Accueil🇫🇷Chercher

Sainte-Geneviève (Manche)

Sainte-Geneviève est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 308 habitants[Note 1].

Sainte-Geneviève
Sainte-Geneviève (Manche)
Église Sainte-Geneviève.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Gilbert Lepetit
2020-2026
Code postal 50760
Code commune 50469
Démographie
Gentilé Génovéfains
Population
municipale
308 hab. (2020 en diminution de 4,64 % par rapport à 2014)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 25″ nord, 1° 18′ 44″ ouest
Altitude Min. 9 m
Max. 60 m
Superficie 4,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val-de-Saire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sainte-Geneviève
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sainte-Geneviève
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Sainte-Geneviève
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Sainte-Geneviève

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 981 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 919,7 mm pour la période 1981-2010[11].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 23 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Geneviève est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,1 %), prairies (8,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Arravilla au XIIe siècle devient Arravilla cum ecclesia Sancta Genovefe, c'est-à-dire Arreville avec l'église Sainte-Geneviève à partir du XIIIe siècle puis en 1220 Sancta Genofeva.

    Le vocable, Sainte Geneviève, de l'église paroissiale l'a emporté au XIIIe siècle sur Arreville, conservé de nos jours par le hameau d'Arville.

    Le gentilé est Génovéfains.

    Histoire

    Osbert Vasteville (XIe siècle), seigneur de Sainte-Geneviève qui habitait à la Vastevillerie, aujourd'hui disparue, était parent du duc Guillaume et mit à la disposition de ce dernier quinze navires équipés pour traverser la Manche[23].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 Jean-Pierre Pesnelle
    1793 Bon Gaillard Agent municipal
    1793 Jean-Pierre Pesnelle
    1798 Bon Gaillard
    1798 1800 Jean-Pierre Pesnelle
    1800 1805 André Langlois
    1805 1822[24] Jean-Pierre Pesnelle
    1822 1831 Pierre François Marin Langlois
    1831 1835 Octave Pesnelle
    1835 1840 Pierre Marois
    1840 1873[25] Jean-Baptiste Marois[26]
    1874 1912 André Marie Langlois
    1912 1919 Jules Cord'homme
    1919 1923 Étienne Marois
    1923 1926 Bienaimé Hamel
    1926 1929 Louis Houivet
    1929 1932 François Joly
    1932 1945 Jean Marois
    1945 1954 Maurice de Brix
    1954 1983 Paul Hamel
    1983 2000 Michel Houllegatte
    2000 mars 2001 Michel Lerévérend SE Retraité
    mars 2014 Régine Gosselin SE Chef d'entreprise
    mars 2014[27] mai 2020 Bernard Hamel SE Retraité de l'agriculture
    mai 2020[28] En cours Gilbert Lepetit SE Agent de maîtrise retraité
    Une partie des données est issue d'un liste établie par Jean Pouëssel et Pierre-Yves Jolivet[23].

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[29].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2020, la commune comptait 308 habitants[Note 9], en diminution de 4,64 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    713541744748688684711653651
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    627605607567545491462450408
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    378393362328332327333322309
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    296291286296256293320329310
    2014 2019 2020 - - - - - -
    323313308------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Créée en 1970, l'entreprise Gosselin est spécialisée dans le conditionnement, l'expédition et l'exportation de légumes frais.

    Lieux et monuments

    La ferme de l'Abbaye ou tour de la Baronnie.
    La chapelle Notre-Dame-de-Lourdes.
    • Manoir d'Arville (XVIe siècle), inscrit aux monuments historiques[34].
    • Manoir de la Févrerie des XVIIe et XVIIIe siècles avec un bel escalier extérieur[35]. Il est composé d'un grand corps de logis conte lequel est accolé une grande tour rectangulaire, dont la partie supérieure, côté cour, est percée de trous de boulins disposés régulièrement destinés à accueillir des pigeons, attestant du caractère noble de la maison[36].
    • Manoir de la Dubosdière antérieur au XVIe siècle.
    • Manoir des Mares, au sud du bourg. Construit en 1615 par la famille Dagier du Theil[37], et restauré vers 1930, il conserve des vestiges intéressants ainsi qu'une façade classique en pierres taillées. C'est un prêtre, Jean Dagier, qui le construisit pour son neveu[35]. Les Dagier furent anoblis en 1652[35]. Ils perdirent leurs fortunes à la Révolution. Le dernier de la branche, Amédée Dagier, était ouvrier au port de Granville en 1860[35].
    • Manoir de la Dubourderie près de la rivière la Tombette. Demeure seigneuriale de la fin du XVIe siècle avec une porte double, charretière et piétonne, et une tour d'escalier octogonal en bel appareil en granit taillé, avec pigeonnier au sommet[35]. La tour de style gothique flamboyant qui rappelle le XVe siècle, comporte des éléments défensifs (meurtrières). Le logis est dominé par des cheminées rectangulaires et une de forme octogonale[38]. Le manoir fut érigé en 1595 par Nicolas Lefébure, receveur des tailles, anobli de fraîche date qui se fait alors construire une demeure en rapport avec son nouvel état. Il doit son nom à la famille de LÅ“uvre, sieurs du Bourg, qui l'occupaient en 1685. Cette famille ruinée à la Révolution, leurs descendants furent employés en tant qu'ouvriers à la filature du Vast[35].
    • Manoir du Hameau Normand.
    • Tour de la Baronnie du XVIe siècle, à côté de l'église, avec son porche d'entrée double, porte charretière et porte piétonne murée[39]. Ce petit édifice est flanqué d'une tour d'escalier cylindrique du XVIe avec modillons. La maison avec porte charretière, avec sur la droite un double regard, pourrait être le manoir de l'Abbaye que possédait l'abbaye du VÅ“u à Sainte-Geneviève « près du presbytère »[39].
    • Ferme du Laurier du XVIIIe siècle.
    • Ferme de la Fouquetière ou Fouquetterie du XVIIIe siècle, et ses lucarnes avec fronton semi-circulaire sous un toit à bâtière[35].
    • Ferme Saint-Jouvin.
    • La Moignerie.
    • Le Hameau Le Roi.
    • Ferme-manoir de la Grande Berquerie du XVIIIe siècle.
    • Manoir de la Lucaserie.
    • La Ruellerie, avec une belle façade du XVIIIe siècle.
    • La Rue Hardy ; maison ancienne avec portes charretière et piétonne[35].
    • La Rue Gaillard, avec plusieurs maisons intéressantes dont la ferme Saint-Jouvin.
    • Tour d'Arreville (ancien moulin sur la carte IGN ?), à 600 m du château. La tour cylindrique isolée, très remaniée, bâtie sur les traces d'une motte très abîmée (relevée par Frédéric Scuvée)[40].
    • Église Sainte-Geneviève, avec sa tour de clocher carrée à balustrades et gargouilles (XVe siècle) et tourelle d'angle carrée et fenêtres à linteaux[39]. Le chÅ“ur du XIIIe siècle a été refait au XVIIIe siècle. Le transept est du XVe. La nef actuelle a été construite en 1880 dans le style néogothique[38]. Le , le conseil municipal prit la décision de raser la flèche du clocher couverte en schiste qui tombait en ruine[39]. L'église abrite une statue de sainte Geneviève en pierre polychrome du XVIe siècle mais qui reprend les canons du siècle précédent placée au-dessus du maître-autel et retable baroque.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Maurice LecÅ“ur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 74-77.
    • Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 131-132.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Sainte-Geneviève et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Sainte-Geneviève et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 521.
    24. décédé en exercice le
    25. décédé en exercice le
    26. Annuaire du département de la Manche, 33e année, 1861, p 244.
    27. « Bernard Hamel devient le nouveau maire du village », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
    28. « Gilbert Lepetit succède à Bernard Hamel », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
    29. « Sainte-Geneviève (50760) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Manoir d'Arville », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. Lecœur 2009, p. 75.
    36. Thin 2009, p. 132.
    37. Collectif, Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 191.
    38. Thin 2009, p. 131.
    39. Lecœur 2009, p. 76.
    40. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 28e éd. (1re éd. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 1099.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.