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Fresville

Fresville (prononcé [fʁɛvil] ou [fʁevil][1]) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 372 habitants[Note 1].

Fresville
Fresville
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Jocelyne Levavasseur
2020-2026
Code postal 50310
Code commune 50194
Démographie
Gentilé Fresvillais
Population
municipale
372 hab. (2020 en augmentation de 2,76 % par rapport à 2014)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 23″ nord, 1° 21′ 22″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 36 m
Superficie 13,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
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Fresville
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    Géographie

    Géologie

    Un géosite est aménagé dans la carrière de Fresville[3]. Les contraintes compressives liées à l’orogenèse alpine, à la fin du Mésozoïque et au Cénozoïque, se traduisent par un pendage d’environ 5 degrés vers le sud-est[4].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 713 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste Marie du Mont », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1997[11] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[12] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 913,5 mm pour la période 1981-2010[13].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 29 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,7 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Fresville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [18] - [19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,4 %), terres arables (28,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), zones urbanisées (2,3 %), eaux continentales[Note 8] (1,8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Freevilla vers 1080, Fredevilla vers 1135, Freevilla vers 1190, Freville en 1238[25].

    Le toponyme est issu d'un anthroponyme germanique tel que Freso[26], hypothèse abandonnée aujourd'hui car elle contredit les formes anciennes qu'Albert Dauzat ignorait. Son explication se base sur le s apparu tardivement dans la graphie pour noter é [e]. Ernest Nègre quant à lui, cite Fredo[27] et René Lepelley, Frido[1], emprunté à François de Beaurepaire, et qui convient moins bien. En revanche Jean Renaud propose le nom de personne norrois Freði, dont le [ð] s'est déjà amuï en 1080. Il est tout à fait conforme à cette mention ancienne et la localisation de Fresville dans la zone de diffusion de la toponymie norroise. On peut noter également que les nombreux Fréville de Normandie (exemple : Fréville et Fréville à Fontaine-la-Mallet) ont des formes anciennes différentes des Fréville et Fresville situés ailleurs.

    L'ancien français vile est employé dans son sens originel de « domaine rural » issu du gallo-roman VILLA, lui-même de la locution latine villa rustica.

    Le gentilé est Fresvillais.

    Microtoponymie
    • Sausetour, lieu-dit de Fresville, est attesté sous la forme Sauxetorp à la fin du XIIe siècle[28].

    Histoire

    Le village de Fresville est un ancien lieu de pèlerinage pour saint Sulpice.

    Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de Saint-Sauveur-le-Vicomte[29].

    Lors de la bataille de Normandie, le village est libéré le par le 325e régiment glider d'infanterie (en)[30].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989[31] mai 2020 Rolande Brécy DVD Conseillère générale
    mai 2020[32] En cours Jocelyne Levavasseur SE Retraitée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[32].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 372 habitants[Note 9], en augmentation de 2,76 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Fresville a compté jusqu'à 869 habitants en 1821.

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    756672775869837858864846814
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    770757776685716690712642647
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    607585594528598594594651582
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    557469395351314325361370371
    2014 2019 2020 - - - - - -
    362370372------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[37].

    Lieux et monuments

    La chapelle Sainte-Sulpice, située dans le cimetière de l'église Saint-Martin.
    • Église Saint-Martin (XIIe – XVIIIe siècles), inscrite au titre des monuments historiques depuis le [38]. La nef est d'époque romane alors que le chœur, le transept et le clocher sont gothiques ; le clocher en bâtière est extrêmement accentué. Elle abrite un groupe sculpté Charité de saint Martin (XVe), un chasublier (XVIIIe), un maitre-autel et retable (XVIIIe), un autel secondaire et retable (XVIIIe), une poutre de gloire (XVIIIe) sont classés au titre objet[39], une verrière (XIXe et XXe siècles) dont l'un des vitraux est dédié à Mgr Lenordez qui fut vicaire à Fresville.
    • Chapelle Saint-Sulpice (XVIe siècle), avec pèlerinage à Saint-Sulpice et Saint-Hermès, croix du Trappiste, croix de la Mission (1860).
    • Trace de voie romaine.
    • Manoir de la Cour de Vauville (XVe – XVIe siècles, remanié au XVIIe siècle)[40] : logis rectangulaire, deux tours circulaires. Le logis principal est haut de deux étages sous un toit à forte penture. L'un des bâtiments qui n'a qu'un unique rez-de-chaussée s'éclaire par des fenêtres avec linteaux droits.
    • Château de Grainville (XVIIIe siècle) : bâti près du hameau de la gare qui portait comme nom « Esteinvei » (le gué de pierre) et qui permettait le franchissement du Merderet, cette demeure de la fin du XVIIIe siècle à fait suite à un manoir du XVIe siècle. Occupé par des religieuses lors de la Seconde Guerre mondiale, la ferme manable ne fut pas réquisitionné par les Allemands[41].
    • Château des Poteries (XVIIIe – XIXe siècles). La demeure est élevé en 1874 sur l'emplacement d'un manoir rasé au XVIIIe siècle, reprenant les mêmes disposition et en gommant toutes traces extérieures de l'ancien édifice[42]. Maurice Belliard (1897-1977), né à Éroudeville, chevalier de la Légion d'honneur, fut éleveur au château des Poteries et maire de Fresville[43]. Il abrite un musée Espace Temps de l'horlogerie.
    • Château de Tamerville (XVIIIe siècle).
    • Château de Magneville (XVIe siècle).
    • Château de Cussy (XVIIe siècle).
    • Le Hesnay (XVIIe siècle).
    • La Valette.
    • Le Val.
    • Boisandré.
    • Voie de la Liberté (route nationale 13).

    Personnalités liées à la commune

    • Guillaume Gréard (XVIIIe siècle), né à Fresville, poète célèbre pour une Dissertation sur la comète de 1730.
    • François-Adrien-Marie André de Boisandré (1859-1910), journaliste antisémite, est né et inhumé à Fresville.
    • Michel Yver de La Vigne-Bernard (1907 à Fresville - 1979), sénateur.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 211.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 129.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Présentation du géosite », sur Université de Caen.
    4. « Déformations tectoniques », sur Université de Caen.
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Fresville et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Fresville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425).
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , p. 304b.
    27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 934.
    28. Georges Bernage, « Les Vikings du Sarnes », Vikland, la revue du Cotentin, no 5, avril-mai-juin 2013, p. 9 (ISSN 0224-7992).
    29. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 181-182.
    30. « Fresville (50 Manche) La Libération », sur normandie44lamemoire.com, 1944 la bataille de Normandie, la mémoire (consulté le ).
    31. « La remise de six médailles communales », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. « Municipales à Fresville. Jocelyne Levavasseur est la nouvelle maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
    38. « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Œuvres mobilières à Fresville.
    40. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 129.
    41. Girard et Lecœur 2005, p. 245.
    42. Girard et Lecœur 2005, p. 274.
    43. Gautier 2014, p. 195.
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