Bretoncelles
Bretoncelles est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Orne en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 1 475 habitants[Note 1]. Elle fait partie du parc naturel rĂ©gional du Perche et de la communautĂ© de communes CĆur du Perche.
Bretoncelles | |
L'Ă©glise Saint-Pierre. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Normandie |
DĂ©partement | Orne |
Arrondissement | Mortagne-au-Perche |
IntercommunalitĂ© | CommunautĂ© de communes CĆur du Perche |
Maire Mandat |
Daniel Chevee 2020-2026 |
Code postal | 61110 |
Code commune | 61061 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Bretoncellois |
Population municipale |
1 475 hab. (2020 ) |
Densité | 37 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 48° 25âČ 54âł nord, 0° 53âČ 15âł est |
Altitude | Min. 120 m Max. 266 m |
Superficie | 40,21 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Nogent-le-Rotrou (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Bretoncelles (bureau centralisateur) |
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.bretoncelles.fr |
GĂ©ographie
La commune est située dans le Perche. Son bourg est à 9 km à l'est de Rémalard, à 11 km à l'ouest de La Loupe et à 14 km au nord-est de Nogent-le-Rotrou[1]. Il est desservi par la gare de Bretoncelles, située sur la ligne Paris - Chartres - Nogent-le-Rotrou - Le Mans.
Bretoncelles est traversée par le Paris-Le Mans.
Couvrant 4 025 hectares, le territoire communal était, avant les fusions de communes provoquées par la réforme des collectivités territoriales au milieu des années 2010, le plus étendu du canton de Rémalard et le second de l'arrondissement de Mortagne-au-Perche.
Bretoncelles est dans le bassin de la Loire, par son sous-affluent la Corbionne â affluent de l'Huisne â qui traverse le territoire du nord au sud. Plusieurs de ses propres affluents parcourent le territoire communal dont la Donnette et la Ribaille.
Le point culminant (266 m) se situe au sud-est, prĂšs du lieu-dit la Grande ForĂȘt. Le point le plus bas (120 m) correspond Ă la sortie de la Corbionne du territoire, au sud.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Loupe_sapc », sur la commune de La Loupe, mise en service en 1996[10] et qui se trouve Ă 10 km Ă vol d'oiseau[11] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 735 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Chartres », sur la commune de Champhol, dans le dĂ©partement d'Eure-et-Loir, mise en service en 1923 et Ă 46 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14] Ă 11 °C pour 1981-2010[15], puis Ă 11,4 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Bretoncelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nogent-le-Rotrou, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (67 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (67,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (34,2 %), prairies (32,4 %), forĂȘts (31,7 %), zones urbanisĂ©es (1,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,4 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom du bourg est attesté sous la forme Bertoncelli en 1245[24]. La forme Bert(h)oncelles est réguliÚrement utilisée jusqu'au XVIIIe siÚcle. Puis, par attraction avec le mot Breton, la forme Bretoncelles se fixe définitivement au XIXe siÚcle[25].
Il serait issu d'un anthroponyme germanique Berto[24] - [26] - [27] ou Berton[26], et du bas latin cella pouvant évoquer une « petite maison »[27] ou un « monastÚre »[24].
Le gentilé est Bretoncellois.
Hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Bretoncelles proprement dit, la commune se compose de 15 hameaux et de 107 lieux-dits. Leur appellation se rattache Ă trois grande catĂ©gories : une origine anthroponymique pour 60 d'entre eux ; une dĂ©nomination toponymique liĂ©e aux eaux et forĂȘts pour 24 d'entre eux, et celles liĂ©es Ă lâagriculture pour 38 d'entre eux.
Histoire
Au milieu du XIe siĂšcle, un chĂąteau sur motte est construit par Rotrou II de Nogent pour faire face au fief de RĂ©malard relevant du Thymerais[25].
à la création des cantons, Bretoncelles est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l'an IX (1801).
Le 21 novembre 1870, durant la guerre franco-allemande, eurent lieu les combats de la Fourche, de la Madeleine et de Bretoncelles oĂč furent engagĂ©s le 49e rĂ©giment provisoire formĂ© de la garde nationale mobile de l'Orne, le bataillon FinistĂšre-Morbihan de la garde nationale mobile, composĂ© de cinq compagnies de marche du FinistĂšre et de deux compagnies de marche du Morbihan, du 9e bataillon de marche d'infanterie de marine composĂ© de quatre compagnies de marche du 1er rĂ©giment d'infanterie de marine et du 10e bataillon de marche d'infanterie de marine composĂ© de quatre autres compagnies de marche du 1er rĂ©giment d'infanterie de marine[28].
HĂ©raldique
Blason | D'azur au chevron d'argent accompagné en pointe de trois besants d'or mal ordonnés, celui de senestre abaissé. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Administration municipale
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[30].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[32].
En 2020, la commune comptait 1 475 habitants[Note 9], en augmentation de 1,51 % par rapport Ă 2014 (Orne : â3,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Bretoncelles est la commune la plus peuplĂ©e du canton. Elle a comptĂ© jusqu'Ă 2 375 habitants en 1836.
Culture locale et patrimoine
- Ăglise Saint-Pierre (Renaissance).
- Motte castrale de la butte du ChĂąteau, en forĂȘt de Saussay.
- Manoir de la Dourdannerie
- L'Aunay et sa maison de maĂźtre
- Moulin Colas
- Moulin d'Arrondeau
- Logis du Noyer
- Fournil de la DougĂšre
- Croix de chemin de campagne de La RĂ©geoliĂšre
Activité et manifestations
Sports
Le Football club bretoncellois fait Ă©voluer une Ă©quipe de football en division de district[35].
Personnalités liées à la commune
- L'abbé Louis-Joseph Fret (1800 à Bretoncelles - 1843), historien du Perche[36].
- EugĂšne Lavieille (1820-1889) a sĂ©journĂ© Ă Bretoncelles oĂč il a peint[Note 10], ainsi qu'Ă Moutiers-au-Perche dans les environs[37].
- Daniel Goulet (1928-2007), sénateur UMP, né dans la commune.
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
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- Les ChĂȘnes du PrĂ©-Neuf; Bretoncelles (Orne). MatinĂ©e de Juillet.
- L'Ăglise de Bretoncelles (Orne) ; nuit.
- Un Gué sur la Donnette, à la ferme de l'Aulnaie ; Bretoncelles (Orne) ; temps gris.
- Crue de la Donnette Ă Bretoncelles (Orne) ; soir d'automne.
- La Booz, prĂšs Bretoncelles (Orne); nuit.
- Une Crue de la Corbionne dans les prés de Bretoncelles (Orne) ; lever de lune. Esquisse du tableau du Salon de 1881, acheté par le musée de Rouen.
- Crépuscule à Bretoncelles (Orne).
- Un Soir Ă Bretoncelles (Orne).
- L'Ăglise de Bretoncelles (Orne); temps gris.
- Bretoncelles (Orne). Route allant Ă Courvoisier; nuit.
- Bretoncelles (Orne). Route allant à Condé-sur-Huysne; nuit.
- Entrée de Bretoncelles (Orne); matin.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- Distances routiĂšres les plus courtes selon Viamichelin.fr
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Loupe_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bretoncelles et La Loupe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Loupe_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bretoncelles et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nogent-le-Rotrou », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- Françoise Leblond, Dominique Fournier, Raphaël Bijard et David Lambert (Maire) : directeur de la publication, « Bretoncelles - Un village, des hameaux - Histoire », Publication municipale, .
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, GenÚve, (lire en ligne), p. 963.
- René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des ßles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 133.
- La bataille sur mairie.coulonges.free
- « Patrick Pinloche ne brigue pas un 5e mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « David Lambert s'installe à la mairie », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie â FC Bretoncellois » (consultĂ© le ).
- « Site communal - Portrait de l'Abbé Fret, d'aprÚs le numéro 60 des « Cahiers Percherons » » (consulté le ).
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k12422536