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La Geneytouse

La Geneytouse (La Janestosa en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

La Geneytouse
La Geneytouse
L'Ă©glise.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes de Noblat
Maire
Mandat
Alain Faucher
2020-2026
Code postal 87400
Code commune 87070
DĂ©mographie
Gentilé Geneytousois
Population
municipale
979 hab. (2020 en augmentation de 11,89 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 51 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 47â€Č 09″ nord, 1° 28â€Č 05″ est
Altitude Min. 335 m
Max. 484 m
Superficie 19,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-LĂ©onard-de-Noblat
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Liens
Site web lageneytouse.fr

    Ses habitants sont appelés les Geneytousois[1].

    GĂ©ographie

    Situation de la commune de La Geneytouse en Haute-Vienne.

    Localisation

    La Geneytouse est situĂ©e sur la route dĂ©partementale 979 (D 979) entre Limoges et Eymoutiers. Les Allois, ancienne commune de la Haute-Vienne, situĂ©s un peu plus prĂšs de Limoges sur la mĂȘme D 979, appartient Ă  la commune depuis son rattachement Ă  La Geneytouse en 1829.

    Relief

    La commune est divisée en deux parties par une colline traversant la commune d'est en ouest et sur laquelle se trouve la D 979. Au nord les ruisseaux descendent vers la Vienne et au sud vers la Briance.

    Hydrographie

    La commune n'est traversée par aucune riviÚre importante et, comme indiqué ci-dessus fait intégralement partie du bassin versant de la Vienne, soit directement, sous par un de ses affluents, la Briance.

    Voies routiĂšre

    • la D 979 (entre Limoges et Eymoutiers, et mĂȘme au-delĂ ). Ce secteur a connu plusieurs modifications de statut. Ainsi en 1933, comme plus de 50 000 km de routes en France Ă  la mĂȘme pĂ©riode, cette route devient une nationale, la N 679 qui va de Limoges Ă  Saint-Flour (Cantal) et redevient dĂ©partementales dans les annĂ©es 1970, comme la quasi-totalitĂ© des nationales crĂ©Ă©es dans les annĂ©es 1930, le .
    • la D 7 B qui relie Saint-LĂ©onard-de-Noblat au dĂ©partement de la CorrĂšze via Saint-Germain-les-Belles et Meuzac. C'est le trajet d'une des variantes de la via Lemovicensis (le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle qui traverse le Limousin) Ă  partir de Saint-LĂ©onard-de-Noblat, variante qui permet la jonction, en passant par Rocamadour, de la via Podiensis (qui relie Le Puy-en-Velay Ă  Saint-Jacques).
    • La D 12 A qui relie la D 979 Ă  la D 12 qui, elle-mĂȘme, va de la D 979 Ă  quelques kilomĂštres Ă  l'ouest de la commune Ă  la CorrĂšze, via Saint-Paul et Linards
    • la D 19 qui relie Saint-LĂ©onard-de-Noblat Ă  Saint-Yrieix-la-Perche. Un diverticule la D 19 A, relie le bourg voisin d'Eybouleuf Ă  celui de la commune.
    • la D 65 qui relie Saint-LĂ©onard-de-Noblat Ă  la commune du Vigen.

    En plus des départementales La Geneytouse dispose de plusieurs vicinales.

    Voies ferroviaires

    La commune n'est traversée par aucune ligne ferroviaire, mais la ligne du Palais à Eygurande-Merlines, permettant la jonction de Limoges, Saint-Léonard-de-Noblat, Eymoutiers et, en CorrÚze de Meymac et Ussel est accessible, via la gare de Saint-Léonard-de-Noblat. La gare importante la plus proche est celle de Limoges-Bénédictins à 31 km par cette ligne.

    Transports aériens

    L’aĂ©roport le plus proche est celui de Limoges-Bellegarde Ă  24 km Ă  vol d'oiseau Ă  l'ouest - nord-ouest.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 119 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-LĂ©onard-de-Noblat », sur la commune de Saint-LĂ©onard-de-Noblat, mise en service en 1997[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 092,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et Ă  18 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  11,4 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    La Geneytouse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (80,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (58,5 %), forĂȘts (19,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,2 %), zones urbanisĂ©es (3,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de La Geneytouse est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Geneytouse.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[24]. 14,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de La Geneytouse est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[26].

    Histoire

    Anciennes communes des Allois & La Geneytouse
    Carte des anciennes communes des Allois et de La Geneytouse.

    En 1140, est attestĂ©e l'existence, prĂšs des Allois, dans le village de L’Abbaye de l’abbaye des Allois qui lui donne son nom. Les religieuses qu’elle accueillait Ă©tĂ© des bĂ©nĂ©dictines, suivant la rĂšgle de saint BenoĂźt. En 1750, manquant d’argent pour payer les rĂ©parations que l’abbaye nĂ©cessitĂ©e, elles quittĂšrent les Allois pour s’installer dans un bĂątiment de la CitĂ© Ă  Limoges. La rue qui longeait ce bĂątiment, et abouti au sud sur le parvis de la cathĂ©drale de Limoges, s'appelle depuis la rue des Allois.

    En 1790, l'Ă©vĂȘque fit distribuer aux paroisses sous sa tutelle les reliques de l'Ordre de Grandmont, dissous 18 ans plus tĂŽt. L'Ă©glise de La Geneytouse en reçut notamment de saint Étienne de Muret, le fondateur de l'Ordre, et de deux de ses compagnons.

    L'ancienne commune des Allois a été rattachée à celle de La Geneytouse par l'ordonnance du [27].

    En 1882, en réparant l'église de La Geneytouse, on a trouvé derriÚre les boiseries du maßtre-autel, l'autel d'origine de style roman.

    La commune dispose de deux monuments aux morts[28], l'un devant l'Ă©glise et l'autre Ă  l'intĂ©rieur. Les deux ne donnent pas la mĂȘme liste de noms. En effet, en ,le presbytĂšre est vendu pour financer le monument aux morts. Le , le conseil municipal dĂ©cide de faire figurer sur celui-ci,

    • les noms des militaires morts pour la France, dont la transcription a Ă©tĂ© faite sur les registres d'Ă©tat civil de la commune
    • les noms des militaires morts pour faits de guerre, dont la transcription a Ă©tĂ© faite sur les registres d'Ă©tat civil de la commune et dont les veuves pensionnĂ©es rĂ©sident dans la commune
    • les noms des morts pour la France, dont les familles fourniront un certificat attestant qu'ils ne sont inscrits sur aucun monument.

    Un des conseillers municipaux exige, lui, que ce monument porte les noms de tous ceux proposĂ©s par les familles. La polĂ©mique Ă©clate, au niveau national, quand le journal royaliste L'Action Française et Agricole publie, le , un article oĂč il attaque les « Ă©diles rouges de La Geneytouse ». Le journal rĂ©gional, Le Populaire du Centre, rĂ©pond Ă  ses attaques. Le problĂšme c'est donc finalement rĂ©glĂ©s par la crĂ©ation de ces deux monuments.

    Toponymie

    En 1793, l'ancien nom de la commune[29] Ă©tait Lageneytouse.

    Elle devient La Geneytouze en 1801, avec un z.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[30]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 juin 1995 André Lacorre PS Enseignant
    juin 1995 avril 2015
    (démission)
    Jean-Claude Leblois[31] PS Ancien principal de collĂšge
    Conseiller général puis départemental du canton de Saint-Léonard-de-Noblat (depuis 2004)
    Président du conseil départemental depuis 2015
    9 avril 2015 En cours Alain Faucher PS

    Jumelage

    La commune de La Geneytouse et celles d’Eybouleuf, de RoyĂšres et de Saint-Denis-des-Murs rĂ©unies au sein de l’association de jumelage « Noblat Aigues vives », viennent de signĂ©es, le , un serment de jumelage avec Sant'Agata sul Santerno une commune italienne d’Émilie-Romagne.

    DĂ©mographie

    Entre 1821 et 1831, l'ancienne commune des Allois ayant Ă©tĂ© rattachĂ©e Ă  la commune de La Geneytouse, la population de cette commune passe de 563 habitants Ă  800. La nouvelle commune de La Geneytouse atteint son maximum de population, 1158 habitants, en 1891. Elle atteint son minimum depuis cette unification en 1968 avec seulement 608 habitants, soit une baise de 47,5 % de sa population en 77 ans. DĂšs le recensement suivant elle commence une remontĂ©e de son nombre d'habitants qui lui donne, en 2011, une population supĂ©rieure de celle de 1946 avec 817 habitants, contre 793 Ă  l'Ă©poque.L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[33].

    En 2020, la commune comptait 979 habitants[Note 9], en augmentation de 11,89 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    550547680563800810794959931
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8979311 0271 0011 0341 0411 0731 1581 129
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1371 0511 026944914868843793715
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    724602606634740738796817942
    2020 - - - - - - - -
    979--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    La commune Ă  la particularitĂ© de disposer deux villages au mĂȘme nom, Bourdelas, situĂ©s Ă  environ 900 m l'un de l'autre.

    • la plus petite BibliothĂšque de France[38] datant des annĂ©es 1990.
    • salle de concert : plan de culture qui accueille de nombreux artistes[39].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le )
    2. Carte IGN sur GĂ©oportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Léonard-de-Noblat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre La Geneytouse et Saint-Léonard-de-Noblat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Léonard-de-Noblat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre La Geneytouse et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de La Geneytouse », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    27. Abbé André Lecler, Dictionnaire historique et géographique de la Haute-Vienne, Limoges, Réimpression en un seul vol., Marseille, Laffitte, , 912 p., p. 356 à 359
    28. Jean-François Julien, La Haute-Vienne secrĂšte – 100 commune Ă  dĂ©couvrir (volume 2), Limoges, Hors sĂ©rie du Populaire du Centre, , 144 p, P. 46 et 47
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Geneytouse », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
    30. « Les maires de la commune » (consulté le ).
    31. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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