La Geneytouse
La Geneytouse (La Janestosa en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
La Geneytouse | |||||
L'Ă©glise. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Limoges | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Noblat | ||||
Maire Mandat |
Alain Faucher 2020-2026 |
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Code postal | 87400 | ||||
Code commune | 87070 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Geneytousois | ||||
Population municipale |
979 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 51 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 47âČ 09âł nord, 1° 28âČ 05âł est | ||||
Altitude | Min. 335 m Max. 484 m |
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Superficie | 19,35 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-LĂ©onard-de-Noblat | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Vienne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | lageneytouse.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Geneytousois[1].
GĂ©ographie
Localisation
La Geneytouse est situĂ©e sur la route dĂ©partementale 979 (D 979) entre Limoges et Eymoutiers. Les Allois, ancienne commune de la Haute-Vienne, situĂ©s un peu plus prĂšs de Limoges sur la mĂȘme D 979, appartient Ă la commune depuis son rattachement Ă La Geneytouse en 1829.
Relief
La commune est divisée en deux parties par une colline traversant la commune d'est en ouest et sur laquelle se trouve la D 979. Au nord les ruisseaux descendent vers la Vienne et au sud vers la Briance.
Hydrographie
La commune n'est traversée par aucune riviÚre importante et, comme indiqué ci-dessus fait intégralement partie du bassin versant de la Vienne, soit directement, sous par un de ses affluents, la Briance.
Voies routiĂšre
- la D 979 (entre Limoges et Eymoutiers, et mĂȘme au-delĂ ). Ce secteur a connu plusieurs modifications de statut. Ainsi en 1933, comme plus de 50 000 km de routes en France Ă la mĂȘme pĂ©riode, cette route devient une nationale, la N 679 qui va de Limoges Ă Saint-Flour (Cantal) et redevient dĂ©partementales dans les annĂ©es 1970, comme la quasi-totalitĂ© des nationales crĂ©Ă©es dans les annĂ©es 1930, le .
- la D 7 B qui relie Saint-Léonard-de-Noblat au département de la CorrÚze via Saint-Germain-les-Belles et Meuzac. C'est le trajet d'une des variantes de la via Lemovicensis (le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle qui traverse le Limousin) à partir de Saint-Léonard-de-Noblat, variante qui permet la jonction, en passant par Rocamadour, de la via Podiensis (qui relie Le Puy-en-Velay à Saint-Jacques).
- La D 12 A qui relie la D 979 Ă la D 12 qui, elle-mĂȘme, va de la D 979 Ă quelques kilomĂštres Ă l'ouest de la commune Ă la CorrĂšze, via Saint-Paul et Linards
- la D 19 qui relie Saint-LĂ©onard-de-Noblat Ă Saint-Yrieix-la-Perche. Un diverticule la D 19 A, relie le bourg voisin d'Eybouleuf Ă celui de la commune.
- la D 65 qui relie Saint-LĂ©onard-de-Noblat Ă la commune du Vigen.
En plus des départementales La Geneytouse dispose de plusieurs vicinales.
Voies ferroviaires
La commune n'est traversée par aucune ligne ferroviaire, mais la ligne du Palais à Eygurande-Merlines, permettant la jonction de Limoges, Saint-Léonard-de-Noblat, Eymoutiers et, en CorrÚze de Meymac et Ussel est accessible, via la gare de Saint-Léonard-de-Noblat. La gare importante la plus proche est celle de Limoges-Bénédictins à 31 km par cette ligne.
Transports aériens
LâaĂ©roport le plus proche est celui de Limoges-Bellegarde Ă 24 km Ă vol d'oiseau Ă l'ouest - nord-ouest.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-LĂ©onard-de-Noblat », sur la commune de Saint-LĂ©onard-de-Noblat, mise en service en 1997[9] et qui se trouve Ă 6 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 092,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et Ă 18 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 11,8 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
La Geneytouse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (80,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (58,5 %), forĂȘts (19,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,2 %), zones urbanisĂ©es (3,9 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de La Geneytouse est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[24]. 14,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de La Geneytouse est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[26].
Histoire
En 1140, est attestĂ©e l'existence, prĂšs des Allois, dans le village de LâAbbaye de lâabbaye des Allois qui lui donne son nom. Les religieuses quâelle accueillait Ă©tĂ© des bĂ©nĂ©dictines, suivant la rĂšgle de saint BenoĂźt. En 1750, manquant dâargent pour payer les rĂ©parations que lâabbaye nĂ©cessitĂ©e, elles quittĂšrent les Allois pour sâinstaller dans un bĂątiment de la CitĂ© Ă Limoges. La rue qui longeait ce bĂątiment, et abouti au sud sur le parvis de la cathĂ©drale de Limoges, s'appelle depuis la rue des Allois.
En 1790, l'Ă©vĂȘque fit distribuer aux paroisses sous sa tutelle les reliques de l'Ordre de Grandmont, dissous 18 ans plus tĂŽt. L'Ă©glise de La Geneytouse en reçut notamment de saint Ătienne de Muret, le fondateur de l'Ordre, et de deux de ses compagnons.
L'ancienne commune des Allois a été rattachée à celle de La Geneytouse par l'ordonnance du [27].
En 1882, en réparant l'église de La Geneytouse, on a trouvé derriÚre les boiseries du maßtre-autel, l'autel d'origine de style roman.
La commune dispose de deux monuments aux morts[28], l'un devant l'Ă©glise et l'autre Ă l'intĂ©rieur. Les deux ne donnent pas la mĂȘme liste de noms. En effet, en ,le presbytĂšre est vendu pour financer le monument aux morts. Le , le conseil municipal dĂ©cide de faire figurer sur celui-ci,
- les noms des militaires morts pour la France, dont la transcription a été faite sur les registres d'état civil de la commune
- les noms des militaires morts pour faits de guerre, dont la transcription a été faite sur les registres d'état civil de la commune et dont les veuves pensionnées résident dans la commune
- les noms des morts pour la France, dont les familles fourniront un certificat attestant qu'ils ne sont inscrits sur aucun monument.
Un des conseillers municipaux exige, lui, que ce monument porte les noms de tous ceux proposĂ©s par les familles. La polĂ©mique Ă©clate, au niveau national, quand le journal royaliste L'Action Française et Agricole publie, le , un article oĂč il attaque les « Ă©diles rouges de La Geneytouse ». Le journal rĂ©gional, Le Populaire du Centre, rĂ©pond Ă ses attaques. Le problĂšme c'est donc finalement rĂ©glĂ©s par la crĂ©ation de ces deux monuments.
Politique et administration
Jumelage
La commune de La Geneytouse et celles dâEybouleuf, de RoyĂšres et de Saint-Denis-des-Murs rĂ©unies au sein de lâassociation de jumelage « Noblat Aigues vives », viennent de signĂ©es, le , un serment de jumelage avec Sant'Agata sul Santerno une commune italienne dâĂmilie-Romagne.
DĂ©mographie
Entre 1821 et 1831, l'ancienne commune des Allois ayant Ă©tĂ© rattachĂ©e Ă la commune de La Geneytouse, la population de cette commune passe de 563 habitants Ă 800. La nouvelle commune de La Geneytouse atteint son maximum de population, 1158 habitants, en 1891. Elle atteint son minimum depuis cette unification en 1968 avec seulement 608 habitants, soit une baise de 47,5 % de sa population en 77 ans. DĂšs le recensement suivant elle commence une remontĂ©e de son nombre d'habitants qui lui donne, en 2011, une population supĂ©rieure de celle de 1946 avec 817 habitants, contre 793 Ă l'Ă©poque.L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[33].
En 2020, la commune comptait 979 habitants[Note 9], en augmentation de 11,89 % par rapport Ă 2014 (Haute-Vienne : â1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
La commune Ă la particularitĂ© de disposer deux villages au mĂȘme nom, Bourdelas, situĂ©s Ă environ 900 m l'un de l'autre.
- Chùteau de Puy Joubert - XVIIe siÚcle, résidence de la famille Lajoumard de Bellabre
- ChĂąteau du Puy Faucher - XIXe siĂšcle
- ChĂąteau du Mas-le-Seuvre - XVIIIe siĂšcle
- Ăglise le l'Assomption-de-la-Saint-Vierge, l'Ă©glise paroissiale de la Geneytouse, XIe siĂšcle remaniĂ©e plusieurs fois jusqu'au XXe siĂšcle. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[36].
- les ruines de l'abbaye des Allois[37]
- la plus petite BibliothÚque de France[38] datant des années 1990.
- salle de concert : plan de culture qui accueille de nombreux artistes[39].
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le )
- Carte IGN sur GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Les maires de la commune » (consulté le ).
- Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise paroissiale Assomption-de la-Vierge », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Mérimée : Abbaye de Bénédictines Notre-Dame, Saint-Laurent, Sainte-Victoire », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Photo », sur www.jpr-photo-limoges.com (consulté le ).
- « La Maison du Berger - La Geneytouse », sur www.la-grange-cie.com (consulté le )