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Le Ham (Manche)

Le Ham est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 312 habitants[Note 1].

Le Ham
Le Ham (Manche)
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Ghislain Dubois
2020-2026
Code postal 50310
Code commune 50227
Démographie
Gentilé Hamais
Population
municipale
312 hab. (2020 en diminution de 6,59 % par rapport à 2014)
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 03″ nord, 1° 25′ 03″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 26 m
Superficie 3,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
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Le Ham
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Le Ham

    Géographie

    La commune est en Cotentin. Son principal hameau, le Val, est à 5,5 km au sud-est de Montebourg, à 9,5 km au sud-est de Valognes, à 12 km au nord-est de Saint-Sauveur-le-Vicomte et à 13 km au nord-ouest de Sainte-Mère-Église[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 892 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bricquebec », sur la commune de Bricquebec-en-Cotentin, mise en service en 1969[10] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 1 207,9 mm pour la période 1981-2010[12].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 26 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Ham est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,1 %), zones agricoles hétérogènes (33,4 %), zones urbanisées (7,3 %), terres arables (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ham entre 1023 et 1026 (AG NLM) ; de Hamo au XIIe siècle (cartulaire de Montebourg) ; Ham au XIIe siècle (d°, f° 73, 163) ; Liham (Wace, Roman de Rou II, p. 321. Avec agglutination de l'article défini ancien li > le) ; de Hamo XIIIe siècle (Thomas Hélie, 566)[24].

    Le nom de la commune est issu du vieil anglais (appelé également anglo-saxon) ham[24] - [25] (comprendre hām[26]) « maison, foyer, groupe d'habitations » ou du francique haim « maison, foyer ». La première hypothèse est sans doute préférable pour le Cotentin[24] et plus généralement en Normandie[26]. Le sens actuel du mot hameau, issu du normand hamel qui dérive de ham est sans doute lié à sa signification dans le dialecte normand[26]. Le mot ham était employé comme nom commun dans le Nord de la France et signifiait « foyer, village ».

    Le toponyme Hémevez est dérivé du nom de ce village.

    Il y a homonymie avec une ancienne commune du Calvados, aujourd'hui rattachée à Hotot-en-Auge, et avec une commune de Mayenne.

    En 1828, Louis Du Bois proposa de renommer cette commune Le Ham-sur-Merderet, afin de la distinguer de son homonyme du Calvados, rebaptisé par lui Le Ham-sur-Dive[27]. Cette proposition ne fut pas retenue.

    Le gentilé est Hamais[28].

    Politique et administration

    La mairie et son porche d'entrée.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2008 Amand Leviautre
    2008 2020 Guy Buttet[29] Agriculteur
    2020 En cours Ghislain Dubois
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[29].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 312 habitants[Note 9], en diminution de 6,59 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Le Ham a compté jusqu'à 417 habitants en 1968.

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    302302297349281279302268252
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    243246264267257237232242228
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    214239214269342326327322334
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    390417402373387348323313346
    2015 2020 - - - - - - -
    318312-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[34].

    Lieux et monuments

    Le manoir de Mesnildot.
    Le manoir de Sigosville.
    • L'église Saint-Pierre (XIIe – XVIIe siècle), au Val, est inscrite aux monuments historiques pour son portail[35]. Quatre statues sont classées à titre d'objets (Vierge à l'Enfant, saint Pierre et saint Fromond du XIVe siècle et sainte Barbe du XVIe siècle)[36]. Elle fut bâtie vers 1080 par Herfast de Crépon, frère de Gunnor de Normandie, après que la première église du VIIe siècle eut été détruite par le chef Viking Hasting[37].
    • L'autel du Ham, autel de l'ancienne abbaye d'époque mérovingienne qui en est l'unique vestige, est exposé à la bibliothèque de Valognes.
    • Le manoir de Sigosville : manoir du XVIe siècle[38] qui se présentait à l'origine comme une cour carrée fermée. En haut de la tour d'escalier se trouvait un colombier. À voir également une arquebusière double avec trou de visée.
    • Le manoir de la Cour des Marais (XVIe siècle).
    • Le manoir du Mesnildot (début XVIIe siècle[39]) : le corps principal est flanqué de deux pavillons latéraux qui s'éclairent par des demi-fenêtres. Un fort chaînage horizontal ceinture complètement l'édifice, séparant ainsi le rez-de-chaussée du premier étage. Les baies sont toutes à linteaux droits.
    • Le manoir de la Landrurie.
    • Ancienne abbaye de moniales[40] bénédictine du Ham relevant de Saint-Wandrille. En 681, Thierry III, roi des Francs, donne le fisc du Ham à saint Fromond, évêque de Coutances, pour la fondation de son monastère et d'une paroisse. Ce legs est rapporté sur l'autel mérovingien (autel du Ham)[41]. Ruinée par le chef normand Hasting, en 906 le monastère est déserté[42]. Au XIIe siècle Guillaume du Hommet, bouteiller du duc de Normandie et seigneur du Ham, en fait un prieuré dédié à Saint-Pierre et le donne à Saint-Père de Chartres[43]. Accolé sur la gauche de l'actuelle église Saint-Pierre ne reste qu'une pièce de cette époque datant du XIIe siècle et construite sur une ancienne voie romaine[44] avec un terrain dans la continuité du cimetière appelé l'aumône[45].
    • Chapelle Saint-Christophe (détruite).
    • Voies romaines (encore visibles aujourd'hui).
    • Gare de Montebourg (fermée, située sur la commune du Ham) qui fut l'un des départs vers les camps de concentrations durant la Seconde Guerre mondiale.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Bricquebec - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Le Ham et Bricquebec-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Bricquebec - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Le Ham et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 131-132.
    25. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 56.
    26. Louis Guinet, Les emprunts gallo-romans au germanique (du Ier à la fin du Ve siècle), Paris, Klincksieck, 1982
    27. Louis Du Bois, Itinéraire descriptif, historique et monumental des cinq départements de la Normandie, Mancel, Caen, 1828, p. 473.
    28. « Ouest-france.fr - Mairie du Ham » (consulté le ).
    29. Réélection 2014 : « Le Ham (50310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny
    35. « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Œuvres mobilières au Ham », base Palissy, ministère français de la Culture.
    37. Jean-Louis Adam, Quelques notes sur Valognes, 1905.
    38. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 160.
    39. Girard et Lecœur 2005, p. 200.
    40. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 113.
    41. André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 41.
    42. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 22.
    43. Abbé Auguste Lecanu, Histoire du diocèse de Coutances et d'Avranches depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours ; suivie des actes des saints et d'un tableau historique des paroisses du diocèse, impr. de Salettes, Coutances, t. II, 1878, p. 425.
    44. Selon les archives de Caen.
    45. Source du cadastre.
    46. Jean-François Hamel, sous la direction de René Gautier, Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche, tome 1, Éditions Eurocibles, Marigny, 2001, (ISBN 2914541090).
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