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Clitourps

Clitourps (prononcé [klituʁ][1]) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 226 habitants[Note 1].

Clitourps
Clitourps
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Juliette Hurlot
2020-2026
Code postal 50330
Code commune 50135
Démographie
Gentilé Clitourpais
Population
municipale
226 hab. (2020 en augmentation de 12,44 % par rapport à 2014)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 21″ nord, 1° 22′ 16″ ouest
Altitude Min. 53 m
Max. 137 m
Superficie 6,30 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val-de-Saire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Clitourps
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Clitourps
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Clitourps

    Géographie

    La commune est au nord-est de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à km au sud-est de Saint-Pierre-Église, à km à l'ouest de Barfleur et à 11 km au nord-ouest de Quettehou[2].

    Dans cette commune, la roche dominante est l'arkose.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 882 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 919,7 mm pour la période 1981-2010[13].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 18 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,7 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Clitourps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [18] - [19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,1 %), prairies (17 %), forêts (9,8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Clitorp en 1164[25] - [26] ; Clitorp vers 1180 (cartulaire de Coutances, copie Delisle)[25].

    Le toponyme est issu du norrois klif, « rocher, butte, falaise », et thorp (comprendre þorp), « ferme (isolée), groupe de fermes isolées, village »[27] - [25] - [26] - [28], d'où le sens global de « groupe de fermes, village de la butte ». Dans cette hypothèse, il faut supposer que la butte en question est le mont Étolan, qui culmine à 138 m sur le territoire de Saint-Pierre-Église, et s'étend sur les deux communes.

    Remarque : l'appellatif norrois (ou vieil anglais) klif se retrouve pluieurs fois en Normandie, notamment en Cotentin avec le mont Étanclin (Mont Estenclif 1262), mont de Doville (anciennement mont Escalleclif) et vraisemblablement le mont Clin (la Hague). Quant à l'évolution de -torp en -tourp, -tour(s) n'apparaît qu'au XVIe siècle dans le nord Cotentin (cf. le Tourp), alors qu'ailleurs la voyelle ouverte o de torp se maintient (cf. le Torp). Il s'agit d'une mutation locale que l'on constate aussi dans hougue, resté hogue dans les autres pays normands.

    Le gentilé est Clitourpais.

    Histoire

    Un des premiers seigneurs de Clitourps fut Gresten (Geirsteinn en vieux norrois), qui a laissé son nom au fief de Grainthéville (Grestenvilla) manoirde Grintheville [29]. Un autre Scandinave, Torgis ou Turgis (Þórgíls en vieux norrois) son vassal ou parent, bâtit le manoir de Torgistorps, devenu plus tard prieuré. D'après les notes de Léopold Delisle, Clitourps fut le berceau de la famille Prevel, dont un membre Regnouf (ou Renouf, vieux norrois RúnulfR, influencé dans la prononciation populaire par les noms francs en Ragin- > Re- cf. Raginald > Renaud), prit une part importante à la conquête de l'Angleterre en 1066, sous la conduite de Guillaume le Bastard.

    À la fin du XIe siècle, Roger était seigneur de Clitourps. Simon, son fils, avait le patronage de l'église qu´il donna en 1120 dans toute son intégrité au chapitre de Coutances[30]. En 1189, Hugues, fils d´Amaury, seigneur de Clitourps suivit Richard Cœur de Lion à la troisième croisade (1189-1192)[29].

    En 1224, le seigneur de Clitourps s´appelait Gaulthier. En 1287, Robert de La Haye, écuyer, procéda sans succès contre le chapitre de Coutances au sujet du patronage de l'église. Dans la première moitié du XIVe siècle, le seigneur de la paroisse est Jean de Clitourps. Une de ses filles porta cette terre dans la famille Osbert (d´argent à la croix de gueules cantonnée de quatre lionceaux de sable). Guillaume Osbert est mort en 1455, il laisse un fils Pierre Osbert, seigneur de Tesson, Brucheville, Clitourps et des Moutiers, vicomte de Coutances. Il vivait encore en 1485. Par mariage, vente, échange ou autrement, la seigneurie de Clitourps passe dans la famille des Castel, qui possède le fief de Saint Pierre Église depuis 1475. Le , Bon Thomas Castel vendit la seigneurie et le patronage honoraire de Clitourps à Charles Alexandre Lefèvre, écuyer, sieur de Crainthéville[31].

    À la révolution, Raymond de Saint-Maurice ( 1823), dernier abbé du prieuré de Torgistorps, représenta en 1789 le clergé aux États généraux de Coutances. Il contribua à la restauration du couvent de la communauté des bénédictines de Valognes[29].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 octobre 1795 Jean Sorel
    8 novembre 1796 Jean Robine Agent national
    1800 1805 Charles-Dominique de la Tour Acquéreur du prieuré
    1806 1818 Bon Roupsard
    1818 1830 Alexandre Delisle
    1830 1835 Charles Lelong
    1835 1848 Alexandre Delisle
    1848 1848 Jacques Sorin
    1848 1870 Alexandre Delisle
    1870 1875 Victor Delisle
    1875 ? Auguste Delisle
    1977 1983 Michel Robine
    1983 mars 2001 René Fautrat
    mars 2001[32] En cours Bernard Lebaron[33] UMP Contrôleur des affaires maritimes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[33].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

    En 2020, la commune comptait 226 habitants[Note 9], en augmentation de 12,44 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Clitourps a compté jusqu'à 622 habitants en 1806.

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    521532622505502511461414398
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    362333314321330302304270288
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    276292292268264229225222220
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    183175135145140138164179197
    2014 2019 2020 - - - - - -
    201226226------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Une des éoliennes près de Clitourps.

    Parc éolien de Clitourps : il y a quelques années a eu lieu l'installation de cinq éoliennes sur la commune.

    Lieux et monuments

    • Abri sous roche du Mont Étolan. Le site a été occupé par dix à douze Néandertaliens entre 55 000 et 40 000 ans avant notre ère. Ils pratiquaient la chasse ou le charognage, et découpaient les morceaux avec des silex. Les fouilles ont débuté en après la découverte d'un biface. Ils s'abritaient dans de petites dépressions ou cuvettes d'un mètre environ afin de se mettre à l'abri des vents dominants[38].
    • Manoir de Fontenay du XVIe siècle, typique des manoirs fortifiés du Val de Saire, inscrit au titre des monuments historiques depuis le [39].
    • Le nouveau Fontenay ou manoir de la Féronnerie, du XVIIIe siècle.
    • Église Notre-Dame du XVIIe siècle en forme de croix latine. Son chœur a été rebâtie au XVIIe siècle. Elle abrite de belles statues des XVe et XVIIIe siècles soit en pierre ou en poterie dont une Vierge à l'Enfant en terre cuite polychromée et dorée du XVIIIe, de saint Jean-Baptiste (XVIIIe), de sainte Marguerite (XVe), un diacre tenant un livre (XVe), une sainte Barbe (XVIe) ainsi que des fonts baptismaux en calcaire d'Yvetot décoré de motifs de rinceaux et d'une inscription gothique « JESUS » (XVIe ou XVIIe siècle)[40], un maître-autel (XVIIIe) et une verrière (XIXe) de L. Mazuet[29].
    • Manoir de Grainteville ou Graintheville ou Grintheville reconstruit au XVIIe siècle[41] et son vieux colombier ; haut d'un étage sur-rez-de-chaussée, avec une façade plate et une porte centrale et des fenêtres très rapprochées surmontée d'un large fronton en triangle isocèle donnant l'impression d'un pavillon central, alors que les fenêtres latérales sont surmontées par deux lucarnes ayant chacune deux oculus ronds sous un décor isocèle[42]. Les communs recèlent une charretterie à trois arches en plein cintre reposant sur des colonnes à tailloirs.
    • Calvaire Saint-Martin, deux tombeaux tectiformes (XIXe siècle).
    • Ferme de la Feuvrerie du XVIe siècle.
    • Manoir de Torgistorps (XIIe siècle) la forme ancienne était Turgistorp[43]. est un ancien prieuré fondé en 1170, vendu comme bien national en 1792[29]. Il dépendait de l'abbaye de Saint-Sauveur[44].
    • Manoir de la Seiglerie[45].
    • Le manoir de Fontenay.
      Le manoir de Fontenay.
    • L'église Notre-Dame.
      L'église Notre-Dame.
    • Grand arbre du cimetière.
      Grand arbre du cimetière.

    Personnalités liées à la commune

    • Nicolas Lemaître la Houguette (1733-1817), sera élu en et réélu en 1791 administrateur du département de la Manche[29].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 159
    • Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 42-43.
    • Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 93-96

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 96.
    2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Clitourps et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Clitourps et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 102.
    26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 1015.
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    28. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 74, 134.
    29. Gautier 2014, p. 159.
    30. Louis Drouet, Recherches historiques sur les vingt communes du canton de Saint-Pierre-Église. Cherbourg, Imprimerie Saint-Joseph, 1893. Réédition par les Éditions Heimdal à Bayeux, 1977.
    31. M. Renault, Annuaire de la Manche, 1868, page 98.
    32. « Bernard Lebaron brigue un nouveau mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. Réélection 2014 : « Bernard Lebaron retrouve son fauteuil de maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Thin 2009, p. 11 et 12.
    39. « Manoir de Fontenay », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. Thin 2009, p. 94.
    41. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 199.
    42. Thin 2009, p. 96.
    43. Georges Bernage, « Les Vikings du Sarnes », Vikland, la revue du Cotentin, no 5, avril-mai-juin 2013, p. 9 (ISSN 0224-7992).
    44. Georges Bernage, « La presqu'île du Cotentin - Dans le Val de Saire », dans La Normandie médiévale : 10 itinéraires, Éditions Heimdal, coll. « La France Médiévale », , 174 p. (ISBN 2-902171-18-8), p. 30.
    45. Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 42.
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