Ămondeville
Ămondeville est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 349 habitants[Note 1].
Ămondeville | |
Le bourg. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Normandie |
DĂ©partement | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
Maire Mandat |
LoĂŻc Provaux 2020-2026 |
Code postal | 50310 |
Code commune | 50172 |
DĂ©mographie | |
GentilĂ© | Ămondevillais |
Population municipale |
349 hab. (2020 ) |
Densité | 65 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 49° 27âČ 32âł nord, 1° 20âČ 34âł ouest |
Altitude | Min. 7 m Max. 37 m |
Superficie | 5,33 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Valognes |
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription |
Localisation | |
GĂ©ographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ste Marie du Mont », sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont, mise en service en 1997[9] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 913,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11].
Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg â Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et Ă 29 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Ămondeville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (89,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (95,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (76,9 %), terres arables (8,5 %), zones urbanisĂ©es (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (4,5 %), prairies (4,3 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[22].
Toponymie
Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Amundavilla en 1042[23], Amundevilla vers 1172[24] ou vers 1182[25], Amondevilla en 1180[26], 1195[27] et 1203[28], Amundivilla vers 1280 (PouillĂ©)[29], Emondeville en 1426[30], en 1549[31], Esmondeville en 1612 et 1636[32], Emondeville en 1677[33], Ămondeville en 1880[34].
Au XIIIe siĂšcle, la paroisse d'Ămondeville fut Ă©galement citĂ©e sous les noms dâ« Ămondeville-en-Cotentin » (Amundevilla in Costentino) 1243[35] et dâ« Ămondeville-au-Plain » (Amondevilla in Plano) en 1269[36]. Ce dernier dĂ©terminant fait rĂ©fĂ©rence Ă un petit territoire qui avait autrefois formĂ© le doyennĂ© du Plain. Cette appellation est issue de l'ancien français plain « pleine campagne, plaine ». Voir Ă©galement Angoville-au-Plain, Beuzeville-au-Plain et Neuville-au-Plain.
Il s'agit d'une formation toponymique mĂ©diĂ©vale en -ville au sens ancien de « domaine rural », dont le premier Ă©lĂ©ment Ămonde- reprĂ©sente un anthroponyme selon le cas gĂ©nĂ©ral. Il convient sans doute d'y voir le nom de personne scandinave Amundi[37] - [29] - [38] - [39] - [40], comprendre vieux norrois Ămundi ou vieux danois Amundi[41].
Homonymie avec Ămondeville (Seine-Maritime, Saint-Vaast-Dieppedalle, Amondevilla 1060) ; Mondeville (Calvados, Amundi villam 990)[40] et mĂȘme nom de personne dans Amondetot, lieu non identifiĂ©[37], composĂ© avec l'appellatif vieux norrois topt, toft[37]. Ils sont tous situĂ©s dans l'aire de diffusion de la toponymie scandinave en Normandie.
Le gentilĂ© est Ămondevillais.
Histoire
Au XIeâââXIIe siĂšcle, Roger d'Ămondeville est l'un des seigneurs les plus en vue de Normandie[42].
Au XIIe siĂšcle, la paroisse relevait de l'honneur de NĂ©hou[43].
En 1623, Madeleine de la Vigne[Note 8], Ă©pouse de Jean de Tourlaville, prit le titre de dame d'Ămondeville et d'Azeville[42].
Ămondeville fut l'un des premiers villages libĂ©rĂ©s aprĂšs le dĂ©barquement de juin 1944. Ă l'Ă©poque, toute la campagne et les villages Ă©taient occupĂ©s par les Allemands. La Kommandantur Ă©tait installĂ©e dans la ferme du chĂąteau d'Ămondeville (propriĂ©tĂ© appartenant Ă la famille Durel). Une tranchĂ©e avait Ă©tĂ© creusĂ©e dans un champ pour accueillir les Allemands qui s'y mettaient Ă l'abri pendant les bombardements. Ă la LibĂ©ration, cette tranchĂ©e a servi de fosse pour enterrer les animaux morts. La rumeur raconte que des soldats ennemis y seraient Ă©galement enterrĂ©s.
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[46].
En 2020, la commune comptait 349 habitants[Note 9], en diminution de 3,59 % par rapport Ă 2014 (Manche : â0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et CrÚme d'Isigny[49].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Notre-Dame, en partie du XIIe siĂšcle, abritant trois statues (XIVe et XVe siĂšcles) classĂ©es au titre objet aux monuments historiques : Vierge Ă l'Enfant[50], saint Jean lâĂvangĂ©liste[51], la TrinitĂ©[52], ainsi qu'un maĂźtre-autel et son retable du XVIIe, un cadran solaire du XVIe, une clefs de voĂ»te du XVe, des fonts baptismaux du XVIIIe, des statues de saint Ăloi du XVIe, de saint LĂŽ du XIVe, de saint HĂ©lier du XIVe, des tableaux du XIXe, une verriĂšre du XXe de C. Plessard et Gabriel Loire.
- Communs (XVIIe siÚcle) du chùteau détruit au milieu du XXe siÚcle.
- La Cour d'Ămondeville.
- La Comterie (XVIeâââXVIIe siĂšcles).
- Croix de chemin (XVIIIe siĂšcle) et croix de cimetiĂšre (XVIIIe siĂšcle).
Ămondeville au cinĂ©ma
En 2007, des scÚnes du film Deux jours à tuer de Jean Becker ont été tournées dans le restaurant le « Coup de frein »[42].
Personnalités liées à la commune
- Henri d'Ămondeville ou de Mondeville (1260-1320) dont le lieu de naissance demeure imprĂ©cis (Ămondeville ou Mondeville), chirurgien de Philippe le Bel et Louis le Hutin.
HĂ©raldique
Blason | Parti : au 1er dâazur Ă la fasce d'argent chargĂ©e d'une coquille de gueules, au 2d de sinople Ă une rose des jardins d'or ; au chef de gueules chargĂ© de deux lĂ©opards affrontĂ©s d'or armĂ©s et lampassĂ©s d'azur[53]. |
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DĂ©tails | La fasce d'argent est reprise des armes de la famille de Ravallet et la coquille de celles de la famille de La Luzerne.
La rose est l'attribut de Notre-Dame. La couleur verte évoque l'agriculture. Les léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.Adopté le . |
Voir aussi
Bibliographie
- RenĂ© Gautier et al. (prĂ©f. Jean-François Le Grand, postface DaniĂšle PolvĂ©-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Ăditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 192
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- RĂ©sumĂ© statistique d'Ămondeville sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Elle fonda le couvent des religieuses de la protection Ă Cherbourg[42].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Ste Marie du Mont - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ămondeville et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- « Station Météo-France Ste Marie du Mont - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ămondeville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg â Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
- « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg â Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Marie Fauroux, Recueil des actes des ducs de Normandie (911-1066), Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XXXVI, Caen, 1961, p. 255, § 99 (la référence 64 donnée par François de Beaurepaire dans Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 115, est erronée).
- LĂ©opold Delisle, Recueil des actes de Henri II, revu et publiĂ© par Ălie Berger, Imprimerie Nationale, Paris, t. I, 1916, p. 474, § CCCXXVI.
- Ibid., t. II, 1920, p. 150, § DLXX.
- LĂ©chaudĂ© DâAnisy, Grands RĂŽles des Ăchiquiers de Normandie, premiĂšre partie, MĂ©moire de la SociĂ©tĂ© des Antiquaires de Normandie XV, 2e sĂ©rie, 5e volume, Paris, 1845, p. 10b.
- Ibid., p. 85a.
- LĂ©chaudĂ© DâAnisy et Antoine Charma, Magni Rotuli ScaccariĂŠ NormanniĂŠ sub regibus AngliĂŠ, pars secunda, MĂ©moire de la SociĂ©tĂ© des Antiquaires de Normandie XVI, 2e sĂ©rie, 6e volume, Paris, 1852, p. 83a.
- François de Beaurepaire dans Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 115
- Siméon Luce, Chronique du Mont-Saint-Michel (1343-1468), Firmin-Didot, Paris, t. I, 1879, p. 237, § LXXVIII.
- EugÚne Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. I), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXI, Caen, 1892, p. 63.
- Jean Bigot sieur de Sommesnil, Ătat des paroisses des Ă©lections de Normandie, 1612/1636 [BNF, ms. fr. 4620].
- Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BNF, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
- Adolphe Joanne, Géographie du département de la Manche, Hachette, Paris, 1880, p. 59a.
- LĂ©opold Delisle, Recueil de jugements de lâĂchiquier de Normandie au XIIIe siĂšcle, Paris, 1864, p. 172, § 746.
- Julie Fontanel, Le cartulaire du chapitre cathédral de Coutances, Archives départementales de la Manche, Saint-LÎ, 2003, p. 135, § 36, la forme Amundivilla donnée par François de Beaurepaire, op. cit. p. 115 est erronée
- Jean Adigard des Gautries, Les noms de personnes scandinaves en Normandie de 911 Ă 1066, Lund, 1954, p. 73
- Ernest NÚgre, Toponymie Générale de la France, Droz, GenÚve, t. II, 1991, p. 1022, § 18414
- RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen / CondĂ©-sur-Noireau, Ăditions Charles Corlet, 1993, p. 115a.
- Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, Ă©ditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 110.
- Site de Nordic Names : nom de personne Ămundi (lire en anglais) .
- Gautier 2014, p. 192.
- Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (XeâââXIIe siĂšcle) : Ătude historique et topographique », dans ArchĂ©ologie mĂ©diĂ©vale, t. 12, (lire en ligne sur PersĂ©e.), p. 184.
- Réélection 2014 : « Emondeville (50310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- AOP Beurre d'Isigny et CrĂšme d'Isigny.
- « Statue : Vierge à l'Enfant ».
- « Statue : Saint Jean lâĂvangĂ©liste ».
- « Groupe sculpté : La Trinité ».
- « 50172 Ămondeville (Manche) », sur armorialdefrance.fr (consultĂ© le ).