Saint-Pierre-Église
Saint-Pierre-Église est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 824 habitants[Note 1].
Saint-Pierre-Église | |
L'église Saint-Pierre. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
Maire Mandat |
Daniel Denis 2020-2026 |
Code postal | 50330 |
Code commune | 50539 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Pierrais |
Population municipale |
1 824 hab. (2020 ) |
Densité | 226 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 40′ 06″ nord, 1° 24′ 14″ ouest |
Altitude | Min. 4 m Max. 138 m |
Superficie | 8,06 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Cherbourg-en-Cotentin (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Val-de-Saire |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Géographie
La commune est en Val de Saire, au nord-est du Cotentin. Son bourg est à 15 km au nord-ouest de Saint-Vaast-la-Hougue, à 18 km à l'est de Cherbourg-en-Cotentin et à 22 km au nord de Valognes[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[10] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 919,7 mm pour la période 1981-2010[12].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 16 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Saint-Pierre-Église est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,1 %), prairies (38,9 %), zones urbanisées (15,2 %), forêts (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), zones humides intérieures (0,2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Sancti Petri Ecclesia au XIIe siècle[24].
Son sens est « église Saint-Pierre » ou « église de Saint-Pierre », la paroisse et son église étant effectivement dédiées à Pierre, apôtre et premier pape, au Ier siècle.
Ce type de formation toponymique médiévale est identique à celui de Sainte-Mère-Église (Manche, Sancte Marie Ecclesia 1080-1082 ; Saincte Mariglise 1317), signifiant « église Sainte-Marie »[24]. Plus loin, les types Arthéglise (Manche, Archetiglise vers 1150, « l’église d’Arnketill », nom de personne scandinave)[24] et l'Écluse (Manche, Saint-Martin-le-Gréard, altération de Coleclesia vers 1000, c'est-à -dire *Coliglise / *Coléglise, « l'église de Koli », nom de personne scandinave) sont également formés sur le modèle déterminant - déterminé : nom de personne ou de saint + église. Il s'agit d'un mode de composition influencé par les langues germaniques (régionalement vieux norrois et vieil anglais également) et que l'on retrouve plus généralement en Normandie, par exemple Buglise (Seine-Maritime, Ecc. de Buiglise vers 1240, sur nom de personne scandinave Búi) et, avec l'appellatif vieux norrois kirja « église », Yvecrique (Seine-Maritime) « l'église d'Yves ».
Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Pierre-Ferme[25].
Le gentilé est Saint-Pierrais.
Histoire
Après la conquête de l'Angleterre en 1066, les Clamorgan, seigneurs anglo-saxons, ralliés à Guillaume le Conquérant, se virent doté du fief de Saint-Pierre-Église[26] - [Note 9].
D'après le livre noir de l'évêché de Coutances, vers 1251, le territoire de Saint-Pierre-Église était partagé en plusieurs seigneuries, possessions des Clamorgan et des Nerbonne. Ces derniers avaient disparu un siècle plus tard, les Clamorgan se partageant le fief[27].
En , le duc de Lancastre, futur roi d'Angleterre sous le nom d'Henri V, débarque à la Hougue ; Saint-Pierre-Église et trente-six paroisses sont pillées. En 1417, le seigneur de Saint-Pierre, Raoul Lesage, descendant des Clamorgan, contrairement à ses voisins, se rallie aux Anglais et devient l'un des principaux conseillers du duc de Bedford, frère d'Henri V et préside l'échiquier de Normandie[28]. Le roi d'Angleterre, Henri V lui donne les fiefs confisqués de Bellanville (), et l'intègre au grand conseil. Raoul fera bénéficier l'église de Valognes de ses deniers et entreprit probablement l'édification d'un manoir fortifié à Saint-Pierre où il résidait peu. En 1438, dans le partage de sa succession, la seigneurie de Saint-Pierre échoit à son cousin Thomas V de Clamorgan[28], rallié également au roi d'Angleterre pour lequel il occupe les fonctions de vicomte de Coutances (fl. 1424-1430) et Valognes (1429-1433) où il possédait un hôtel situé rue Siquet. Il se montrera également très généreux avec l'église de Valognes. Charles VII une fois rentré en possession de la Normandie, en 1450, conserva à Thomas son fief de Saint-Pierre[28], mais reprit les fiefs confisqués afin de les rendre à leurs propriétaires[29].
En 1515, c'est Jean de Clamorgan[Note 10], petit-fils de Thomas, qui rend aveu au roi de la seigneurie de Saint-Pierre. Dans l'aveu, il est fait mention pour la première fois d'une « forte maison à pont-levis », fief « qui s'étend d'ancienneté sur les paroisses de Clitourps, Cosqueville, Fermanville et Néville, etc. ». Outre les halles de Saint-Pierre, il fait édifier un moulin, au lieu-dit la Masse, car ceux d'Hacouville étaient trop éloignés du bourg. Lui succède son fils, nommé également Jean de Clamorgan. Jacqueline de Clamorgan, fille ou parente du précédent, vendra en 1575 à Richard Castel (†1592), sieur de Rauville, le fief terre et sieurie de Saint-Pierre, qui à sa mort passera à son fils Nicolas Castel.
Lors des guerres de Religion François II du Tourps, ligueur, comme son père François sieur du Tourps, attaque le marché de Saint-Pierre[Note 11].
Foires et marchés
Depuis le Moyen Âge, s'y tenait une foire annuelle dite de la Saint-André[30].
Le marché de Saint-Pierre-Église existe depuis 1517[28]. C'est François Ier qui par lettres patentes octroyées à Rouen en autorise Jean de Clamorgan[Note 12] à tenir un marché hebdomadaire, le mercredi, dans la paroisse[28], où ce dernier fait construire des halles.
Héraldique
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Les armes de la commune de Saint-Pierre-Église se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[34].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].
En 2020, la commune comptait 1 824 habitants[Note 13], en augmentation de 3,99 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Saint-Pierre-Église a compté jusqu'à 2 436 habitants en 1851.
Économie
Le marché de Saint-Pierre se tient de nos jours chaque mercredi.
- Atelier géré par la chambre de commerce et d'industrie de Cherbourg-Cotentin.
Lieux et monuments
- Château de Saint-Pierre-Église, du XVIIIe siècle, inscrit aux monuments historiques[38].
- Église Saint-Pierre.
- De style Louis XIII, elle est reconstruite au milieu du XVIIe siècle avec une nef en forme de barque renversée, en souvenir dit-on de la barque de saint Pierre, l'arête de la voûte figurant la quille, grâce à la générosité de Charles Castel, baron de Saint-Pierre[39]. À la même époque, la dernière marche porte la date de 1661, on surélève la tour carrée, comme le montre l'appareil de sa maçonnerie, atteignant 30 mètres. Sa base conserve le porche roman du XIIe en plein cintre, et on la couronne d'une plate-forme avec balustrades en granit et de clochetons en forme de guérites à chacun de ses angles. La nef de l'église primitive sert de bas-côté. Le maître-autel date du XVIIe[40]. Le retable à trois autels date de 1824[41]. Son tableau représente saint Pierre rencontrant le Christ ressuscité. Les peintures de la voûte datent de 1924. Dans les médaillons du haut sont inscrits les commandements de Dieu, et ceux de l'Église sont situés au-dessus des arcades.
- Statue de l'abbé de Saint-Pierre. Le buste en bronze posé en 1933, fondu pendant l'occupation allemande, est remplacé en 1954 par une statue en pierre réalisée par les Beaux-Arts. En dessous de la statue figurent une inscription et les armoiries de la famille Castel, « de gueules, au chevron d'argent, accosté de trois roses d'or, 2 en chef et 1 en pointe »[42].
- Deux des menhirs du groupe qui forme un triangle dit du « Mariage des trois princesses » : la Longue Pierre et la Haute Pierre. Le troisième, la Pierre Plantée, est sur le territoire de Cosqueville. Selon la légende, ces princesses étaient des fées dont la dot avait été enfouie au centre de ce triangle remarquable, et on pensait que ces pierres tournaient pendant la messe de minuit[43].
Activité et manifestations
Jumelages
Sports
L'Association sportive Pointe Cotentin fait évoluer trois équipes de football en divisions de district[44].
Personnalités liées à la commune
- L'abbé de Saint-Pierre (1658 à Saint-Pierre-Église - 1743), académicien et philosophe.
- Paul Lamache ( à Saint-Pierre-Église - à Grenoble), professeur de droit, un des sept fondateurs de la société de Saint-Vincent-de-Paul.
- Pierre-Marie Beaude, écrivain, né à Saint-Pierre-Église en 1941.
Voir aussi
Bibliographie
- Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 39-42.
- Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 147-151.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Saint-Pierre-Église sur le site de la communauté de communes
- Site non officiel sur la commune
- Résumé statistique de Saint-Pierre-Église sur le site de l'Insee
- Saint-Pierre-Église sur Wikimanche
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Un Thomas Clamorgan participera, avec Robert Courteheuse à la première croisade en 1096[26].
- Il fut capitaine de galion du Roi sous François Ier, puis premier capitaine de la marine du Ponant (vice-amiral).
- Il réussira à s'emparer également de la tour de Tatihou.
- La famille de Clamorgan (ou de Gratchef), d'origine anglo-saxonne, ralliée à Guillaume le Conquérant après 1066, est l'une des plus anciennes familles de Saint-Pierre-Église.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Pierre-Église et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Pierre-Église et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Thin 2009, p. 13.
- Jeannine Bavay, « Les seigneurs de Saint-Pierre-Église », Vikland, la revue du Cotentin, no 6,‎ juillet-août-septembre 2013, p. 63 (ISSN 0224-7992).
- Thin 2009, p. 15.
- Bavay - Les seigneurs de Saint-Pierre-Église, Vikland n° 6, p. 63.
- Maurice Lecœur, Le Moyen Âge dans le Cotentin : Histoire & Vestiges, Isoète, , 141 p. (ISBN 978-2-9139-2072-9), p. 53.
- « GASO, la banque du blason - Saint-Pierre-Église Manche » (consulté le ).
- « Christine Lebacheley a adressé ses derniers vœux », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Daniel Denis succède à Christine Lebacheley à la mairie », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Saint-Pierre-Église (50330) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Château », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 57.
- Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 215.
- Thin 2009, p. 150.
- Collectif, Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 154.
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