Belhomert-Guéhouville
Belhomert-GuĂ©houville est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Eure-et-Loir en rĂ©gion Centre-Val de Loire. Appartenant au Thymerais, elle se situe Ă la frontiĂšre avec le Perche. Son histoire est intimement liĂ©e aux seigneurs de ChĂąteauneuf-en-Thymerais. L'un d'eux, Hughes Ier, y fonda un monastĂšre qui subsista jusquâĂ la RĂ©volution.
Belhomert-Guéhouville | |||||
L'Ă©glise Saint-Jean de Belhomert et la bibliothĂšque. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Nogent-le-Rotrou | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terres de Perche | ||||
Maire Mandat |
Laurent Martineau 2020-2026 |
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Code postal | 28240 | ||||
Code commune | 28033 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
797 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 73 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 30âČ 24âł nord, 1° 03âČ 30âł est | ||||
Altitude | Min. 182 m Max. 271 m |
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Superficie | 10,95 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | La Loupe (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Nogent-le-Rotrou | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | https://belhomertguehouville.fr | ||||
GĂ©ographie
Situation
SituĂ© sur un axe routier reliant ChĂąteauneuf-en-Thymerais Ă La Loupe, Belhomert est Ă la limite du Thymerais et du Perche. Le village se situe non loin de la forĂȘt de Senonches au nord et la forĂȘt de MontecĂŽt au sud.
- Belhomert-Guéhouville dans son arrondissement.
- Carte de la commune de Belhomert-Guéhouville.
Communes limitrophes
Hydrographie
Provenant de l'ouest par Fontaine-Simon, la riviĂšre l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, traverse la commune pour se diriger ensuite vers l'est et Saint-Maurice-Saint-Germain.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Loupe_sapc », sur la commune de La Loupe, mise en service en 1996[7] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 735 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et Ă 33 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 11 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Belhomert-Guéhouville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Loupe, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69,8 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (70,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (51,5 %), forĂȘts (25 %), prairies (12,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,8 %), zones urbanisĂ©es (5,3 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Belhomert-GuĂ©houville est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondationset sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Livier et l'Eure. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999[22] - [20].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 85,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 432 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 383 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 89 %, Ă comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible dâavoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusquâĂ 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[24].
Toponymie
Belhomert est attesté sous les formes castellania Belomaris en 304, Belomer en 1146[25], de Bellomer en 1190[25].
GuĂ©houville est attestĂ© sous les formes Guoonvilla en 1233 (charte de lâabbaye de Belhomert), Gaonvilla vers 1250 (pouillĂ©), Gohouvilla en 1380 (charte de lâabb. de Saint-Jean-en-VallĂ©e)[26].
Le 1er Ă©lĂ©ment Be- de Belomer peut reprĂ©senter le latin beatus, avec la sonorisation de la consonne dentale t intervocalique, puis sa disparition. Beatus Launomarus (Saint Lomer). Saint Lomer est nĂ© au hameau de Neuville Ă Claville (Eure), il devint successivement chanoine et Ă©conome ou prĂ©vĂŽt dans lâĂ©glise cathĂ©drale de Chartres. Il se retira en 558 sur les bords de la riviĂšre dâEure, Ă lâentrĂ©e de la forĂȘt du Perche (dont faisait alors partie celle de Senonches), et qui couvrait mĂȘme lâemplacement de Belhomert. Il sây bĂątit une petite cellule avec des branches dâarbre, et, la saintetĂ© de son nom lui ayant attirĂ© plusieurs disciples, ceux-ci se construisirent des cabanes auprĂšs de la sienne, afin de vivre sous sa discipline[27] - [28] - [29]. Ce lieu fut, depuis, appelĂ© Belhomer.
Fusion rĂ©alisĂ©e de Belhomert dâavec GuĂ©houville, sous le nom de Belhomert-GuĂ©houville, par ordonnance royale du 5 septembre 1834[30] ; la commune de GuĂ©houville correspond Ă la section de la GravardiĂšre de la nouvelle commune[28].
Histoire
Ancien RĂ©gime
- 1090[31] : Hugues, seigneur de ChĂąteauneuf-en-Thymerais, fonda un monastĂšre-prieurĂ© de filles, prĂšs de la ForĂȘt de Senonches, au nord-est de La Loupe. L'Ă©glise et ses bĂątiments prirent le nom de Bellomer, en hommage Ă saint Lomer, abbĂ© de Corbion, qui vĂ©cut retirĂ© en ces lieux, et furent consacrĂ©s par Geoffroy de LĂšves en 1132. Le prieurĂ© fut rĂ©uni Ă l'ordre de Fontevraud et rĂ©git sous la rĂšgle de saint BenoĂźt, et la prieure Ă©tait Ă©lue pour trois ans, sur confirmation de lâabbesse de Fontevraud. Mathilde, fille de Hugues, en fut la premiĂšre. Le monastĂšre fut dĂ©truit Ă la RĂ©volution[32].
- 1795 : profanation du tombeau dâĂtienne d'Aligre, chancelier de France.
Politique et administration
Liste des maires
Jumelages
Ville | Pays | ||
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Villafranca Piemonte | Italie |
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[34].
En 2020, la commune comptait 797 habitants[Note 8], en diminution de 1,24 % par rapport Ă 2014 (Eure-et-Loir : â0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Abbaye de Belhomer, de l'ordre de Fontevraud (détruite).
- Ăglise Saint-Jean, datant du XIIIe siĂšcle.
- Ancienne Ă©glise Saint-Ăloi de GuĂ©houville
- L'Ă©glise Saint-Jean.
- Façade de l'église
- Maison du colombier.
- Crucifix.
- Traversée de la ville par la D 928 (2 min 11 s).
Blasonnement
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Les armoiries de Belhomert-Guéhouville se blasonnent ainsi : |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Belhomert-Guéhouville sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Loupe_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Belhomert-Guéhouville et La Loupe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Loupe_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Belhomert-Guéhouville et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
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- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Belhomert-Guéhouville », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 983 (lire en ligne) .
- Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, BibliothÚque nationale de France.
- Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, vol. 10, Société historique et archéologique de l'Orne, , p. 12.
- Daniel Delattre, L'Eure-et-Loir : es 403 communes, Editions Delattre, , p. 22.
- L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, , p. 1001.
- Archives Nationales-F 2 II Eure-et-Loir 1.
- Laurent-Henri Cottineau, Répertoire topo-bibliographique des abbayes et prieurés, 1935, p. 326, sur Gallica.
- Louis Joseph Fret, Antiquités et chroniques percheronnes, 1840, p. 428-429.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.