Millac
Millac est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Millac | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Vienne | ||||
Arrondissement | Montmorillon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vienne et Gartempe | ||||
Maire Mandat |
Bernard Savard 2020-2026 |
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Code postal | 86150 | ||||
Code commune | 86159 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
524 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 46° 11âČ 26âł nord, 0° 41âČ 17âł est | ||||
Altitude | Min. 98 m Max. 216 m |
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Superficie | 40,59 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Lussac-les-ChĂąteaux | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Vienne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation et accĂšs
Millac est située au sud-est de la Vienne, à la frontiÚre de la Charente.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le-Vigeant », sur la commune du Vigeant, mise en service en 1991[7] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 776,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et Ă 52 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 12,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Millac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (86,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (87,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (37 %), terres arables (34,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (15,1 %), forĂȘts (10,4 %), eaux continentales[Note 7] (1,8 %), zones urbanisĂ©es (0,9 %), mines, dĂ©charges et chantiers (0,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Millac est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Vienne et la Blourde. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010[22] - [20]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Vienne "amont" - Section Availles-Limouzine/Valdivienne », approuvĂ© le et par le PPRI « Vienne CommunautĂ© de Communes Vienne et Gartempe (CCVG) », prescrit le [23].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[24]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[25]. 46 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [26].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2016, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].
Risque technologique
La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages de Lavaud-Gelade et de VassiviĂšre dans la Creuse, des ouvrages de classe A[Note 9]. Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture d'un de ces ouvrages[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Millac est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[29].
Toponymie
Le nom du village proviendrait de l'anthroponyme gallo-romain Aemilius (Ămile) avec le suffixe latin de propriĂ©tĂ© -acum, signifiant domaine d'Ămile[30].
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour dâassises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[33].
En 2020, la commune comptait 524 habitants[Note 10], en augmentation de 2,54 % par rapport Ă 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 2008, selon lâInsee, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 13 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
La diminution de 11 % de la population de la commune de 1999 Ă 2006 sâintĂšgre dans une Ă©volution gĂ©nĂ©rale Ă lâensemble des communes rurales du dĂ©partement de la Vienne. Les zones rurales perdent de leurs habitants au profit dâune vaste rĂ©gion circonscrite autour des deux grandes mĂ©tropoles du dĂ©partement : Poitiers et ChĂątellerault, et plus particuliĂšrement au profit des cantons limitrophes de la prĂ©fecture.
Ăconomie
Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes[36], il n'y a plus que 29 exploitations agricoles en 2010 contre 37 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisĂ©es ont paradoxalement augmentĂ© de 9 % et sont passĂ©es de 2 478 hectares en 2000 Ă 2 712 hectares en 2010[36]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible dâexploitations. Cette tendance est conforme Ă lâĂ©volution constatĂ©e sur tout le dĂ©partement de la Vienne puisque de 2000 Ă 2007, chaque exploitation a gagnĂ© en moyenne 20 hectares[37].
27 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 12 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 1 % pour les protéagineux, 30 % pour le fourrage et 25 % restent en herbes[36].
Huit exploitations en 2010 (contre onze en 2000) abritent un Ă©levage de bovins (825 tĂȘtes en 2010 contre 513 tĂȘtes en 2000). Seize exploitations en 2010 (contre 29 en 2000) abritent un Ă©levage important d'ovins (6 988 tĂȘtes en 2010 contre 11 115 tĂȘtes en 2000)[36]. Cette Ă©volution est conforme Ă la tendance globale du dĂ©partement de la Vienne. En effet, le troupeau dâovins, exclusivement destinĂ© Ă la production de viande, a diminuĂ© de 43,7 % de 1990 Ă 2007[38]. En 2011, le nombre de tĂȘtes dans le dĂ©partement de la Vienne Ă©tait de 214 300 tĂȘtes[39]. L'Ă©levage de volailles a disparu au cours de cette dĂ©cennie (559 tĂȘtes rĂ©parties sur 22 exploitations)[36].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Gervais-et-Saint-Protais de Millac. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[40].
Le vallon du puits du Tourlet
Le vallon, qui est une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[41],au fond duquel coule le ruisseau du Puits de Tourlet est situĂ© dans lâextrĂȘme sud-est du dĂ©partement de la Vienne entre lâIsle-Jourdain et Availles-Limouzine, sur la rive droite de la Vienne. Le vallon est dâorientation gĂ©nĂ©rale ouest-est.
Le vallon aux sols acides, présente des versants pentus aux expositions trÚs contrastées - majoritairement sud ou sud-ouest sur la rive droite et nord ou nord-est pour la rive gauche - générant des micro-climats tranchés.
De ce fait, la forĂȘt qui sâĂ©tage le long des versants, a adoptĂ© un boisement diversifiĂ© : une chĂȘnaie acidophile Ă ChĂȘne pĂ©donculĂ© sur les sols Ă tendance sableuse et peu profonds des pentes raides, une chĂȘnaie-charmaie sur les substrats plus argileux des bas de versants et une aulnaie-frĂȘnaie en fond de thalweg dans la zone dâinfluence de la nappe du ruisseau.
La strate herbacée mélange de nombreuses plantes sylvatiques banales avec des espÚces à affinités submontagnardes comme :
- le Myosotis des bois,
- le Compagnon rouge,
- la Jacinthe des bois,
- lâOrnithogale des PyrĂ©nĂ©es,
- lâAconit tue-loup : il sâagit dâune robuste RenonculacĂ©e dont la tige, haute jusquâĂ un mĂštre, porte de grandes feuilles profondĂ©ment divisĂ©es et produit Ă partir du mois de juin une grappe plus ou moins rameuse de fleurs jaune pĂąle en forme de casque allongĂ© trĂšs caractĂ©ristiques. Elle est rĂ©pandue dans les PyrĂ©nĂ©es, les Alpes et le Massif central mais rarissime dans les plaines atlantiques. En Poitou-Charentes, lâaconit se trouve dans des sites trĂšs dispersĂ©s, presque tous situĂ©s dans la partie granitique du dĂ©partement de la Vienne (quelques trĂšs rares cas sont connus sur calcaire toutefois comme Ă LigugĂ©), toujours en situation fraĂźche, en gĂ©nĂ©ral en fond de vallons ombragĂ©s ou en bordure de ruisseaux ou de petites riviĂšres.
- la Scille Ă deux feuilles est abondante sur le site. RĂ©pandue dans lâEst et le Centre de la France, elle se rarĂ©fie fortement vers lâouest et sâarrĂȘte Ă la vallĂ©e de la Vienne qui constitue dans la rĂ©gion sa limite gĂ©ographique naturelle.
Voir aussi
Articles de Wikipédia
Sources
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[27].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Le-Vigeant - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Station Météo-France Le-Vigeant - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Millac et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
- Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes â Edition FLOHIC â 2002 â (ISBN 2-84234-128-7).
- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Agreste â EnquĂȘte Structure 2007
- Agreste â Bulletin n°12 de Mai 2013
- Panorama de lâAgriculture en Vienne â Juin 2012 â Chambre dâAgriculture de la Vienne
- « Eglise paroissiale Saint-Gervais, Saint-Protais », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011