été réalisées de 1922 à 1924 par les ateliers Lorin de Chartres, alors dirigés par Charles Lorin. Elles sont répertoriées dans l'inventaire général du patrimoine culturel[50].

    L'édifice est inscrit et ses décors intérieurs classés au titre des monuments historiques depuis le [51].

    Autres édifices

    • Le Manoir[45]. Au lieu-dit la Ferme du Manoir, manoir Renaissance construit sur une forte motte[52] (relevé par Frédéric Scuvée). C'est peut être ici que logea le soir du , Jean sans Terre avec son escorte, avant de rembarquer définitivement le à Barfleur pour l'Angleterre, abandonnant la Normandie au roi de France, Philippe Auguste. Le château de Mortfarville, d'après le nom de la commune à l'époque, était alors la possession de la famille Foliot[53], et c'est de ce château que Jean sans Terre expédia un mandat de sept livres d'Anjou au prévôt de Barfleur, pour le passage en Angleterre à Southampton de l'oisellerie royale avec le grand fauconnier, Hugues de Hauville[54]. Le château est mentionné dans une charte des années 1187-1197, dans laquelle « concession est faite à Guillaume Folliot par Guillaume, abbé de Montebourg, et par l'abbaye de Montebourg, de faire célébrer des offices religieux dans une chapelle qu'il a fait bâtir dans son château de Montfarville[55]. ». L'ancien château fort fut pillé et détruit par les Anglais en 1346[32]. Le hameau voisin, nommé le Castel, marque l'emplacement des bailles et des fossés comblés[32].
    Dans l'aveu que rend en 1451, Jehan de Belleval, « escuyer, seigneur de Montfarville… il y a manoir à motte clos a murs et fossés. Aveu du même seigneur en 1461 signalant : avec manoir sur mote démoly et abatu par guerres, il y a une chapelle ». Au manoir actuel de Montfarville, on voit encore l'emplacement de la motte, des fossés et de la chapelle de l'ancien château (Gerville C., 1824, t. 2, 347).
    On accède au sommet de la motte, du côté ouest par une pente très douce, tandis que les trois autres côtés ont des pentes très abruptes. La motte de forme légèrement ovale mesure quinze à vingt mètres de diamètre et à peu près trois mètres de haut. Il n'y a plus aucune trace de la chapelle autour de la motte, mais toute la partie est, au pied de la motte, est envahie par un taillis impénétrable et obscur[56].

    Personnalités liées à la commune

    Dans la fiction

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Maurice LecÅ“ur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 103-105.
    • Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 129-130.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Elle était située à l'emplacement de l'ancienne gare[32].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Montfarville et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Montfarville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Les communes soumises à la loi littoral », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    23. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 160.
    28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 944.
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, 1963 (réédition guénégaud 1979), p. 466a.
    30. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 179.
    31. « Domesday » sur le site académique PACE (lire en ligne) .
    32. Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 103.
    33. Thin 2009, p. 11.
    34. Maurice Lecœur, Le Moyen Âge dans le Cotentin : Histoire & Vestiges, Isoète, , 141 p. (ISBN 978-2-9139-2072-9), p. 51.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Destitué.
    37. Démissionnaire.
    38. décédé en exercice le 3 décembre 1880
    39. « Paul Cauhapé élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    40. « François Lecœur élu maire succède à Paul Cauhapé », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
    41. « Municipales à Montfarville. Philippe Pesnelle élu maire pour un premier mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    42. Montfarville - Le maire et six élus démissionnent
    43. « Montfarville. Maire intérimaire, Claude Ledoublée cède sa place », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    44. Montfarville. Le nouveau maire, Jean-Marie Rocques, s’est entouré de deux adjoints
    45. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 409.
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    49. « Œuvres mobilières à Montfarville », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
    50. « Ensemble de 12 verrières hagiographiques : Vie du Christ, Vie des saints », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
    51. « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 28e éd. (1re éd. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 790.
    53. André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 124.
    54. Davy 2014, p. 124.
    55. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 189
    56. Delacampagne 1982, p. 197.
    57. Henri Domengie, « Manche », dans Les petits trains de jadis : Ouest de la France, Breil-sur-Roya, Les éditions du Cabri, (ISBN 2-903310-87-4), p. 127-147.
    58. Lecœur 2009, p. 125.
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