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Teurthéville-Bocage

Teurthéville-Bocage est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 590 habitants[Note 1].

Teurthéville-Bocage
Teurthéville-Bocage
L'église Sainte-Trinité.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Joanna Antoine
2020-2026
Code postal 50630
Code commune 50593
Démographie
Gentilé Teurthévillais
Population
municipale
590 hab. (2020 en diminution de 0,84 % par rapport à 2014)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 35′ 31″ nord, 1° 23′ 46″ ouest
Altitude Min. 32 m
Max. 116 m
Superficie 21,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val-de-Saire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Teurthéville-Bocage
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Teurthéville-Bocage

    Géographie

    La commune est traversée par la Saire.

    OpenStreetMap Limite communale.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 952 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 919,7 mm pour la période 1981-2010[11].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 17 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Teurthéville-Bocage est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,4 %), terres arables (24,2 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), forêts (8,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Torquetevilla entre 1180 et 1182, Tourqueteuville en 1299, Turquetheuville en 1515[23], Teurteville par abréviation en 1640, Theurqueteville fin du XVIIIe siècle[23], Teurthéville depuis 1790.

    La forme Tor- resta usitée jusqu'au début du XVIIe siècle, et disparaîtra lentement pour la forme actuelle Teur-. Ce toponyme vient probablement du nom normand Turquetil ou Thorketill, du norrois Thorketil, basé sur Thor (dieu du tonnerre dans la mythologie nordique) et ketil (« chaudron » (sacrificiel)[24] - [25].

    Appellatif roman ville, « domaine rural ») au Xe siècle, soit : le « domaine de Thorketill ».

    C'est aussi depuis la Révolution que le mot bocage lui fut ajouté en raison du paysage et pour la distinguer de la commune de Teurthéville-Hague. Teurthéville est encore appelé dans le pays, en langue normande : Tourtaville. Turqueville et Torqueville contiennent la forme abrégée du nom de personne norrois : Torkell.

    L'ancien prénom norrois Thorketill se perpétue dans les patronymes normands Turquetil (surtout Cotentin), Turquetille (pays de Caux), Turquety, Teurquetil, Teurquety (pays de Caux) et Truptil (pays de Caux).

    Le gentilé est Teurthévillais.

    Histoire

    Durant les guerres de Religion, après un siège de six mois les Ligueurs prennent, en , le manoir de Teurthéville, possession de Thomas Michel[Note 9], lieutenant des Eaux et forêts et patron de la paroisse, qui y trouva la mort[26]. Le seigneur d'Anneville, François de la Cour, sieur du Tourps, qui était à la tête des ligueurs fortifia le manoir et s'y installa[26]. Lors de cette période de troubles des huguenots tendirent une embuscade à un détachement de catholiques qui furent décimés. Ce lieu est désormais connu sous le nom de le Piège[26].

    En 1818, l'ancienne commune de Sainte-Croix-Bocage est partagée entre Teurthéville et Montaigu-la-Brisette. Il ne reste aucun vestige de son église ni de son cimetière. Le seul vestige est une cloche, la cloche de Turketeville, déposée à l'Hôtel de ville de Valognes, sur laquelle est gravée « 1772, M. Cantel de Turketeville in siluis patronus et pastor », avec en dessous le blason de la famille Cantel, « de gueules à trois croisettes d'argent, au chef de même chargé de trois mouchetures de sable[27] ».

    C'est dans le bois de Barnavast situé à l'ouest du chef-lieu, et en partie sur la commune, que furent trouvés des vestiges d'établissement gallo-romains[28].

    Selon Claude Pithois, il a existé à Teurthéville un prieuré de Bénédictins, sous le nom de prieuré de Barnavast, dont il subsiste la chapelle désaffectée du XIIIe siècle, dont la dernière cloche fut fondue en 1722[27].

    La commune a compté jusqu'à sept moulins : trois à grain, trois à huile et un à tan, qui servait à écraser les colorants naturels destinés à teindre le linge[26].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1795 Louis Trohel
    1795 1800 Hyacinte Le Trecher
    1800 1807 Thomas Trohel
    1807 1830 Prosper Simon de Vaudreville
    1830 1843 Jean-Baptiste Raynel Laboureur
    1843 1859 Léonor Victor de Béatrix-Déménérinaine Propriétaire
    août 1860 novembre 1860 Guillaume Bouché Cultivateur
    1860 1865 Jean-Louis Vautier Propriétaire
    1865 1874 Bienaimé Magdelaine Letailly Négociant en vins
    1874 1884 Auguste Rouxel
    1884 1893 Olivier Legoupil
    1893 1896 Léon Guérin Lieutenant-colonel
    1896 1909 Arsène Bouché Propriétaire
    1910 1919 Octave Bouché Propriétaire-Cultivateur
    1919 1941 Jean Hubert
    1941 1945 Albert Legoupil
    1945 1946 Jean Hubert (fils)
    1946 1947 Albert Legoupil
    1947 1965 Bienaimé Lepoittevin Agriculteur
    1965 1983 Louis Legendre Cultivateur
    1983 avril 2016[Note 10] Serge Laurent[30] SE Agriculteur
    3 mai 2016 En cours Joanna Antoine[29] SE Agent de maitrise
    Une partie des données est issue de liste établie par Jean Pouëssel et Serge Laurent
    issue de l'ouvrage "601 communes et lieux de vie de la Manche" [31]
    et par le50enlignebis

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2020, la commune comptait 590 habitants[Note 11], en diminution de 0,84 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3121 5841 5751 7971 7521 6751 6091 5981 592
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4381 3531 3781 2721 2651 1621 1431 0751 089
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0091 052952834856805745724707
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    665622534503523535564582600
    2014 2019 2020 - - - - - -
    595588590------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Le haut-relief.
    • Église Sainte-Trinité reconstruite au début du XIXe siècle, après que la foudre ait frappé le clocher en 1803. Sont conservés, à l'extérieur, surmontant le porche d'entrée, un haut-relief classé[36] et à l'intérieur un bas-relief[37] datés tous deux de la fin du XIVe siècle, ainsi qu'un ancien maître-autel, tabernacle et retable en bois polychrome et doré, à deux colonnes, de la première moitié du XVIIIe siècle[38].
    • Prieuré Saint-Martin de Barnavast, érigé sur le site d'une importante villa gallo-romaine[39], près du hameau Goupil, et dont les murs de la chapelle contiennent un important morceau de fronton antique avec un fragment de texte romain, de nombreux élément de tuf coquillier, débités en moellons, qui pourraient provenir du pillage d'une nécropole antérieure[40]. Il fut fondé en 1120 par Richard de Lestre, lequel tenait la terre de Barnavast de Guillaume le Conquérant. Après avoir appartenu aux abbayes de Montebourg, Lessay, et Cerisy, il est vendu comme bien national à la Révolution et acquis par le curé de la paroisse Nicolas d'Ozouville[26].
    Au XVe siècle, Jehan Filleul, chef d'une bande de voleurs, poursuivi par le vicomte de Valognes et ses compagnons dans la forêt de Barnavast, fut découvert dans l'ermitage « dont il leur eschappa tout nu et s'enfuy », avant d'être finalement capturé[40].
    Il en subsiste un ensemble de bâtiments qui ont été bien modifiés au cours des siècles[26]. La cloche de la chapelle servait autrefois à guider les voyageurs égarés dans la forêt[26]. Le musée de Cherbourg a acquis des statues provenant de la chapelle du prieuré. L'une d'elles, représentant une femme nue plongée jusqu'à la taille dans un baquet, pourrait représenter sainte Venisse, ou Venice, ou sainte Véronique ou encore une vénus au bain[26].
    • Château de la Préfontainerie (XVIIIe siècle) sur Sainte-Croix-Bocage. Il a depuis sa construction été bien agrandi[28].
    • Maison de Teurthéville du XVIIIe siècle, avec ses deux pavillons latéraux inspirés de l'art antique, celui de droite était affecté à une chapelle[40]. Le château bâti en 1710[41], ou 1748[40], en remplacement du château des Fontaines dont certains vestiges, comme un linteau de granit sculpté posé sur des jambages en calcaire, ont été réemployés. Cet ancien château était bâti sur un petit tertre avec pont-levis et douves[28].
    • Château de Teurthéville-Bocage du XVIe – XIXe siècle avec deux ailes différentes, l'une du XVIe siècle ressemblant aux fermes-manoirs et la seconde du XIXe siècle au dessus d'un jardin[42].
    • Manoir de la Vacquerie, avec son imposante tour d'escalier[28], flanquée d'une petite tourelle au ras de sa toiture qui permet d'accéder depuis l'escalier principal à une petite chambre ronde[40].
    • Manoir de Berteauville, fortement remanié à de nombreuses époques, et restes d'une chapelle gothique. Il serait la plus ancienne habitation de Teurthéville[28]. Sa charreterie à trois arcades dont les deux colonnes octogonales centrales sont ornées à leurs bases de têtes de béliers sculptées et en chapiteaux de têtes grotesques ou d'attribut des béliers. La ferme-manoir était fortifiée et son enceinte extérieure dispose encore près des entrées de trous à fusils[43].
    • Chapelle et partie des bâtiments d'un prieuré de Bénédictins (prieuré Notre-Dame-de-la-Salle sur Sainte-Croix-Bocage). Fondé en 1214, il dépendait de Graville (Seine-Maritime), et fut réuni à la léproserie de l'endroitMaurice LecÅ“ur, Le Moyen Âge dans le Cotentin : Histoire & Vestiges, Isoète, , 141 p. (ISBN 978-2-9139-2072-9), p. 83.
    • Moulin Fleury.
    Pour mémoire
    • Église de Sainte-Croix-Bocage démolie en 1802, et dont il ne reste aucune trace.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Maurice LecÅ“ur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 62-67.
    • Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 108-109

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Thomas Michel fut inhumé dans le cœur de l'église « de céans le samedi cinquième jour du mois d'octobre 1591 ».
    10. En 2016, après 33 ans de mandat, le maire Serge Laurent démissionne et décède quelques semaines après, juste quand le préfet approuve la décision[29]
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Teurthéville-Bocage et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Teurthéville-Bocage et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1025 - (ISBN 2600001336).
    24. Régis Boyer, Le monde du double: la magie chez les anciens Scandinaves, Berg international, 1986.
    25. Société académique du Cotentin (archéologie, belles-lettres, sciences et beaux-arts), Coutances, 1900.
    26. Lecœur 2009, p. 67.
    27. Collectif, Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 199.
    28. Lecœur 2009, p. 62.
    29. Joanna Antoine succède à Serge Laurent à la Mairie, Ouest-France, 19 mai 2016
    30. Réélection 2014 : « Teurthéville-Bocage (50630) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    31. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Haut-relief : La Trinité ».
    37. « Bas-relief : Saint Marcouf, Saint Étienne, Saint Laurent et Saint Clair ».
    38. Lecœur 2009, p. 64.
    39. Thin 2009, p. 12.
    40. Thin 2009, p. 109.
    41. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 232.
    42. Girard et Lecœur 2005, p. 271.
    43. Thin 2009, p. 108.
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