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Merville-Franceville-Plage

Merville-Franceville-Plage est une commune française située dans le département du Calvados et la région Normandie, peuplée de 2 195 habitants[Note 1].

Merville-Franceville-Plage
Merville-Franceville-Plage
La plage de Merville-Franceville-Plage.
Blason de Merville-Franceville-Plage
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge
Maire
Mandat
Olivier Paz
2020-2026
Code postal 14810
Code commune 14409
Démographie
Gentilé Mervillais-Francevillais
Population
municipale
2 195 hab. (2020 en augmentation de 0,37 % par rapport à 2014)
Densité 211 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 59″ nord, 0° 12′ 04″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 42 m
Superficie 10,42 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cabourg
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Merville-Franceville-Plage
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Merville-Franceville-Plage
Liens
Site web www.mairie-mervillefranceville.fr

    Géographie

    Localisation

    Merville-Franceville-Plage, plus communément appelée Franceville, se situe sur la Côte Fleurie à km de Cabourg et à 14 km de Caen, sur la rive droite de la baie de l'Orne par 49° 16′ 59″ N, 0° 12′ 04″ O.

    Situé aux confins de la plaine de Caen et du pays d'Auge, l'arrière-pays, dévolu à l'agriculture, se partage entre riches pâturages et cultures céréalières.

    Le , la commune passe de l'arrondissement de Caen à celui de Lisieux[1]

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 668 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles, mise en service en 2004[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 715,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 21 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,2 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Merville-Franceville-Plage est une commune rurale[Note 7] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[18] et 36 564 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21] - [22].

    La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,5 %), terres arables (17,9 %), zones urbanisées (17,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,9 %), zones humides côtières (5,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,8 %), forêts (3,2 %), eaux maritimes (1,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,1 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    En 1078, la paroisse de Matervilla est mentionnée pour la première fois dans le cartulaire de la Trinité de Caen[28] - [29], Matervilla en 1087[30], Matrevilla dans un cartulaire de l'abbaye aux Hommes en 1161[28] - [29], Merrevilla en 1268[28], puis Merravilla en 1278[28] - [29] et enfin Merville.

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural »[30] - [31]. Dans la plupart des cas, elle est composée avec un anthroponyme germanique continental, [anglo-]saxon ou norrois. Dans ce cas précis, Mer- (< Mater-) représente le nom de personne germanique Mather[30] - [31], d'où le sens global de « domaine de Mather »[31]

    En 1898, un lotissement de bord de mer voit le jour, créé par l'architecte Joseph Edouard Wattier originaire de Montfermeil et prend, en référence aux lotissements de Montfermeil, le nom de Franceville[29].

    La commune prend le nom de Merville-Franceville-Plage en 1931, par décret présidentiel[32] du président Gaston Doumergue du .

    Le gentilé est Mervillais-Francevillais.

    Histoire

    Comme on peut l'imaginer, l'estuaire de l'Orne a servi de tout temps à la pêche, mais il n'a pas eu la même vocation maritime que celui de la Dives, à cause du cours changeant du fleuve et des bancs de sable qui bougent sans cesse.

    En 1467, après la guerre de Cent Ans, le château est ruiné par l'armée des Bretons[33].

    Des marais salants ont existé de l'Antiquité jusqu'au XIVe siècle sur la côte, mais ils disparurent à la suite de l'instauration de la gabelle[34]. Au XVIIIe siècle, face aux tensions avec l'Angleterre, une redoute est édifiée à Merville par Vauban.

    Sous la Révolution, le nom est fixé en Merville. Au XIXe siècle, le territoire de Merville s'accroît, en absorbant la petite commune du Buisson.

    La station balnéaire

    Plage.

    À partir de 1881, la commune voit les premiers commerces se développer : débit de tabac et boissons, hôtel. Mais c'est le que le conseil municipal vote une délibération pour la construction du Decauville, « considérant qu'on ne peut méconnaître qu'une ligne de tramway doit contribuer au développement de la station balnéaire, et par la suite à l'augmentation du centime communal »[29].

    Le , un lotissement privé portant le nom de Franceville-Plage[Note 9] est créé sur la partie littorale de la commune par l'architecte originaire de Montfermeil Joseph Edouard Wattier ; il cherche à attirer sur la côte une population aisée parisienne[29]. La station balnéaire est née. Le , une ligne des Chemins de fer du Calvados est mise en service reliant Dives-sur-Mer à Sallenelles. Cette ligne de voie ferrée d'intérêt local à voie étroite relie les stations balnéaires de la côte à Caen. L'année suivante, en 1893, elle est prolongée jusqu'à Caen. Une gare est inaugurée le à Franceville. Ce bâtiment voyageur, plus imposant que les autres du réseau, est encore visible au no 6, route de Cabourg. La ligne, peu rentable et peu sûre, est remplacée par un service de cars, en 1932.

    Le lotissement de Franceville est mis en vente, par souscription, à partir du , les premiers terrains sont livrés le [29]. Les premiers acquéreurs sont essentiellement parisiens. On compte en 1911 123 propriétés dans le lotissement, 147 en 1920 et 444 à la veille de la Seconde Guerre mondiale[29].

    En 1927, le conseil municipal demande par deux fois que la commune soit reconnue comme « station balnéaire » ou « station climatique ». Le , le conseil municipal « considérant que la station balnéaire de Franceville-Plage, située sur le territoire de Merville prend une extension de plus en plus grande et que dans l'intérêt de l'acheminement des correspondances destinées à Franceville sur lesquelles on omet souvent de mettre « Merville », il y a lieu d'ajouter ce nom à celui de la commune »[29].

    Fortification de la côte dans le cadre du « mur de l'Atlantique »

    L'occupation allemande laissa des traces :

    • les pins furent abattus pour équiper les plages en « asperges de Rommel » ;
    • des blockhaus surgirent sur le littoral ;
    • les Allemands y construisent la batterie de Merville à partir d'août 1942 ;
    • de nombreuses villas furent rasées afin de permettre à l'occupant allemand d'avoir une vue dégagée sur la Manche[35] et aussi de ne pas gêner les tirs de défense.

    Combats

    Casemate de la batterie de Merville.

    La bataille de la batterie de Merville a lieu dans la nuit du 5 au . Le 9e bataillon de parachutistes britannique (Eastern and Home Counties), composé de 750 hommes, appartenant à la 6e division aéroportée britannique, et commandé par le lieutenant-colonel Terence Otway, eut pour mission prioritaire d'attaquer la batterie de Merville, qui comptait quatre canons de 150 mm pouvant prendre dans leur feu l'embouchure de l'Orne et la zone de débarquement de Sword Beach. La prise de la batterie faisait partie des objectifs prioritaires et vitaux désignés par le haut commandement allié pour assurer la réussite du débarquement. La majeure partie des 750 hommes du 9e bataillon britannique fut piégée dans les marais de Varaville, inondés sur ordre de Rommel. Avec seulement 150 parachutistes, dépourvu de matériel lourd et de moyens de communication, Otway engagea cependant l'assaut à 4 h 30 du matin et neutralisa la batterie, découvrant au passage que les prétendus canons de 150 mm étaient en réalité des canons Skodas de 100 mm. Au cours de cette attaque, Otway perdit encore environ la moitié de ses hommes. Les pertes allemandes furent encore plus lourdes avec, à la fin des combats, seulement 22 soldats valides sur les 130 soldats de la batterie. Cette action, qualifiée « d'inimaginable assaut », restera l'une des plus héroïques du jour J. La plupart des maisons de la station furent détruites ou sévèrement endommagées lors du débarquement qui suivit.

    Comme toutes les villes côtières françaises, la station retrouva un essor dans l'après-guerre.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1880 1884 Emélidor Morand
    1884 1900 Émile Andrieu
    1900 1901 Georges Grenier
    1901 1924 Léonce Cornet
    1924 1929 Gaston Dechaufour
    1929 1953 Alexandre de Lavergne
    1953 1965 Anthony Lenègre
    1965 1971 Jean-Marcel Pain
    1971 1983 Charles Levasseur
    1983 mars 1989 Édouard Rossignol SE Diplomate
    mars 1989 En cours Olivier Paz[36] LR Gérant de société, président de la communauté de communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    La commune est jumelée avec :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

    En 2020, la commune comptait 2 195 habitants[Note 10], en augmentation de 0,37 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    256253257263310296314312328
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    291305312273268259234248263
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    234255268351463470603888948
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    1 0461 1841 3091 3171 5211 7481 7402 1092 184
    2020 - - - - - - - -
    2 195--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Créé en 2006, tous les deux ans en septembre se tient le festival Cidre et Dragon alliant le fantastique au médiéval, réunissant plus de 70 000 festivaliers. Après un interfestival en 2013, la manifestation devient annuelle à partir de 2014.

    Sports

    • Merville-Franceville, par sa situation géographique et son climat, est notamment un haut-lieu du kite surf en Normandie.
    • Merville-Franceville-Plage possède un terrain de football sur lequel évolue l'Étoile sportive amfrevillaise en U17. Il existe également un gymnase dans lequel joue le Merville-Franceville Basket et le Badminton Club Merville-Franceville Plage (BCMF) et qui abrite plusieurs courts de tennis dont un en terre battue.
    • Le Badminton Club Merville-Franceville possède quatre équipes d'interclubs dont une qui évolue en Départementale 2 (BCMF1)[41]. À la suite du jumelage entre les communes d'Amfreville et de Brunehaut (Belgique), un échange sportif avec le club de badminton de Brunehaut et le celui de Merville-Franceville a été mis en place à partir de aout 2017[42].
    • Une piscine couverte, située en bord de plage, propose des cours de natation entre juin et septembre.

    Énergie

    • Liens HVDC existants
    • En construction
    • En project

    En 2020, la ligne sous-marine IFA-2 à haute tension est mise en service entre Bellengreville (lieu-dit Tourbe) et l'Angleterre. L'atterrage se fait à Merville-Franceville[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La batterie allemande de Merville, objectif important lors du débarquement allié le , fut conquise par le lieutenant-colonel Terence Otway et ses hommes. La batterie de Merville est classée monument historique depuis 2004. En 1976, le général Richard Gale et Françoise Gondrée, fondateurs de l'Aspeg « Musée de Pegasus Bridge & Batterie de Merville » ont entrepris les démarches de restauration des batteries. En 1978, un musée est réalisé dans la première casemate. Depuis lors, ce musée a connu un développement remarquable puisqu'il accueille aujourd'hui plus de 60 000 visiteurs annuellement.
    • Un buste en bronze érigé sur le site de la batterie de Merville représente Terence Otway à l'époque du débarquement allié.
    • La redoute de Merville, fortification édifiée selon les plans de Vauban en 1779, fut utilisée par l'armée française puis par les douanes avant de servir de lieu de garnison et d'observation à l'armée allemande pendant l'Occupation à partir de 1940. Inscrite au titre des monuments historiques depuis le [44], propriété du Conservatoire du littoral, la redoute de Merville est en cours de réhabilitation.
    • L'église Saint-Germain des XIIe et XIXe siècles. On trouve un ancien cadran canonial sur le mur sud de l'église.
    • La réserve ornithologique du Gros Blanc située dans l'estuaire de l'Orne[45]. L'espace protégé de 40 ha est interdit au public mais des observatoires sont accessibles sur le périmètre permettant d'admirer un très riche patrimoine ornithologique avec plus de 160 espèces recensées.
    • L'ancienne station des Chemins de fer du Calvados. Une souscription auprès des habitants, ainsi qu'un emprunt effectué par la mairie permettent de construire un bâtiment de plus grande taille pour remplacer l'abri de style néo-normand original jugé trop modeste. Cette nouvelle gare est inaugurée en [46].
    • Château de Merville, situé à peu de distance de l'église, il n'en subsiste qu'une tour. Il aurait été détruit, dans les années 1465-1468, lors d'une incursion bretonne en Normandie lors des affrontements entre Louis XI et le duc de Bretagne François II. Le seigneur du lieu, un Devaux, fut pendu ; il avait probablement voulu résister. Le manoir est incendié si l'on se réfère aux Les chroniques scandaleuses du roi Louis XI. À l'intérieur de la tour on peut voir les armes de la famille Devaux gravées sur un fronton de porte[47].
    • La batterie de Merville.
      La batterie de Merville.
    • La redoute de Merville.
      La redoute de Merville.
    • L'église Saint-Germain.
      L'église Saint-Germain.
    • Le cadran canonial.
      Le cadran canonial.
    • La réserve ornithologique de Gros Blanc.
      La réserve ornithologique de Gros Blanc.
    • Ancienne gare des Chemins de fer du Calvados.
      Ancienne gare des Chemins de fer du Calvados.

    Personnalités liées à la commune

    • Terence Otway s'est éteint le près de Londres. Un hommage lui a été rendu par la municipalité le sur le site de la batterie de Merville en présence des autorités civiles et militaires et des Vétérans du 9e Bataillon.
    • Alessandro Anzani (1877-1956), champion motocycliste italien décédé à Merville-Franceville-Plage.
    • Robert Planquette possédait une villa, Les Cloches, à Merville.
    • Olivier Lecerf, ancien PDG de Lafarge, est né à Merville-Franceville-Plage le .

    Héraldique

    Armes de Merville-Franceville-Plage

    Les armes de la commune de Merville-Franceville-Plage se blasonnent ainsi :
    burelé ondé d'azur et d'argent, à l'hippocampe de gueules.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Sylvie Hée, Merville Franceville plage, Cabourg, Les cahiers du temps, , 135 p. (ISBN 2-911855-08-6)
    • John Golley, La nuit des canons de Merville, Paris, Presse de la cité,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le nom de Franceville vient du lotissement à Montfermeil où chaque parcelle correspond à un numéro de département
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 » [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sallenelles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Merville-Franceville-Plage et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Sallenelles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Merville-Franceville-Plage et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Dives-sur-Mer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    24. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
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