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Messanges (Landes)

Messanges est une commune française située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Messanges
Messanges (Landes)
La plage de Messanges.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes de Maremne-Adour-CÎte-Sud
Maire
Mandat
Hervé Bouyrie
2020-2026
Code postal 40660
Code commune 40181
DĂ©mographie
Gentilé Messangeot
Population
municipale
986 hab. (2020 en augmentation de 4,01 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 29 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 48â€Č 59″ nord, 1° 22â€Č 39″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 60 m
Superficie 34,00 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Marensin-Sud
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Messanges
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Messanges
GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
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Messanges
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Messanges

    Le gentilé est Messangeot[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune situĂ©e dans la forĂȘt des Landes en Marensin, station balnĂ©aire de la CĂŽte d'Argent (Messanges-Plage) possĂ©dant deux plages surveillĂ©es sur l'ocĂ©an Atlantique.

    Plage de Messanges (Landes)
    Plage de Messanges (Landes)

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Azur, LĂ©on, Moliets-et-Maa, Soustons et Vieux-Boucau-les-Bains.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 304 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Leon », sur la commune de LĂ©on, mise en service en 1965[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 181 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et Ă  29 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  14,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Messanges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (77,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (83,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (61,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (13 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,4 %), zones urbanisĂ©es (5,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (3,5 %), terres arables (2,8 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,6 %), prairies (1,1 %), mines, dĂ©charges et chantiers (0,8 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Messanges est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[25]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[26].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par submersion marine. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999 et 2009 et au titre des inondations par remontĂ©e de nappe en 2020[27] - [25].

    Messanges est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[28] - [29].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont un recul du trait de cÎte et de falaises et des tassements différentiels[30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Messanges.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 074 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Toponymie

    Étymologie

    Albert Dauzat et Charles Rostaing identifient le nom de personne latin ou gaulois Mettius, suivi du suffixe latin -anicum[32].

    Effectivement, le suffixe -anicum / as aboutit à -ange(s) en phonétique française. cf. granica > grange. Il a par ailleurs donné les terminaisons -argue(s) et -ergue(s) dans le sud-est, selon une évolution phonétique propre à cette région. En outre, Le suffixe -anicum ou -anicas (sous-entendu fundus ou terras) a formé des derivés qui seront, plus tardivement, à l'ablatif-locatif pluriel en -anids[33], ce qui est conforme aux formes en occitan gascon Massanjas[34] ou Messandyes, le ye étant mouillé.

    L'analyse du premier Ă©lĂ©ment s'avĂšre plus ardue, car A. Dauzat et Ch. Rostaing parlent Ă  la fois d'un anthroponyme « latin Â» Mettius, que l'on retrouverait Ă©galement dans Messeux (Charente, de Messunio 1250)[32], et d'un nom de personne « gaulois Â» Mettius[32], Ă  qui les lieux du type Messac Ce lien renvoie vers une page d'homonymie, Meyssac, Messei, MessĂ©, etc. doivent l'Ă©lĂ©ment Me(y)ss-.

    En revanche, selon les mĂȘmes auteurs[32], suivis par Ernest NĂšgre[35], Messanges (CĂŽte-d'Or, Mainzangiae 1023) remonterait Ă  un nom de personne germanique suivi du suffixe germanique -ing(as).

    Histoire

    Sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle dit du littoral, Messanges Ă©tait une halte connue des pĂšlerins dont le nom apparut trĂšs tĂŽt sur les cartes (dĂšs le XIIIe siĂšcle).

    Vers 1310, Ă  l'occasion d'une terrible tempĂȘte, l'Adour qui sortait Ă  Capbreton fut repoussĂ©e dans les terres, elle divagua jusqu'au Plecq, modeste quartier de Messanges, qu'elle Ă©lit pour sa nouvelle embouchure.

    L'embouchure de l'Adour en ce temps-lĂ  Ă©tait large de 1 200 mĂštres et profonde de 30 faisant de Port d'Albret le meilleur abri du sud de l'Aquitaine, au grand dĂ©sespoir des Bayonnais qui contrĂŽlaient avec jalousie cet avant-port naturel de l'Adour. Cette embouchure si importante fut en fait entretenue par un bassin qui s'Ă©tait formĂ© entre le Plecq et Messanges. Ce bassin, fonctionnant comme une chasse d'eau, empĂȘchait tout ensablement de la passe.

    Lorsque l'Adour fut détournée à Bayonne en 1578 par les travaux de Louis de Foix, l'embouchure s'ensabla inexorablement et l'importante ville de Port-d'Albret fut progressivement abandonnée : elle perdit jusqu'à son nom pour devenir "vieux boucau", la vieille embouchure. Les maisons furent peu à peu détruites et les pierres de nombreux bùtiments incinérées pour produire de la chaux.

    L'Ă©tang de MoĂŻsan

    Le souvenir du dĂ©tournement de 1578 est restĂ© dans le nom de MoĂŻsan. Le MoĂŻsan Ă©tait un navire qui se trouvait Ă  l'ancre au fond du bassin, prĂšs de Messanges, le jour mĂȘme oĂč l'Adour fut dĂ©tournĂ©e. Il se trouva prisonnier d'un lac d'eau de mer et dut ĂȘtre abandonnĂ© sur place. Le lac de MoĂŻsan est un vestige de l'immense rade "anglaise" d'oĂč appareillĂšrent les navires "basques" et "gascons" qui rejoignirent Terre-Neuve dĂšs 1392, selon la tradition, soit un siĂšcle avant le premier voyage de Christophe Colomb. La commune, tout comme Capbreton, Ă©tait cĂ©lĂšbre pour ses vignes de vin de sable qui faisaient l'objet d'une culture trĂšs particuliĂšre afin de fixer les sables du littoral ; si ce mode de culture (dite probagne en gascon), qui consistait Ă  enterrer chaque annĂ©e le cep dans le sable au point que les parties souterraines de la vigne faisaient un rĂ©seau impressionnant de racines, a disparu, le vignoble se perpĂ©tue vaille que vaille et contribue Ă  garder la cĂ©lĂ©britĂ© locale du "vin de sable" (cĂ©pages rouges : cabernet et, pour le blanc, "tite de cabre" (chenin de la Loire) et cĂ©page rare "cruchen" qui fut plantĂ© avec succĂšs par des vignerons de Messanges en Afrique du Sud au XIXe siĂšcle pour donner un vin blanc rappelant le riesling). C'est la rĂ©colte et le commerce de la rĂ©sine obtenue depuis la vaste pinĂšde de la commune (plus de 2 000 ha), ainsi que l'exploitation des chĂȘnes liĂšges dans de petits ateliers Ă  Vieux-Boucau qui firent la richesse de Messanges : il subsiste encore les bĂątiments de ce qui fut une importante distillerie de tĂ©rĂ©benthine. DĂ©sormais, cette commune rurale vit pour l'essentiel du tourisme, avec la prĂ©sence proche du complexe de "Port d'Albret" rĂ©alisĂ© autour d'un lac marin sous Ă©cluse, nouveau quartier jailli du sable dans les annĂ©es 1970 aux portes du bourg de Vieux-Boucau sur les vestiges de l'estuaire de l'Adour.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1996 En cours Hervé Bouyrie PS Chef d'entreprise
    Conseiller général du canton de Soustons (2008-2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[36].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[38]. En 2020, la commune comptait 986 habitants[Note 6], en augmentation de 4,01 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    442356321404452455430463504
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    482478535552537534537532522
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    510512509468429416409379360
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    362362431507521647885953955
    2018 2020 - - - - - - -
    972986-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    La gare de Messanges, désaffectée.
    • Église Saint-ClĂ©ment de Messanges
    • Le sĂ©maphore de Messanges, qui culmine Ă  82 mĂštres, la plateforme d'observation (appelĂ©e passerelle) Ă©tant situĂ©e Ă  64 mĂštres. Il est gĂ©rĂ© par la Marine nationale, dont c'est le « bĂątiment Â» le plus haut.

    Économie

    La commune produit du vin de sable issu du vignoble des sables de l’ocĂ©an.

    Personnalités liées à la commune

    Pierre-François de Neurisse (1731-1794), lieutenant gĂ©nĂ©ral de la sĂ©nĂ©chaussĂ©e des Lannes, Ă©tait seigneur de Messange. Il prĂ©sida les États gĂ©nĂ©raux pour les villes de Dax, Saint-Sever et Bayonne.

    Patrick PĂ©chambert, arbitre de Top14 de rugby, y tient le bar-restaurant Chez PĂ©chou

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Le nom des habitants du 40 », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Leon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Messanges et Léon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Leon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Messanges et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    28. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
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    30. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    32. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6). p. 453.
    33. Marie-ThĂ©rĂšse Morlet, Jean Germain, Jean-Marie Pierret, et MĂŒller, Wulf, Die einzelnen romanischen Sprachen und Sprachgebiete von der Renaissance bis zur Gegenwart / Les diffĂ©rentes langues romanes et leurs rĂ©gions d’implantation de la Renaissance Ă  nos jours, Edited by Holtus, GĂŒnter, Metzeltin, Michael, and Schmitt, Christian, Berlin, New York (DE GRUYTER) 2010, Originally published 1990. eBook (ISBN 978-3-11-096609-1), Print (ISBN 978-3-484-50235-2), Pages 549–571
    34. « Toponymes occitans », sur www.locongres.org (consulté le ).
    35. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, 2. Formations non-romanes, Volume 2, Librairie Droz 1991. p. 789.
    36. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
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    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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