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Quettehou

Quettehou (prononcĂ© [ketu] ou [kɛtu][1]) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 1 773 habitants[2].

Quettehou
De haut en bas, de gauche Ă  droite : l'Ă©glise Saint-Vigor de Quettehou, la halle aux Grains, le rivage de Morsalines, l'Ă©glise Notre-Dame de Morsalines.
Blason de Quettehou
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Jean-Pierre Lemyre
2020-2026
Code postal 50630
Code commune 50417
DĂ©mographie
Gentilé Quettehouais et Morsalinais
Population
municipale
1 773 hab. (2020)
DensitĂ© 89 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 35â€Č 33″ nord, 1° 18â€Č 13″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 104 m
Superficie 19,82 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Saint-Vaast-la-Hougue
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Val-de-Saire
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Quettehou
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Quettehou
Liens
Site web www.quettehou.fr

    Elle est créée le sous le statut de commune nouvelle aprÚs la fusion de Quettehou et de Morsalines[3].

    GĂ©ographie

    Quettehou est une bourgade situĂ©e Ă  la pointe nord-est de la pĂ©ninsule du Cotentin au cƓur du Val de Saire entre la baie de Morsalines ou le "Cul de loup" et le bois du Rabey. Elle est bordĂ©e Ă  l'est par Saint-Vaast-la-Hougue et la mer de la Manche, au sud par Crasville, au sud-ouest par Octeville-l'Avenel et Videcosville, Ă  l'ouest par TeurthĂ©ville-Bocage et au nord par La Pernelle.

    Quettehou est située en dehors des bassins hydrographiques de la Sinope et de la Saire et possÚde ses propres fleuves cÎtiers dont le principal est le Vaupreux[4].

    Quettehou fait partie de la communauté d'agglomération du Cotentin. La commune est également membre du parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin pour le territoire de la commune historique de Morsalines uniquement[3].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[8].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 10,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 006 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 14,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[13] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[14] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 919,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15].

    Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et Ă  24 km[16], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[17] Ă  10,7 °C pour 1981-2010[18], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Quettehou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [20] - [21] - [22]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Vaast-la-Hougue, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[23] et 3 517 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[24] - [25].

    La commune est en outre hors attraction des villes[26] - [27].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[28]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[29] - [30].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Chetellehou en 1042[31] - [32], Chetehol en 1080 et 1081[31], Chetehoil en 1080 et 1082[31], Chetehulmum en 1066 et 1083 (Lucien Musset)[31], Ketelhou en 1214[32], Kethehou en 1214[31].

    L'explication du premier élément Quette- par l'anthroponyme scandinave Ketíll emporte l'adhésion de tous les toponymistes modernes[31] - [1] - [33]. Il se perpétue dans les noms de familles normands Quétil, Quétel et Quétier.

    En revanche, si la plupart des sources s'accordent pour voir dans l'Ă©lĂ©ment -hou un appellatif anglo-saxon hƍh, variante hƍ « talon », puis « promontoire en forme de talon, dominant la plaine ou la mer ; escarpement rocheux, rivage abrupt », ou encore « lĂ©gĂšre Ă©lĂ©vation »[31] - [34], seul RenĂ© Lepelley considĂšre qu'il s'agit du vieux norrois holmr « Ăźle, Ăźlot »[1], en se basant dans ce cas, sur une forme unique et plus tardive Chetehulmum, il suppose donc que dans les formes Chetehol et Chetehoil, le m final a chutĂ©.

    Remarque : holmr utilisĂ© comme second Ă©lĂ©ment d'un toponyme a rĂ©guliĂšrement abouti Ă  -homme / -onne, comme dans Robehomme (Calvados ; Raimberti Hulmus 1083, Ramberti Hulmus 1149) ; Suhomme, ancien hameau Ă  Varaville (Calvados, Suhomme 1753/1785) ; les Échommes, hameau Ă  Saint-Senier-sous-Avranches (Manche, Eschehoume 1517) ; Engehomme (Eure, Engo homme sans date) , nom d’une Ăźle de la Seine devant Martot ; les communes de Grand-Couronne et Petit Couronne (Seine-Maritime, Corhulma 1032/1035 , Corone 1261/1270)[35]. En revanche, les formes en -hou sont strictement parallĂšles Ă  l'emploi de l'anglo-saxon hƍh dans la toponymie anglaise, devenu -hoo, -hoe ou -(h)ow, comme dans Northoo (Suffolk) ; Poddinghoo (Worcestershire) ; Millhoo (Essex) ; Fingringhoe (Essex) ; Rainow (Cheshire), etc.

    Le gentilé est Quettehouais[36].

    Histoire

    Carte de la commune nouvelle en 2019.

    En 1458 comme rapporté par l'abbé de Fécamp, la paroisse, sis en la vicomté de Valognes, au bailliage du Cotentin était la possession de l'abbaye[37].

    Un projet de commune nouvelle a Ă©tĂ© Ă©tudiĂ© en 2015 avec les communes de Crasville, Morsalines et Videcosville mais refusĂ© par ces trois derniĂšres. Un nouveau projet est proposĂ© avec seulement la commune de Morsalines en 2018. AprĂšs un vote dĂ©favorable Ă  Morsalines le (six voix contre trois pour), la maire Sandrine Mouchel-Revert avait dĂ©cider d'envoyer sa lettre de dĂ©mission[38] mais le conseil de Morsalines s'est Ă  nouveau rĂ©uni le avec l'approbation du projet (six voix pour, deux contre et une abstention)[39]. L'arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral de crĂ©ation de la commune nouvelle de Quettehou a Ă©tĂ© signĂ© le pour une fusion effective au , les anciennes communes de Morsalines et Quettehou deviennent des communes dĂ©lĂ©guĂ©es[3].

    Politique et administration

    La mairie.

    Communes historiques

    Liste des communes
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (derniÚre pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Quettehou (commune déléguée)
    (siĂšge)
    50417 CA du Cotentin 16,17 1 583 (2016) 98
    Morsalines 50358 CA du Cotentin 3,65 203 (2016) 56

    Liste des maires

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    janvier 2019 En cours Jean-Pierre Lemyre[40]
    Les données manquantes sont à compléter.

    La commune nouvelle a été administrée, de sa création au premier renouvellement des conseils municipaux, par un conseil municipal comprenant l'ensemble des membres des conseils municipaux des communes historiques de Morsalines et de Quettehou soit 28 élus. Depuis le premier renouvellement des conseils municipaux en 2020, le conseil municipal est composé de 23 élus dont le maire et 3 adjoints.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2020, la commune comptait 1 773 habitants[Note 7].

    Évolution de la population [ modifier ]
    2016 2017 2018 2019 2020
    1 7861 7871 7891 7791 773
    (Sources : Insee Ă  partir de 2016[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Graffiti marin dans l'Ă©glise de Quettehou.

    Activité et manifestations

    Jumelages

    Quettehou est jumelée avec :

    Sports

    Le Football Club du Val de Saire fait Ă©voluer deux Ă©quipes de football en divisions de district[46].

    Personnalités liées à la commune

    • Placide Viel (1815-1877), bienheureuse catholique, nĂ©e dans un hameau de la commune.
    • Alfred Mouchel nĂ© Ă  Tamerville le , dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Quettehou en 1989, Ă©leveur et Ă©crivain patoisant.
    • GĂ©rard Gosselin, artiste peintre nĂ© Ă  Quettehou en 1933.
    • Antoine Guillemet a reprĂ©sentĂ© de nombreuses fois la baie de Morsalines. Le peintre Adolphe La Lyre a lui aussi produit quelques tableaux reprĂ©sentant le rivage de Morsalines.

    HĂ©raldique

    Blason Ă  dessiner Blason
    Taillé : au 1er d'azur à l'église du lieu d'argent mouvant du trait de partition, au 2e de gueules au chaudron d'or[47].
    DĂ©tails
    Adopté en 1984. Le chaudron est probablement à rapprocher du nom de la ville attesté Ketelhou au XIIIe siÚcle et comportant l'anthroponyme scandinave Ketill signifiant "chaudron".
    Alias
    Alias du blason de Quettehou
    Alias du blason de Quettehou
    D'argent à l'aigle de gueules becquée et armée d'or, à la bordure de sable chargée de douze besants aussi d'or[48].
    Ce blason est empruntĂ© aux armoiries de la famille de Mons (subsistante), seigneurs de Thybosville Ă  Quettehou aux XVIe – XVIIe siĂšcles.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[10].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, CondĂ©-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 204.
    2. Population municipale 2020.
    3. « RAA SP 94 », sur manche.gouv.fr, (consulté le ).
    4. SANDRE, « Fiche cours d'eau le Vaupreux (I4--0200) ».
    5. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    6. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    12. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Quettehou et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Quettehou et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    18. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    19. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Unité urbaine 2020 de Saint-Vaast-la-Hougue », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    24. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    25. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    28. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    29. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    31. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 180.
    32. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, GenÚve, (lire en ligne), p. 1009.
    33. Ernest NĂšgre, op. cit.
    34. Dominique Fournier, ÉlĂ©ment -hou, Wikimanche (lire en ligne)
    35. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, GenÚve, (lire en ligne), p. 1009.
    36. « Présentation de la commune », sur quettehou.fr, site municipal de Quettehou (consulté le ).
    37. Éric BarrĂ©, « Une extension de la baronnie d'Argences : la baronnie du Petit-FĂ©camp en Cotentin au Moyen-Âge », Revue de la Manche, t. 37, no 148,‎ , p. 8 (ISBN 979-1-0937-0115-8).
    38. Mariage entre Morsalines et Quettehou : c’est oui
    39. « Quetthou : Jean-Pierre Lemyre est Ă©lu maire de la commune nouvelle », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. « Église Saint-Vigor », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    42. « Statue : Christ en croix ».
    43. « Statue : Sainte Anne », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
    44. « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    45. « F.C. Val de Saire », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).
    46. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    47. Attribué abusivement d'aprÚs l'ouvrage de l'Université Inter-ùges de Basse-Normandie, antenne de Cherbourg, Blasons du Clos du Cotentin, Condé-Caen, Editions Charles Corlet, Presses universitaires de Caen, 1996, (ISBN 2-85480-543-7), p. 119.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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