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Le Haut-Corlay

Le Haut-Corlay [lə o kɔʁlɛ] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Le Haut-Corlay
Le Haut-Corlay
La croix du XVIe siècle (route de Quintin à Corlay).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Communauté de communes Loudéac Communauté - Bretagne Centre
Maire
Mandat
Jean-Pierre Le Bihan
2020-2026
Code postal 22320
Code commune 22074
Démographie
Gentilé Haut-Corlaysien, Haut-Corlaysienne
Population
municipale
645 hab. (2020 en diminution de 6,52 % par rapport à 2014)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 19′ 20″ nord, 3° 03′ 20″ ouest
Altitude 220 m
Min. 163 m
Max. 306 m
Superficie 25,64 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mûr-de-Bretagne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Le Haut-Corlay
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Le Haut-Corlay
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Le Haut-Corlay

    Géographie

    Localisation

    Le Haut-Corlay est une commune située à l'ouest de Quintin et juste au nord de Corlay.

    La commune fait partie par ses traditions de la Basse-Bretagne et plus localement du pays Fañch.

    Carte simplifiée de la commune du Haut-Corlay.

    Géologie et relief

    Le bourg du Haut-Corlay est situé au sud-ouest du territoire communal. Il fait face au bourg de Corlay dont il est séparé par la rivière de Corlay et un étang. La commune présente un relief avec de forts dénivelés. Les hauteurs de la cime de Kerchouan, au nord-est de la commune, à la limite avec celle de La Harmoye, culminent à une altitude de 318 mètres. Elles bordent le massif granitique de Quintin. Ce site élevé a été choisi pour y implanter un des premiers parcs éoliens de Bretagne. Il comporte 6 hélices de 64 mètres de haut. Le parc a été mis en service en 2005[1].

    • voir la légende ci-après
      Carte topographique de la commune du Haut-Corlay.

    La "Cîme de Kerchouan-Bois de Guercy", constituée de landes, d'espaces tourbeux (tourbière de la Ville-Jouan) et de bois constitués de sapinières situés sur le même substrat géologique de grès - quartzites et schistes métamorphisés est une ZNIEFF[2].

    Hydrographie

    La cime de Kerchouan marque la ligne de partage des eaux entre la Manche et l'Océan Atlantique.

    L’Oust prend sa source au nord-est de la commune, à la limite avec La Harmoye, juste au sud de la cime de Kerchuan, de même que la Rivière de Corlay, affluent du Sulon et sous-affluent du Blavet ; le Gouët a sa source au nord de la cime de Kerchouan, de même qu'un autre affluent du Sulon cité précédemment, mais qui a sa source sur le territoire de la commune du Vieux-Bourg[3]

    Transports

    La commune est traversée d’est en ouest par la route départementale D 790 (ancienne route nationale 790).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 971 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Kerpert », sur la commune de Kerpert, mise en service en 1987[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 130,6 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 27 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,2 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Haut-Corlay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,4 %), prairies (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), zones urbanisées (3,2 %), forêts (3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Corle en 1169, 1170 et en 1190, ecclesia de Veteri Corle en 1247[24], Vetus Corle en 1368[25] et en 1405[24], Hault Corle en 1468, 1473 et en 1480[24], Vetus Corlay en 1516, Hault Corlay en 1536[25].

    Le Haut-Corlay vient du breton Koz-Korle (« Vieux-Corlay »)[24].

    Le nom de la commune en breton est Ar Gozh-Korle ce qui signifie « le vieux corlay ».

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    La Cime de Kerchouan était le point de jonction des frontières des tribus gauloises des Coriosolites, des Osismes et Vénètes, à proximité des sources de l'Oust et du Gouët ; le monument du Tertre-aux-Coulombs dans le bourg, symbolise cette frontière et serait le plus ancien monument armoricain[24]. Du nord de cette éminence « le regard embrasse un horizon extrêmement étendu, et in n'est donc pas étonnant que, dès l'époque gauloise, puis à l'époque romaine, des postes d'observation et des garnisons de protection aient été établies à proximité », par exemple les enceintes fortifiées circulaires de Coz-Castel et Motten-Chastel sur la commune du Vieux-Bourg, et du Tertre-aux-Coulombs, de la Ville-Jouan (à 300 mètres au nord de ce hameau) et du sommet de la cime de Kerchouan pour celle du Haut-Corlay[26]

    La voie romaine de Vorgium (Carhaix) à Corseul passait sous le Tertre-aux-Coulombs avant de monter vers la cîme de Kerchouan[27].

    Moyen Âge

    La paroisse du Haut-Corlay est issue du démembrement de l'ancienne paroisse de l'Armorique primitive de Corlay.

    Plusieurs maisons nobles et manoirs existaient au Haut-Corlay : Bellevue, Bocozel, le Boissy, Kerdanio, Kerniquet, Kernonain, Kerroignant, Kervers, Portz-Jacques, la Rivière et la Ville-Jouant. Les seigneurs de Bocozel ( « le manoir de Bocozel était le plus ancien manoir du Haut-Corlay » ont écrit en 1843 A. Marteville et P. Varin, qui ajoutent qu'il était alors ruiné et remplacé par une construction récente[28] ), dénommés de Kergorlay ou de Guergorlay, jouissaient de prééminences et enfeux dans l'église de Haut-Corlay et, à titre de fondateurs, dans la chapelle de la Croix [24]. En 1601 Catherine de Kergorlay apporta en dot lors de son mariage à son époux Abel Gouyquet [Gouicquet] la terre et le manoir de Bocozel[29].

    Temps modernes

    Carte de Cassini de la région du Haut-Corlay (1787).

    La chapelle Saint-Maudez, où chapelle de la Croix, fut construite en 1715 par Sébastien Gouicquet, sieur de Bocozel ; il y fut inhumé lors de sa mort survenue en 1720 comme en témoigne une inscription latine située sur son enfeu.

    En 1764 l'église paroissiale, sous le vocable d'église Notre-Dame-et-Sainte-Philomène, est détruite par un incendie ; elle est restaurée et bénie le par Mgr Farcy de Cuillé, évêque de Cornouaille.

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Le Haut-Corlay en 1778 :

    « Haut-Corlai ; sur une hauteur, proche de la route de Pontivi à Guingamp ; à 18 lieues deux-tiers à l'Est-Nord-Est de Quimper, son évêché ; à 22 lieues de Rennes, et à un tiers de lieue de Corlai, sa subdélégation. Cette paroisse est très ancienne ; elle ressortit au siège royal de Saint-Brieuc, et compte, y compris ceux de Saint-Bihi, sa trève, 1 450 communiants[Note 7]. La cure est à l'alternative. Son territoire est couvert de montagnes incultes, au pied desquelles sont des terres en labeur. On y connoît la maison noble de Grand-Isle, dont jouissent depuis plusieurs siècles les seigneurs de Pourmic[30]. »

    Le XIXe siècle

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Le Haut-Corlay en 1843 :

    « Haut-Corlay (le) : (sous l'invocation de la Vierge et de sainte Philomène) ; commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, moins son ancienne trève Saint-Bily, devenue commune ; aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : la Ville-Jouen, Kerven, la Ville-Herbelot, Quillaron, Roscaradec, le Tertre, Pennvers, Persucat, le Boissi, la Ville-Léon, Kerbrès, le Bot, Guilleron, Bocozel, Coët-Favant, la Croix, Lorfillès, Squivit, Kerbénalo, Kerpoulain, Coat-Rivoallan, Saint-Damant, Kerbastard, Kerglio, La Ville Neuve, la Rivière, Lannier, Garenne Guillosso, Bzlle-Vue, Pont-Jacques. Superficie totale 2 563 hectares, dont (...) terres labourables 1 527 ha, prés et pâturages 294 ha, bois 57 ha, vergers et jardins 40 ha, landes et incultes 543 ha, étangs 6 ha (...). Moulins : 6 (Percé, Quillaron, Kerdano, de Ville-Neuve, de la Rivière ; à eau). L'église du Haut-Corlay est fort ancienne (...). Il y avait en outre les chapelles de Notre-Dame-des-Anges, de Saint-Jacques, de la Croix et de Sainte-Geneviève ; ces deux dernières sont encore desservies. (...) Deux routes traversent cette commune : l'une est celle de Guingamp à Corlay, elle passe dans la partie sud-ouest ; l'autre est celle de Quintin à Corlay, elle passe dans la partie sud. Géologie : schiste argileux ; minerai de fer. On parle le breton[28]. »

    En 1862,le Haut-Corlay était réunie à Corlay pour l'école des garçons, mais l'école mixte de la Croix accueillait 7 élèves. Joachim Gaultier du Mottay écrit que « le territoire est très élevé, accidenté, assez bien boisé et planté de pommiers », que « les terres sont légères, mais assez fertiles ». Le même auteur écrit qu'en 1851, du Bois de la Hue-au-Gal, bois très fréquenté par les loups, sortit « un loup enragé qui, dans l'espace de quelques heures, parcourut diverses communes et mordit quarante-six personnes et 90 animaux » [31].

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts du Haut-Corlay porte les noms de 50 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale[32].

    L'Entre-deux-guerres

    • Le Haut-Corlay : le village de la Croix un jour de foire (carte postale Émile Hamonic, début XXe siècle).
      Le Haut-Corlay : le village de la Croix un jour de foire (carte postale Émile Hamonic, début XXe siècle).

    La Seconde Guerre mondiale

    Début 1944, la "brigade spéciale" créée par Louis Pichouron, dirigeant FTP, pourchassée par le lieutenant Flambard[33], se réfugia sur la cime de Kerchouan[34] près du Haut-Corlay. Le , maquisards et gendarmes s'affrontent à Saint-Caradec ; plusieurs résistants sont arrêtés dont Georges Ollitrault, Roger Cadec, Raymond Pédrono, Marcel Le Hellaye, Louis Winter, Marcel Divenah, les quatre derniers cités étant morts en déportation[35].

    Le monument aux morts du Haut-Corlay porte les noms de 14 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[32].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1798 Jacques Le Bail[Note 8] Laboureur.
    1798 1805 Mathurin Bogard[Note 9]
    1805 1816 Louis Cansot[Note 10] Cultivateur.
    1816 1825 François Marie de Quelen[Note 11] Seigneur de la Villeglé.
    1825 1830 Maurice Le Breton[Note 12]
    1832 1835 Charles Jouan[Note 13] Boulanger.
    1835 1846 Maurice Le Breton Déjà maire entre 1825 et 1830.
    1846 1875 René Guillermo[Note 14] Cultivateur.
    1875 1881 François Rolland
    1882 1882 Gilles Jégou
    1883 1884 Jean-Marie Le Breton[Note 15] Fils de Maurice Le Breton, maire entre 1825 et 1830 ainsi qu'entre 1835 et 1846.
    1884 1888 Guillaume Hervé[Note 16] Cultivateur.
    1888 1898 Gustave Fraval[Note 17]
    1898 1901 Jean-Marie Le Breton Déjà maire en 1883-1884.
    1901 1920 Augustin Fraboulet[Note 18] Laboureur.
    1920 Isidore Beaudoin[Note 19] Agriculteur.
    mars 1965 mars 1983 Denis Charles
    mars 1983 janvier 2006 René Allo
    janvier 2006 mars 2008 Jean-Claude Robin
    mars 2008 mars 2014 Joëlle Le Breton SE Agricultrice
    mars 2014 En cours Jean-Pierre Le Bihan [36]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    DVG[37] Agriculteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3061 2551 1501 1031 1081 2331 2021 1311 152
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1211 0611 0751 0821 0819771 1351 1101 042
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0191 117974909913924883775715
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    791851785751734714707705689
    2018 2020 - - - - - - -
    646645-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune compte un seul monument historique protégé : une croix du XVIe siècle située sur la route de Quintin à Corlay et inscrite en 1930[40].

    Autres monuments
    • L'église paroissiale Notre-Dame-et-Sainte-Philomène : son porche et sa chapelle nord datent du XVIe siècle et le maître-autel du XVIIe siècle ; maids le reste de l'église date de la restauration effectuée après l'incendie de 1764.
    • L'église Notre-Dame-et-Sainte-Philomène : vue extérieure d'ensemble (début XXe siècle).
      L'église Notre-Dame-et-Sainte-Philomène : vue extérieure d'ensemble (début XXe siècle).
    • La chapelle Saint-Maudez ou chapelle de la Croix (car située dans le village portant ce nom) ; elle a servi les siècles passés de lieu d'inhumation pour la famille Bocazel et abrite une statue de saint Maudez datant du XVIIIe siècle.
    • La chapelle Sainte-Geneviève de Kergolio (dite aussi chapelle Sainte-Marguerite) : elle a été reconstruite en 1782 par les seigneurs du Boisberthelot (en Canihuel et restaurée en 1937 par la famille du Bouilly du Fretay. Un pardon y était organisé.

    Événements culturels

    • Fest-noz de Coat-Favan organisé chaque année par l’Association des Jeunes du Haut-Corlay sur le site de Botcozel.

    Hippisme

    L'équipôle de Corlay, situé en fait sur les communes du Haut-Corlay et Canihuel, est un complexe équestre, créé par l'agrandissement de l'hippodrome préexistant, nommé « Le Petit Paris ». Il accueille des courses hippiques et des épreuves de sports équestre, notamment d'endurance.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Personnes en âge de communier.
    8. Jacques Le Bail, né le au Haut-Corlay, décédé le 6 floréal an XII () à La Croix en Le Haut-Corlay.
    9. Mathurin Bogard, né le au Haut-Corlay.
    10. Louis Cansot, né le à Canihuel, décédé le au Haut-Corlay.
    11. François Marie de Quelen, né le au Haut-Corlay, décédé le au Haut-Corlay.
    12. Maurice Jacques Le Breton, né en 1796 au Haut-Corlay, décédé le au Haut-Corlay
    13. Charles Jouan, né le au Haut Corlay, décédé le au Haut-Corlay.
    14. René Guillermo, né le au Haut-Corlay, décédé le au Haut-Corlay.
    15. Jean-Marie Le Breton, né le au Haut-Corlay.
    16. Probablement Guillaume Hervé, né le au Haut-Corlay, décédé le au Haut-Corlay.
    17. Gustave Fraval, né le à Quintin, décédé le à Quintin.
    18. Augustin Fraboulet, né le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
    19. Isidore Beaudoin, né le au Haut-Corlay.

    Références

    1. Le Haut-Corlay sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
    2. « ZNIEFF 530002632 Cime de Kerchouan - Bois de Guercy », sur https://inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    3. Brice Dupont, « Ils prennent soin de la source du Gouët, ce fleuve qui serpente dans le pays de Saint-Brieuc », Journal Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Kerpert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Le Haut-Corlay et Kerpert », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Kerpert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Le Haut-Corlay et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Le Haut-Corlay ».
    25. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    26. René Couffon, « Contribution à l'étude des voies romaines des Côtes-du-Nord », Bulletins et mémoires / Société d'émulation des Côtes-du-Nord, , page 13 (lire en ligne, consulté le ).
    27. « La voie romaine de Carhaix à Corseul », sur Voies-romaines-Bretagne.com (consulté le ).
    28. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Rennes, Molliex, (lire en ligne), page 346.
    29. Sigismond Ropartz, Guingamp et le pèlerinage de Notre-Dame de Bon-Secours, Guingamp, Périssé, (lire en ligne), page 399.
    30. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 195.
    31. Joachim Gaultier du Mottay, Géographie départementale des Côtes-du-Nord, (lire en ligne), page 747.
    32. « Monument aux Morts - Haut-Corlay », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    33. Le lieutenant Flambard, qui commandait la gendarmerie de l'arrondissement de Guingamp lutta avec acharnement, malgré son uniforme français, contre les résistants et pour chassa les réfractaires du STO, servant la cause nazie et collaborant avec la Gestapo.La cour de justice de Rennes le condamna le à 2 ans de prison.
    34. La cime de Kerchouan est une colline atteignant 318 mètres d'altitude
    35. Françoise Morvan, "Miliciens contre maquisards :enquête sur un épisode de la Résistance en Bretagne", éditions Ouest-France, 2013, (ISBN 978-2-7373-5063-4).
    36. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    37. « Résultats élections Le Haut-Corlay (22320) : élections régionales et départementales 2021 », sur lemonde.fr (consulté le ).
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Notice no PA00089195, base Mérimée, ministère français de la Culture.

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