Montesquieu (Lot-et-Garonne)
Montesquieu est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Montesquieu | |||||
La mairie et le monument aux morts | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | NĂ©rac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Albret Communauté | ||||
Maire Mandat |
Alain Polo 2020-2026 |
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Code postal | 47130 | ||||
Code commune | 47186 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Montesquinois[1] | ||||
Population municipale |
767 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 12âČ 09âł nord, 0° 26âČ 19âł est | ||||
Altitude | 47 m Min. 30 m Max. 163 m |
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Superficie | 25,53 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Agen (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Lavardac | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune de Montesquieu, avec ses 2 554 hectares, est une des plus grandes du canton, exclusivement agricole qui présente des paysages variés : les coteaux boisés et couverts de vignobles, la plaine alluvionnaire traversée par le canal de Garonne, à vocation céréaliÚre et fruitiÚre, qui s'appuie sur les bords de Garonne.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Bruch, Clermont-Dessous, Espiens, Montagnac-sur-Auvignon, Saint-Hilaire-de-Lusignan, Saint-Laurent et SĂ©rignac-sur-Garonne.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bruch », sur la commune de Bruch, mise en service en 1971[9] et qui se trouve Ă 2 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 758,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et Ă 11 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Montesquieu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (81,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (46,5 %), cultures permanentes (16,3 %), forĂȘts (16 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11,8 %), prairies (5,1 %), eaux continentales[Note 7] (4,3 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montesquieu est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue Ă dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment la Garonne, le Canal latĂ©ral Ă la Garonne, l'Auvignon, le Ruisseau de Saint-Martin, le MestrĂ©-Pont et la Gaule. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009 et 2018[24] - [22].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[26]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2009, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Histoire
Elle était autrefois contenue dans l'ancienne vicomté du Bruilhois. Cette vicomté, aprÚs avoir appartenu aux seigneurs de Xantrailles, passa en 1555, aux mains des rois de Navarre. Les rois de France, aprÚs Henri IV, seront vicomtes du Bruilhois jusqu'en 1789.
à l'origine Monteschivum (1162), l'étymologie est simple si on lit Mont-Esquieu. Ce dernier mot, de l'ancien occitan « esquiu », signifie « difficile », « sauvage » ou « montagneux ». Ce nom décrit bien la situation isolée de Montesquieu sur le coteau difficile d'accÚs. Les Coutumes de Montesquieu datent de 1349. Le chùteau de Montesquieu, construit à l'époque féodale, sur un éperon rocheux dominant la vallée de la Garonne, rappelle par son plan général, celui de Bonaguil : il a la forme de nef ancrée sur les rochers, domine la route par sa proue et s'étend à l'arriÚre sur le plateau. Au cours des siÚcles, le chùteau de Montesquieu a connu l'occupation des Anglais, les pillages, les guerres de religion...
Le village de Montesquieu a donné son nom à l'écrivain Montesquieu. Montesquieu (1689-1755), plus exactement Charles Louis de Secondat de Montesquieu, est issu paternellement d'une grande famille agenaise, les Secondat, originaires du Berry, qui se sont installés au XVe siÚcle en Agenais, puis au service des Albret.
C'est Jeanne d'Albret, reine de Navarre et vicomtesse de Bruilhois, qui, « pour ses bons et loyaux services », vend Ă pacte de rachat perpĂ©tuel les sept terres et seigneuries de Roquefort, SĂ©rignac, Montesquieu, SĂ©gougnac, Plaichac, Goulard et Cuq, situĂ©es en Bruilhois, Ă Jean de Secondat, seigneur de Roques, le . Cette vente Ă©tant faite Ă pacte de rachat, les terres pouvaient ĂȘtre rachetĂ©es par le vendeur pour le prix de la vente. Dans un acte du , Henri III de Navarre constate la cession faite le par sa mĂšre des terres et seigneuries de Roquefort, SĂ©rignac, Montesquieu, SĂ©gougnac, Plaichac, Goulard et Cuq, Ă condition de rachat perpĂ©tuel, sous conditions de foi et hommage, et dĂ©cide de vendre, cĂ©der et transporter Ă perpĂ©tuitĂ© audit Jean de Secondat, seigneur de Roques, ladite facultĂ© de rachat rĂ©servĂ©e par la reine Jeanne d'Albret, sa mĂšre, pour la somme de 14 000 livres, ensemble tous et chacun les autres droits et devoirs seigneuriaux lui appartenant. Le roi se rĂ©serve les foi et hommage[28]. Et c'est Henri IV qui, en fĂ©vrier 1606, Ă©rige en baronnie les terres de Montesquieu, pour Jacob, fils de Jean. Celui-ci, seigneur baron de Montesquieu, n'est autre que l'arriĂšre-grand-pĂšre de l'illustre Montesquieu.
HĂ©raldique
Blason | D'azur Ă la fasce d'or, accompagnĂ©e en chef de deux coquilles du mĂȘme et en pointe d'un croissant d'argent[29]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[31].
En 2020, la commune comptait 767 habitants[Note 9], en augmentation de 0,13 % par rapport Ă 2014 (Lot-et-Garonne : â0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
C'est sur ces terres fertiles des bords de Garonne qu'est implanté le Conservatoire végétal régional d'Aquitaine, dont la mission est de retrouver le patrimoine fruitier régional ancien, le protéger et assurer sa revalorisation. Les principales productions agricoles de Montesquieu sont : le vin d'appellation cÎtes de Buzet, les céréales, les fruits (surtout pommes et pruneaux), les pépiniÚres fruitiÚres.
Lieux et monuments
- Chùteau de Montesquieu, dont il ne reste plus aujourd'hui que les remparts, percés de trois portes, le logis du corps de garde, un puits authentique trÚs profond. Du temps du philosophe Montesquieu, le chùteau était déjà en mauvais état, et celui-ci venait plutÎt en sa propriété du Sahuc, en bord de Garonne.
- Conservatoire végétal régional d'Aquitaine, lieu de mémoire fruitiÚre[34].
- Ăglise Saint-BarthĂ©lemy de BĂ©quin. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[35].
- Ăglise Saint-FĂ©lix de Montesquieu. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[36].
- Ăglise Saint-Jean-Baptiste de Resteau. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[37].
Personnalités liées à la commune
La ville est principalement connue grùce à Charles Louis de Secondat, qui fût baron de la ville.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Lot-et-Garonne », sur habitants.fr (consulté le ).
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
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- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Jules de Bourrousse de Laffore, Notes historiques sur des monuments féodaux ou religieux du département de Lot-et-Garonne, p. 235-236, Revue de l'Agenais, 1880, tome 7 (lire en ligne)
- Cercle Héraldique, Généalogique et Historique du 47
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- conservatoire végétal
- « Eglise paroissiale Saint-Barthélémy. », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Eglise paroissiale Saint-Félix. », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste. », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )