Meaucé
Meaucé est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Meaucé | |||||
L'ancienne Ă©glise de Saint-Jean-des-Murgers, aujourd'hui salle des fĂȘtes. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Nogent-le-Rotrou | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terres de Perche | ||||
Maire Mandat |
Michel Bizard 2020-2026 |
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Code postal | 28240 | ||||
Code commune | 28240 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
507 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 29âČ 11âł nord, 1° 00âČ 09âł est | ||||
Altitude | 205 m Min. 189 m Max. 219 m |
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Superficie | 11,33 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | La Loupe (banlieue) |
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Aire d'attraction | La Loupe (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Nogent-le-Rotrou | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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GĂ©ographie
Situation
La commune se situe dans la région naturelle du Perche. Elle est limitrophe du département de l'Orne et appartient au canton de Nogent-le-Rotrou, distant de 25 km. Son altitude moyenne est de 205 mÚtres et sa superficie de 11,59 km2.
- Meaucé dans son arrondissement.
- Carte de la commune de Meaucé.
Communes et département limitrophes
Les villes et villages limitrophes de MeaucĂ© sont : La Loupe (chef-lieu de canton) Ă 1,8 km, Fontaine-Simon Ă 2,3 km, Vaupillon Ă 2,8 km, Manou Ă 4,1 km, Saint-Ăliph Ă 4,4 km.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Loupe_sapc », sur la commune de La Loupe, mise en service en 1996[7] et qui se trouve Ă 2 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 735 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et Ă 37 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 11 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Meaucé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Loupe, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 3 885 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Loupe, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (96,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (87,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,4 %), prairies (3,9 %), zones urbanisĂ©es (3,3 %), forĂȘts (0,8 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de MeaucĂ© est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Livier, le ruisseau de l'Ancien Ă©tang de Pot de Vin et la Donnette. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1984 et 1999[25] - [23].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[26]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 59,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 255 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 90 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 35 %, Ă comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[23].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible dâavoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusquâĂ 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[29].
Toponymie
Réunion et délimitation avec le Pas-Saint-l'Homer, et la commune de Saint-Jean-des-Meurgers, Orne, pour réaliser Meaucé, par la Loi du .
Le nom de la localité est attesté sous les formes Meanceium vers 1260 (à lire *Meauceium) ; Marcetum vers 1270 (à lire *Marceium)[30], Meaussé en 1630 ; Meaucez en 1689.
Comme son Ă©tymologie semble lâindiquer (« mauvaise terre, mauvais pays »), Ă©tait autrefois un pays couvert en grande partie de bois.
Histoire
XIXe siĂšcle
RĂ©union et dĂ©limitation rĂ©alisĂ©e de MeaucĂ© dâavec le Pas-Saint-l'Homer, Orne, par la Loi du : la commune de Saint-Jean-des-Meurgers, Orne, est supprimĂ©e et ses sections A et C sont rĂ©unies Ă MeaucĂ©, soit 234 ha et 108 habitants ; Ă titre de compensation, MeaucĂ© rĂ©trocĂšde au Pas-Saint-l'Homer sa section E, soit 251 ha et 19 ha.
Politique et administration
Liste des maires
PĂ©riode | identitĂ© | Ătiquette | QualitĂ© |
---|---|---|---|
1792 Ă 1795 | Pierre Goullet | ||
1795 Ă 1802 | Simon Langlois | ||
1802 Ă 1847 | Pierre Goullet | ||
1847 | Pierre Goullet (fils) | intérim | |
1847 Ă 1854 | Claude Billard | ||
1855 | Louis Naveau | interim | |
1856 Ă 1860 | Louis Toutry | ||
1860 Ă 1870 | Pierre Mithouard | ||
1870 Ă 1878 | Jules Launay | ||
1878 Ă 1904 | Louis Morize | ||
1904 Ă ? (aprĂšs 1944) | Jules Morize | ||
? à 1947 | René Morize | ||
1968 Ă 1995 | Jacques Morize | SE | |
1995 Ă 09-2007 | Gaston Dumargue | SE | |
10-2007 Ă 01-2012 | Claude Charles | SE | |
02-2012-en cours | Michel Bizard | DVG | Retraité Fonction publique |
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[32].
En 2020, la commune comptait 507 habitants[Note 8], en diminution de 7,48 % par rapport Ă 2014 (Eure-et-Loir : â0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Description
Le Gros ChĂȘne se trouve sur la D 920 au carrefour avec la D 15, en direction du bourg de MeaucĂ©. Il a une circonfĂ©rence de 14,30 m au pied et de 8,60 m Ă un mĂštre du sol.
La parcelle sur lequel il est implanté appartient au Conseil départemental d'Eure-et-Loir, qui l'a entouré de barriÚres, d'une part pour des raisons de sécurité, d'autre part afin d'éviter le piétinement provoquant l'imperméabilisation du sol, facteur d'accélération du vieillissement.
En 2016, une branche d'une circonférence de 4,20 m et longue de 9,20 m représentant un tiers du tronc est tombée, symptÎme du dépérissement de ce trÚs vieil arbre[35] - [36].
En 2020, Le Gros ChĂȘne obtient le label Arbre remarquable de France, dĂ©cernĂ© par l'association Arbres remarquables : bilan, recherche, Ă©tudes et sauvegarde (ARBRES)[37].
Historique
Il serait un reste du bois du chĂąteau primitif de La Loupe et aurait remplacĂ© un chĂȘne druidique millĂ©naire.
Sujet de nombreuses lĂ©gendes, le gros chĂȘne aurait Ă©tĂ© plantĂ© en 1360, par Jeanne, fille du seigneur de MeaucĂ©, et le chevalier de Montireau avant qu'il ne parte en croisade, en gage de leur fidĂ©litĂ©. Le chevalier y perdra la vie et la jeune femme se laissa mourir de chagrin.
Dans une cavitĂ© de lâarbre se trouvait une statuette d'une Vierge. Des rĂ©volutionnaires enlevĂšrent la statue et un champignon ayant la forme de la Vierge repoussa⊠Quelque temps plus tard, le chĂȘne dut ĂȘtre abattu mais les outils des bĂ»cherons se cassĂšrent sur l'arbre, le bois Ă©tant trop dur⊠on cria au miracle.
Henri IV venait s'y reposer fréquemment notamment les jours de chasse.
Ăglise Saint-LĂ©onard
Ă la fin du XIXe siĂšcle, Saint-Jean-des-Murgers fut rattachĂ© Ă MeaucĂ©. L'Ă©glise de Saint-LĂ©onard accueillit naturellement les biens de Saint-Jean-des-Murgers. Elle compte aujourd'hui quatre retables (dont un du XVIIIe siĂšcle) et une vaste statuaire qui en fait un lieu incontournable de l'art religieux percheron[38]. L'ancienne Ă©glise de Saint-Jean-des-Murgers est devenue une salle des fĂȘtes, qui porte le nom de « Gaston Dumargue » depuis le [39].
Des demeures seigneuriales que comptait la commune, seule "la grand'maison" a persisté. Elle est aujourd'hui une auberge.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Antoine Marbot, homme politique et militaire, nĂ© le Ă Altillac (CorrĂšze), mort le lors du siĂšge de GĂȘnes (Italie).
Ancien membre dĂ©missionnaire des gardes du corps du roi, Ă©lu administrateur du dĂ©partement de la CorrĂšze en 1790, Ă©lu dĂ©putĂ© du mĂȘme dĂ©partement Ă la constituante en 1791, promu gĂ©nĂ©ral de brigade en 1793. Deux fois prĂ©sident du Conseil des Anciens puis Gouvernement militaire de Paris, commandant la 17e division militaire, en 1799. Il meurt au dĂ©but du siĂšge de GĂȘnes (campagne d'Italie) des suites de ses blessures et du typhus. Il est le pĂšre de Marcellin Marbot. Il acquit la « Grand'Maison »[40] vers 1799.
- Marcellin Marbot, militaire, né le à Altillac (CorrÚze), mort le à Paris.
Volontaire en 1799 au 1er rĂ©giment de hussards commandĂ© par son pĂšre, sous-lieutenant en 1799, il participe au siĂšge de GĂȘnes, au cours duquel son pĂšre meurt. Capitaine en 1807, fait chevalier de l'Empire en 1811, colonel en 1812. RalliĂ© Ă l'Empereur pendant les Cent-Jours, NapolĂ©on le nomme gĂ©nĂ©ral de brigade la veille de la bataille de Waterloo. Il est compris dans la liste des bannis en 1815. RentrĂ© en France en 1819. Il reçoit alors le commandement du 8e rĂ©giment de chasseurs Ă cheval. Le duc d'OrlĂ©ans (futur Louis-Philippe) le charge de l'Ă©ducation militaire de son fils aĂźnĂ©, le duc de Chartres, puis il est nommĂ© aide de camp du comte de Paris. AprĂšs les Trois Glorieuses, il est promu marĂ©chal de camp. Commandeur de la LĂ©gion d'honneur en 1831, grand officier en 1836. ĂlevĂ© au grade de lieutenant-gĂ©nĂ©ral des armĂ©es en 1838, nommĂ© Pair de France en 1845. Il est mis d'office Ă la retraite aprĂšs la rĂ©volution de 1848. Ses MĂ©moires constituent un remarquable tĂ©moignage sur l'Ă©popĂ©e napolĂ©onienne.
HĂ©raldique
Blason | Parti d'azur et d'argent: le 1er chargĂ© en chef du gros chĂȘne, arbre remarquable du lieu, de sinople futĂ© de sable brochant en partie sur le 2e du parti, le 2e chargĂ© en chef d'un Ă©cusson d'argent Ă trois chevrons de gueules timbrĂ© d'une couronne de comte; le tout accompagnĂ© en pointe d'un bourg d'argent brochant, couvert, ouvert et ajourĂ© de sable aux buissons du mĂȘme, soutenu de deux glands, chacun feuillĂ© d'une piĂšce, de sinople passĂ©s en sautoir; Ă l'inscription en lettres capitales « MEAUCà » de gueules brochant en fasce sur le tout[41]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Le vĂ©nĂ©rable chĂȘne de La Loupe, MeaucĂ© (Eure-et-Loir), sur le site du Krapo arboricole
- Meaucé sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Le Gros ChĂȘne, prĂšs de La Loupe, a perdu une branche », sur http://www.lechorepublicain.fr, .
- « Il faut sauver le "Gros ChĂȘne" prĂšs de La Loupe », sur http://www.lechorepublicain.fr, .
- Marion BĂ©rard, « Le Gros chĂȘne de MeaucĂ©, dans le Perche, labellisĂ© Arbre remarquable de France », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
- Liste du mobilier inscrit ou classé monument historique de l'église Saint-Léonard., Base Palissy, ministÚre de la Culture.
- Laure de La RaudiĂšre, « BaptĂȘme de la salle des FĂȘtes de MeaucĂ© », (consultĂ© le ).
- Source : bulletin municipal de Meaucé 1994.
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).