AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Belhomert-Guéhouville

Belhomert-GuĂ©houville est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Eure-et-Loir en rĂ©gion Centre-Val de Loire. Appartenant au Thymerais, elle se situe Ă  la frontiĂšre avec le Perche. Son histoire est intimement liĂ©e aux seigneurs de ChĂąteauneuf-en-Thymerais. L'un d'eux, Hughes Ier, y fonda un monastĂšre qui subsista jusqu’à la RĂ©volution.

Belhomert-Guéhouville
Belhomert-Guéhouville
L'Ă©glise Saint-Jean de Belhomert et la bibliothĂšque.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes Terres de Perche
Maire
Mandat
Laurent Martineau
2020-2026
Code postal 28240
Code commune 28033
DĂ©mographie
Population
municipale
797 hab. (2020 en diminution de 1,24 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 73 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 30â€Č 24″ nord, 1° 03â€Č 30″ est
Altitude Min. 182 m
Max. 271 m
Superficie 10,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction La Loupe
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Nogent-le-Rotrou
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Belhomert-Guéhouville
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Belhomert-Guéhouville
GĂ©olocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir
Belhomert-Guéhouville
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Belhomert-Guéhouville
Liens
Site web https://belhomertguehouville.fr

    GĂ©ographie

    Situation

    SituĂ© sur un axe routier reliant ChĂąteauneuf-en-Thymerais Ă  La Loupe, Belhomert est Ă  la limite du Thymerais et du Perche. Le village se situe non loin de la forĂȘt de Senonches au nord et la forĂȘt de MontecĂŽt au sud.

    • Situation gĂ©ographique
    • Belhomert-GuĂ©houville dans son arrondissement.
      Belhomert-Guéhouville dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Belhomert-GuĂ©houville.
      Carte de la commune de Belhomert-Guéhouville.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Provenant de l'ouest par Fontaine-Simon, la riviĂšre l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, traverse la commune pour se diriger ensuite vers l'est et Saint-Maurice-Saint-Germain.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 737 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Loupe_sapc », sur la commune de La Loupe, mise en service en 1996[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 735 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et Ă  33 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Belhomert-Guéhouville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Loupe, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (70,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (51,5 %), forĂȘts (25 %), prairies (12,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,8 %), zones urbanisĂ©es (5,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Belhomert-GuĂ©houville est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondationset sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Livier et l'Eure. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Belhomert-Guéhouville.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 85,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 432 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 383 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 89 %, Ă  comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[24].

    Toponymie

    Belhomert est attesté sous les formes castellania Belomaris en 304, Belomer en 1146[25], de Bellomer en 1190[25].

    GuĂ©houville est attestĂ© sous les formes Guoonvilla en 1233 (charte de l’abbaye de Belhomert), Gaonvilla vers 1250 (pouillĂ©), Gohouvilla en 1380 (charte de l’abb. de Saint-Jean-en-VallĂ©e)[26].

    Le 1er Ă©lĂ©ment Be- de Belomer peut reprĂ©senter le latin beatus, avec la sonorisation de la consonne dentale t intervocalique, puis sa disparition. Beatus Launomarus (Saint Lomer). Saint Lomer est nĂ© au hameau de Neuville Ă  Claville (Eure), il devint successivement chanoine et Ă©conome ou prĂ©vĂŽt dans l’église cathĂ©drale de Chartres. Il se retira en 558 sur les bords de la riviĂšre d’Eure, Ă  l’entrĂ©e de la forĂȘt du Perche (dont faisait alors partie celle de Senonches), et qui couvrait mĂȘme l’emplacement de Belhomert. Il s’y bĂątit une petite cellule avec des branches d’arbre, et, la saintetĂ© de son nom lui ayant attirĂ© plusieurs disciples, ceux-ci se construisirent des cabanes auprĂšs de la sienne, afin de vivre sous sa discipline[27] - [28] - [29]. Ce lieu fut, depuis, appelĂ© Belhomer.

    Fusion rĂ©alisĂ©e de Belhomert d’avec GuĂ©houville, sous le nom de Belhomert-GuĂ©houville, par ordonnance royale du 5 septembre 1834[30] ; la commune de GuĂ©houville correspond Ă  la section de la GravardiĂšre de la nouvelle commune[28].

    Histoire

    Ancien RĂ©gime

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs Ă  partir de 1945
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Mars 2001 Mars 2014 François Perrot
    Mars 2014 Juillet 2020 Jean-Louis Igier SE Retraité
    Juillet 2020 En cours Laurent Martineau
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Jumelages et partenariats de Belhomert-Guéhouville.
    VillePays
    Villafranca PiemonteItalie

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 797 habitants[Note 8], en diminution de 1,24 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    505603539451548621612623677
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    652637682662636630609595536
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    550535504456470451410468447
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    443437472589773808783800833
    2014 2019 2020 - - - - - -
    807799797------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Abbaye de Belhomer, de l'ordre de Fontevraud (dĂ©truite).
    • Église Saint-Jean, datant du XIIIe siĂšcle.
    • Ancienne Ă©glise Saint-Éloi de GuĂ©houville
    • Lieux et monuments
    • L'Ă©glise Saint-Jean.
      L'Ă©glise Saint-Jean.
    • Façade de l'Ă©glise
      Façade de l'église
    • Maison du colombier.
      Maison du colombier.
    • Crucifix.
      Crucifix.
    • TraversĂ©e de la ville par la D 928 (2 min 11 s).

    Blasonnement

    Les armoiries de Belhomert-Guéhouville se blasonnent ainsi :

    D'azur à la porte de ville du lieu d'or, ouverte du champ, surmontée d'une banderole d'argent chargée de l'inscription « Beatus Launomatus » en lettres de sable, accompagné en chef dextre d'un écusson d'argent à trois chevrons de gueules et en chef senestre de l'inscription « Belhomert » en lettres gothiques d'or.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La Loupe_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Belhomert-Guéhouville et La Loupe », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La Loupe_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Belhomert-Guéhouville et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Belhomert-Guéhouville », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    25. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 983 (lire en ligne) .
    26. Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, BibliothÚque nationale de France.
    27. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, vol. 10, Société historique et archéologique de l'Orne, , p. 12.
    28. Daniel Delattre, L'Eure-et-Loir : es 403 communes, Editions Delattre, , p. 22.
    29. L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, , p. 1001.
    30. Archives Nationales-F 2 II Eure-et-Loir 1.
    31. Laurent-Henri Cottineau, Répertoire topo-bibliographique des abbayes et prieurés, 1935, p. 326, sur Gallica.
    32. Louis Joseph Fret, Antiquités et chroniques percheronnes, 1840, p. 428-429.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.