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Saint-Germain-les-Belles

Saint-Germain-les-Belles est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Germain-les-Belles
Saint-Germain-les-Belles
Blason de Saint-Germain-les-Belles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Briance Sud Haute-Vienne
Maire
Mandat
Marc Ditlecadet
2020-2026
Code postal 87380
Code commune 87146
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Germinois
Population
municipale
1 152 hab. (2020 en diminution de 3,11 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 31 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 36â€Č 56″ nord, 1° 29â€Č 44″ est
Altitude Min. 315 m
Max. 489 m
Superficie 37,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Eymoutiers
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Germain-les-Belles

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est limitrophe du département de la CorrÚze.

    Situation de la commune de Saint-Germain-les-Belles en Haute-Vienne.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 184 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et en service de 1997 Ă  2014 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[8]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records ST GERMAIN BELL (87) - alt : 412 m 45° 36â€Č 42″ N, 1° 29â€Č 54″ E
    Statistiques établies sur la période 1997-2010 - Records établis sur la période du 01-04-1997 au 05-01-2014
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,9 0,8 2,9 5 8,8 11,8 12,8 13 10 8 3,4 0,8 6,5
    Température moyenne (°C) 4,1 4,8 7,6 10,1 14,2 17,6 18,8 18,9 15,5 12,4 6,8 4,1 11,3
    Température maximale moyenne (°C) 7,3 8,7 12,3 15,2 19,6 23,4 24,7 24,9 21,1 16,8 10,3 7,4 16
    Record de froid (°C)
    date du record
    −12,1
    12.01.99
    −17,2
    06.02.12
    −13
    01.03.05
    −4,1
    08.04.03
    −1,7
    06.05.02
    2,9
    04.06.01
    4,9
    17.07.00
    3,2
    29.08.98
    −0,1
    25.09.02
    −5,5
    30.10.97
    −10,8
    22.11.98
    −12,8
    24.12.01
    −17,2
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    17,4
    05.01.99
    22
    15.02.98
    24,6
    14.03.12
    28,4
    30.04.05
    30,6
    30.05.01
    36,5
    22.06.03
    35,1
    13.07.03
    38,3
    12.08.03
    32,9
    03.09.05
    27,6
    02.10.11
    21,1
    02.11.11
    17,1
    09.12.13
    38,3
    2003
    PrĂ©cipitations (mm) 96,9 74,2 91,9 117 104,1 94,3 83,8 79,8 76,8 94,6 123,5 101,4 1 138,3
    Source : « Fiche 87146002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Germain-les-Belles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [9] - [10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (76,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (67,7 %), forĂȘts (16 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,6 %), zones urbanisĂ©es (2,7 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Germain-les-Belles est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[16].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Germain-les-Belles.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[17]. 79,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 6] - [18].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Germain-les-Belles est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[19].

    Toponymie

    Une histoire populaire locale prétend qu'avant de s'appeler Saint-Germain-les-Belles, le village avait été baptisé Saint-Germain-les-Belles-Filles[20] en raison de l'accueil chaleureux du roi Henri IV par les serveuses de l'hÎtel de la Boule d'Or ou du manoir de Gourgauderie. Plus vraisemblablement, le nom actuel proviendrait de l'occitan Saint-Germain-la-Beylie.

    Durant la RĂ©volution, la commune porte le nom de Mont-les-Belles[21].

    En occitan, le nom en est Sent German las Belas.

    Ses habitants sont appelés les Saint-Germinois[22].

    Histoire

    Le lieu-dit Camp de CĂ©sar dans le sud de la commune correspond Ă  une mine d'or exploitĂ©e Ă  l'Ă©poque de l'indĂ©pendance gauloise. Le toponyme lui a Ă©tĂ© attribuĂ© au XIXe siĂšcle, en raison de la taille des haldes assimilĂ©es Ă  des retranchements militaires[23]. Deux nĂ©cropoles du Premier Âge du Fer ont Ă©galement Ă©tĂ© retrouvĂ©es Ă  proximitĂ©[24].

    Le bourg castral d'origine médiéval est mentionné, dÚs le XIe siÚcle, dans le cartulaire d'Uzerche.

    En pleine guerre de Cent Ans, le cardinal Roger, frĂšre du pape limousin ClĂ©ment VI, meurt et demande dans son testament l’édification d’une collĂ©giale Ă  Saint-Germain-les-Belles dans laquelle il puisse ĂȘtre enseveli. Cette collĂ©giale Saint-Germain se bĂątit donc Ă  l’emplacement d’un ancien Ă©difice roman.

    En 1204, l’évĂȘque de Limoges vint consacrer dans l’ancienne Ă©glise romane les reliques de Saint Germain.

    Vers 1350, la seigneurie de Saint Germain dĂ©pendant du vicomte de Limoges dĂ©sargentĂ© est vendue aux Roger, riches seigneurs du Bas-Limousin dont la famille a donnĂ© les papes d’Avignon ClĂ©ment VI et GrĂ©goire XI.

    Le cardinal Hugues Roger, frĂšre de ClĂ©ment VI, avait dans son testament Ă©mis le vƓu que soit Ă©rigĂ© Ă  Saint Germain une Ă©glise collĂ©giale servie par treize chanoines, dont le doyen aurait rang de seigneur. À sa mort en 1364, le cardinal Pierre Roger son neveu, futur GrĂ©goire XI, exĂ©cuteur testamentaire, fit bĂątir cette Ă©glise, Ă  l’emplacement de l’ancienne, en pleine guerre de Cent Ans, ce qui explique son style fortifiĂ© avec chemin de ronde sous les toits qui dessert crĂ©neaux et mĂąchicoulis.

    Elle fut ouverte au culte en 1381.

    (In fiche signalĂ©tique dans l’église)

    Selon le Nobiliaire du diocĂšse et de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Limoges, tome fĂ©vrier rĂ©digĂ© par l'abbĂ© Joseph Nadaud : « Le noble Jordain du Breuil, chevalier, fit, le (parfois qualifiĂ© de camp de, Ă  Maymac, son testament signĂ© Chardogne. il veut y ĂȘtre inhumĂ© dans l'Ă©glise du chapĂźtre de Saint-Germain. il avait Ă©posĂ© N..., dont il eut un fils unique, nommĂ© Jean. »

    Saint Germain-les-Belles a abritĂ© un camp d'internement, (parfois qualifiĂ© de camp de concentration) entre 1940 et 1941[25]. Il n'en reste aucune trace matĂ©rielle aujourd'hui, mais une stĂšle a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e tout prĂšs de l'endroit oĂč le camp se trouvait.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours Marc Ditlecadet[26] DVG Médecin généraliste
    Conseiller général (1985-2015)
    Président de la Communauté de communes

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[28].

    En 2020, la commune comptait 1 152 habitants[Note 7], en diminution de 3,11 % par rapport Ă  2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 7352 0152 2632 2412 2512 2832 4012 4002 457
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 1882 1282 2012 1382 1242 1782 2672 5982 260
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1922 2922 1472 0461 8801 9111 8331 7831 623
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 6261 5241 4251 2551 0791 1121 1411 1481 187
    2018 2020 - - - - - - -
    1 1581 152-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Saint Germain-les Belles-est connue pour son Ă©glise fortifiĂ©e datant du XIVe siĂšcle. L'Ă©glise Saint-Germain de Saint-Germain-les-Belles a Ă©tĂ© construite en pleine guerre de Cent Ans avec de solides fortifications. L'Ă©glise est la plus ancienne des Ă©glises fortifiĂ©es du dĂ©partement et son systĂšme de dĂ©fense est comparable en plusieurs points Ă  celui du palais des papes d'Avignon car cette Ă©glise fut Ă©rigĂ©e par le cardinal Hugues Roger, frĂšre du pape limousin ClĂ©ment VI. Deux Ă©tages dĂ©fensifs sont reliĂ©s par un escalier Ă  vis : au premier, l’ancienne salle capitulaire et sa grande fenĂȘtre de guetteur ; au second, les combles au-dessus de la nef et du chƓur amĂ©nagĂ©s en salle d’armes, refuge. Un chemin de ronde, faisant le tour du chevet, est percĂ© de baies de tir, d’archĂšres et de mĂąchicoulis. L'Ă©difice a Ă©tĂ© inscrit au titre des monuments historique en 1926[30].
    • Gare de Saint-Germain-les-Belles.
    • AuvĂ©zĂšre : elle prend sa source vers 420 mĂštres d'altitude dans le Massif central en rĂ©gion Limousin, sur la commune de Saint-Germain-les-Belles, cinq kilomĂštres au sud du bourg, prĂšs du lieu-dit le Camp de CĂ©sar, Ă  proximitĂ© de l'autoroute A20.
    • De l'ancien chĂąteau de Saint Germain-les-Belles, il ne reste que le donjon carrĂ© du XIIe siĂšcle situĂ© prĂšs de l'Ă©glise. Cette tour, dite « des Barres Â», servit de prison sous la RĂ©volution française. Le donjon est du XIIe siĂšcle.
    • La fontaine de Pierre Brune et le lavoir.
    • Le viaduc qui porte la D31, rĂ©alisĂ© en 1860 avec une hauteur 48 mĂštres.
    • Le site MontrĂ©al, autour du plan d'eau, est une base de loisirs pour tous.
    • Maison de la Gourgauderie, maison datant du XVIIIĂšme siĂšcle. Elle Ă  notamment appartenu au gĂ©nĂ©ral Souham, comte d'Empire.

    Personnalités liées à la commune

    • Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre ont tous deux sĂ©journĂ© Ă  Saint-Germain-les-Belles[31].
    • Pierre Leyssenne, mathĂ©maticien, pĂ©dagogue et promoteur de l'enseignement laĂŻque, y est nĂ© en 1827.
    • Michel Baury, Ă©crivain, poĂšte et critique littĂ©raire, y a passĂ© son enfance dans les annĂ©es 1950 et 1960.
    • Joseph Souham, militaire français, comte d'Empire. Son nom est Ă©cris sur la 5Ăšme colonne de l'Arc de Triomphe.
    • Alkpote, rappeur et poĂšte. C’est son village natal avant que ce dernier dĂ©mĂ©nage dans le 10eme arrondissement de Paris.
    • Pierre Woodman, cinĂ©aste contemporain et auteur de littĂ©rature fĂ©ministe. Y a passĂ© le plus clair de son enfance

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Germain-les-Belles Blason
    De gueules au clocher du lieu d'argent mouvant de la pointe, accostĂ© des lettres S et G du mĂȘme ; au franc canton d'argent Ă  la bande d'azur accompagnĂ©e de six roses de gueules ordonnĂ©es en orle.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Saint-Germain-les-Belles
    Alias du blason de Saint-Germain-les-Belles
    D'argent Ă  la barre d'azur.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sur GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Fiche du Poste 87146002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
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