Saint-Germain-les-Belles
Saint-Germain-les-Belles est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Germain-les-Belles | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Limoges | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Briance Sud Haute-Vienne | ||||
Maire Mandat |
Marc Ditlecadet 2020-2026 |
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Code postal | 87380 | ||||
Code commune | 87146 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Germinois | ||||
Population municipale |
1 152 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 31 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 36âČ 56âł nord, 1° 29âČ 44âł est | ||||
Altitude | Min. 315 m Max. 489 m |
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Superficie | 37,28 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Eymoutiers | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Vienne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune est limitrophe du département de la CorrÚze.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et en service de 1997 Ă 2014 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[8]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,9 | 0,8 | 2,9 | 5 | 8,8 | 11,8 | 12,8 | 13 | 10 | 8 | 3,4 | 0,8 | 6,5 |
Température moyenne (°C) | 4,1 | 4,8 | 7,6 | 10,1 | 14,2 | 17,6 | 18,8 | 18,9 | 15,5 | 12,4 | 6,8 | 4,1 | 11,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,3 | 8,7 | 12,3 | 15,2 | 19,6 | 23,4 | 24,7 | 24,9 | 21,1 | 16,8 | 10,3 | 7,4 | 16 |
Record de froid (°C) date du record |
â12,1 12.01.99 |
â17,2 06.02.12 |
â13 01.03.05 |
â4,1 08.04.03 |
â1,7 06.05.02 |
2,9 04.06.01 |
4,9 17.07.00 |
3,2 29.08.98 |
â0,1 25.09.02 |
â5,5 30.10.97 |
â10,8 22.11.98 |
â12,8 24.12.01 |
â17,2 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,4 05.01.99 |
22 15.02.98 |
24,6 14.03.12 |
28,4 30.04.05 |
30,6 30.05.01 |
36,5 22.06.03 |
35,1 13.07.03 |
38,3 12.08.03 |
32,9 03.09.05 |
27,6 02.10.11 |
21,1 02.11.11 |
17,1 09.12.13 |
38,3 2003 |
Précipitations (mm) | 96,9 | 74,2 | 91,9 | 117 | 104,1 | 94,3 | 83,8 | 79,8 | 76,8 | 94,6 | 123,5 | 101,4 | 1 138,3 |
Urbanisme
Typologie
Saint-Germain-les-Belles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [9] - [10] - [11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (76,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (67,7 %), forĂȘts (16 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,6 %), zones urbanisĂ©es (2,7 %)[14].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Germain-les-Belles est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[16].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[17]. 79,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 6] - [18].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[15].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Germain-les-Belles est classĂ©e en zone 2, Ă savoir zone Ă potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[19].
Toponymie
Une histoire populaire locale prétend qu'avant de s'appeler Saint-Germain-les-Belles, le village avait été baptisé Saint-Germain-les-Belles-Filles[20] en raison de l'accueil chaleureux du roi Henri IV par les serveuses de l'hÎtel de la Boule d'Or ou du manoir de Gourgauderie. Plus vraisemblablement, le nom actuel proviendrait de l'occitan Saint-Germain-la-Beylie.
Durant la RĂ©volution, la commune porte le nom de Mont-les-Belles[21].
En occitan, le nom en est Sent German las Belas.
Ses habitants sont appelés les Saint-Germinois[22].
Histoire
Le lieu-dit Camp de CĂ©sar dans le sud de la commune correspond Ă une mine d'or exploitĂ©e Ă l'Ă©poque de l'indĂ©pendance gauloise. Le toponyme lui a Ă©tĂ© attribuĂ© au XIXe siĂšcle, en raison de la taille des haldes assimilĂ©es Ă des retranchements militaires[23]. Deux nĂ©cropoles du Premier Ăge du Fer ont Ă©galement Ă©tĂ© retrouvĂ©es Ă proximitĂ©[24].
Le bourg castral d'origine médiéval est mentionné, dÚs le XIe siÚcle, dans le cartulaire d'Uzerche.
En pleine guerre de Cent Ans, le cardinal Roger, frĂšre du pape limousin ClĂ©ment VI, meurt et demande dans son testament lâĂ©dification dâune collĂ©giale Ă Saint-Germain-les-Belles dans laquelle il puisse ĂȘtre enseveli. Cette collĂ©giale Saint-Germain se bĂątit donc Ă lâemplacement dâun ancien Ă©difice roman.
En 1204, lâĂ©vĂȘque de Limoges vint consacrer dans lâancienne Ă©glise romane les reliques de Saint Germain.
Vers 1350, la seigneurie de Saint Germain dĂ©pendant du vicomte de Limoges dĂ©sargentĂ© est vendue aux Roger, riches seigneurs du Bas-Limousin dont la famille a donnĂ© les papes dâAvignon ClĂ©ment VI et GrĂ©goire XI. Le cardinal Hugues Roger, frĂšre de ClĂ©ment VI, avait dans son testament Ă©mis le vĆu que soit Ă©rigĂ© Ă Saint Germain une Ă©glise collĂ©giale servie par treize chanoines, dont le doyen aurait rang de seigneur. Ă sa mort en 1364, le cardinal Pierre Roger son neveu, futur GrĂ©goire XI, exĂ©cuteur testamentaire, fit bĂątir cette Ă©glise, Ă lâemplacement de lâancienne, en pleine guerre de Cent Ans, ce qui explique son style fortifiĂ© avec chemin de ronde sous les toits qui dessert crĂ©neaux et mĂąchicoulis. Elle fut ouverte au culte en 1381. (In fiche signalĂ©tique dans lâĂ©glise) |
Selon le Nobiliaire du diocĂšse et de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Limoges, tome fĂ©vrier rĂ©digĂ© par l'abbĂ© Joseph Nadaud : « Le noble Jordain du Breuil, chevalier, fit, le (parfois qualifiĂ© de camp de, Ă Maymac, son testament signĂ© Chardogne. il veut y ĂȘtre inhumĂ© dans l'Ă©glise du chapĂźtre de Saint-Germain. il avait Ă©posĂ© N..., dont il eut un fils unique, nommĂ© Jean. »
Saint Germain-les-Belles a abritĂ© un camp d'internement, (parfois qualifiĂ© de camp de concentration) entre 1940 et 1941[25]. Il n'en reste aucune trace matĂ©rielle aujourd'hui, mais une stĂšle a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e tout prĂšs de l'endroit oĂč le camp se trouvait.
Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[28].
En 2020, la commune comptait 1 152 habitants[Note 7], en diminution de 3,11 % par rapport Ă 2014 (Haute-Vienne : â1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Saint Germain-les Belles-est connue pour son Ă©glise fortifiĂ©e datant du XIVe siĂšcle. L'Ă©glise Saint-Germain de Saint-Germain-les-Belles a Ă©tĂ© construite en pleine guerre de Cent Ans avec de solides fortifications. L'Ă©glise est la plus ancienne des Ă©glises fortifiĂ©es du dĂ©partement et son systĂšme de dĂ©fense est comparable en plusieurs points Ă celui du palais des papes d'Avignon car cette Ă©glise fut Ă©rigĂ©e par le cardinal Hugues Roger, frĂšre du pape limousin ClĂ©ment VI. Deux Ă©tages dĂ©fensifs sont reliĂ©s par un escalier Ă vis : au premier, lâancienne salle capitulaire et sa grande fenĂȘtre de guetteur ; au second, les combles au-dessus de la nef et du chĆur amĂ©nagĂ©s en salle dâarmes, refuge. Un chemin de ronde, faisant le tour du chevet, est percĂ© de baies de tir, dâarchĂšres et de mĂąchicoulis. L'Ă©difice a Ă©tĂ© inscrit au titre des monuments historique en 1926[30].
- Gare de Saint-Germain-les-Belles.
- AuvézÚre : elle prend sa source vers 420 mÚtres d'altitude dans le Massif central en région Limousin, sur la commune de Saint-Germain-les-Belles, cinq kilomÚtres au sud du bourg, prÚs du lieu-dit le Camp de César, à proximité de l'autoroute A20.
- De l'ancien chùteau de Saint Germain-les-Belles, il ne reste que le donjon carré du XIIe siÚcle situé prÚs de l'église. Cette tour, dite « des Barres », servit de prison sous la Révolution française. Le donjon est du XIIe siÚcle.
- La fontaine de Pierre Brune et le lavoir.
- Le viaduc qui porte la D31, réalisé en 1860 avec une hauteur 48 mÚtres.
- Le site Montréal, autour du plan d'eau, est une base de loisirs pour tous.
- Maison de la Gourgauderie, maison datant du XVIIIÚme siÚcle. Elle à notamment appartenu au général Souham, comte d'Empire.
Personnalités liées à la commune
- Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre ont tous deux séjourné à Saint-Germain-les-Belles[31].
- Pierre Leyssenne, mathématicien, pédagogue et promoteur de l'enseignement laïque, y est né en 1827.
- Michel Baury, écrivain, poÚte et critique littéraire, y a passé son enfance dans les années 1950 et 1960.
- Joseph Souham, militaire français, comte d'Empire. Son nom est écris sur la 5Úme colonne de l'Arc de Triomphe.
- Alkpote, rappeur et poĂšte. Câest son village natal avant que ce dernier dĂ©mĂ©nage dans le 10eme arrondissement de Paris.
- Pierre Woodman, cinéaste contemporain et auteur de littérature féministe. Y a passé le plus clair de son enfance
HĂ©raldique
Blason | De gueules au clocher du lieu d'argent mouvant de la pointe, accostĂ© des lettres S et G du mĂȘme ; au franc canton d'argent Ă la bande d'azur accompagnĂ©e de six roses de gueules ordonnĂ©es en orle. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | Alias du blason de Saint-Germain-les-Belles |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Maison de la Gourgauderie (culture.gouv.fr)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sur GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 87146002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Germain-les-Belles », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
- Sur l'acte de décÚs de Léonard Bleignie, le 5 décembre 1830, à Firbeix (Dordogne), il est dit natif de Saint Germain-les-Belles-Filles (Haute Vienne).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
- Béatrice Cauuet, L'Or des Celtes du Limousin, Limoges : Culture et patrimoine en Limousin, coll. Archéologie, 2004, (ISBN 2-911167-37-6), p. 22.
- Cauuet, op. cit., p. 25.
- Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise Saint-Germain », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Jean-Louis Jeannelle, « Note sur lâĂ©tat poĂ©tique chez Sartre et Beauvoir », Fabula-LhT, n° 18, « Un je-ne-sais-quoi de âpoĂ©tiqueâ », avril 2017 [lire en ligne] page consultĂ©e le 04 octobre 2019.