La Bruffière
La Bruffière est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.
La Bruffière | |||||
La Bruffière vue du ciel. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Vendée | ||||
Arrondissement | La Roche-sur-Yon | ||||
Intercommunalité | Terres de Montaigu, communauté d'agglomération | ||||
Maire Mandat |
Jean-Michel Bregeon 2020-2026 |
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Code postal | 85530 | ||||
Code commune | 85039 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bruffiérois | ||||
Population municipale |
4 074 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 100 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 00′ 50″ nord, 1° 11′ 47″ ouest | ||||
Altitude | 75 m Min. 28 m Max. 103 m |
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Superficie | 40,66 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | La Bruffière (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Montaigu-Vendée (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Mortagne-sur-Sèvre | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Avant la création des départements en 1789, La Bruffière faisait partie des marches communes à la Bretagne et au Poitou sur le plan temporel, et de la Bretagne (diocèse de Nantes) sur le plan spirituel.
Ses habitants sont appelés Bruffièriens et Bruffièriennes.
Géographie
Localisation
Le territoire municipal de La Bruffière s’étend sur 4 066 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 75 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 35 et 77 mètres[1] - [2].
La commune de La Bruffière se situe au croisement des départements de la Vendée, de Maine-et-Loire et de la Loire-Atlantique. C'est au lieu-dit des Trois-Provinces, à 3 km du bourg, que les anciennes provinces de la Bretagne, de l'Anjou et du Poitou se rejoignent.
La Bruffière est située à 47 km de Nantes, 30 km de Cholet et 54 km de La Roche-sur-Yon. La commune s'étend sur 4 044 ha de bocage au nord-est de la Vendée. Elle est bordée par la Sèvre Nantaise, rivière qui se jette dans la Loire à Nantes.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
La Bruffière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Bruffière, une unité urbaine monocommunale[6] de 3 943 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montaigu-Vendée, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,1 %), prairies (19,9 %), zones urbanisées (3,9 %), forêts (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Sous le nom de « Brefer » apparaît la première mention du bourg dans une charte en 1287.
En poitevin, la commune est appelée La Brfére[13].
Le dialecte local est traditionnellement de langue d'oil (influence du poitevin, gallo et angevin).
Histoire
Durant le haut Moyen Âge d'incessantes querelles opposent Bretons, Francs et Wisigoths. Elles aboutissent, en 983, à la création de zones « tampons » : Marches Bretagne-Poitou. Entre Bretagne et Poitou, les hautes marches communes sont constituées de Cugand, Boussay, Gétigné et la Bruffière, leur capitale jusqu'à la Révolution française de 1789[14].
En 1287, le village s'articule alors autour de la demeure, toujours présente, des « de Coucy ». Sur le linteau d'une de ses portes est gravé le blason des anciennes Marches communes. Un seigneur de la Bruffière de Coucy accompagne Gilles de Rais dans l'épopée de la Jeanne d'Arc.
Saint-Symphorien (à 4 km au sud du bourg), jadis lieu de pèlerinage et d'une foire importante, voit se développer un prieuré, administré par les moines de l'ordre de Saint Augustin de Geneston, où un hospice pour les pauvres y est annexé. Seul le portail d'entrée nous est parvenu après la Guerre de Vendée ; le hameau est en effet dévasté par les troupes de Kléber, au cours de la bataille des 5 et .
La Guerre de Vendée et les Colonnes infernales saignent cruellement la commune (3 000 habitants avant les événements, 726 seulement en 1826). Pendant le conflit, les habitants rejoignent l'armée vendéenne du Centre, sous les ordres de Sapinaud et Royand. En , le général Charrette est amené dans un traquenard au logis de "la Grange" (demeure du XVIe siècle), au nord du bourg, d'où il s'échappe après de lourdes pertes humaines.
La Bruffière est de nouveau éprouvée dans ses forces vives par les deux conflits mondiaux : 133 morts pendant la Première Guerre mondiale et 11 pendant la Seconde..
Depuis 1945, les performances de l'agriculture locale, le dynamisme de l'artisanat et de l'industrie, avec, notamment, le groupe Defontaine (leader mondial de la couronne automobile), et la richesse de la vie associative font de La Bruffière une ville dynam'ique.
Évènement
Le 7 mai 2023 a eu lieu Le Rallye des Bedas, une course de caisses à savon . Organisé par l'association Mil Bornes [15] par 9 Bedas (Ikik le trésoire, Cul le braman, Vitroc, Burno et Nyan les directoires de courese, Willmiam 220 volts, Vintence le régissoire, Jus de fesse dit "la flûte" et Louis Bodin .
Jamais un évènement n'aura réuni autant de personnes dans ville (selon Vitroc pas depuis les guerres de Vendée), d'après la gendarmerie 8000 spectateurs se sont déplacées pour assister à la course et aux concerts, l'association en espérait 2000. TV Vendée a consacré un reportage à l'événement qui restera gravé dans l'histoire de la ville où plus de 4000 litres de bière ont été bus pendant cette belle journée de pont de mai.
44 caisses à savon ont descendues la ville, de la rue de Nantes à la rue de la Mozelle. Une journée conclue par les concerts de Celkilt et Bonne Nuit (ex Origine Club).
Cet événement qui était au profit de l'association OSE et a permis de récolter une somme importante.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve depuis 1810 dans l'arrondissement de La Roche-sur-Yon du département de la Vendée. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la quatrième circonscription de la Vendée.
Après avoir été fugacement le chef-lieu du canton de La Bruffiere en 1793, la commune a été rattachée en 1801 au canton de Montaigu[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Mortagne-sur-Sèvre[17].
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes Terres-de-Montaigu, créée en 2002 et qui succédait au district de Montaigu créée en 1969.
Dans le cadre des prescriptions de la loi NOTRe du , le gouvernement élève à 15 000 habitants le seuil minimal des intercommunalités à fiscalité propre dans le but d’obtenir des territoires plus cohérents, adaptés aux « bassins de vie » et dotés d’une capacité de mutualisation plus importante, la petite communauté de communes du Canton-de-Rocheservière fusionne avec les Terres de Montaigu, formant le une nouvelle structure dénommée Terres-de-Montaigu, communauté de communes Montaigu-Rocheservière, dont La Bruffière est désormais membre.
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2020, la commune comptait 4 074 habitants[Note 3], en augmentation de 5,19 % par rapport à 2014 (Vendée : +4,62 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,9 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 981 hommes pour 1 991 femmes, soit un taux de 50,13 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie et industrie
L'entreprise Defontaine, spécialisée dans la fabrication de composants pour les industries aéronautique et automobile (149M € CA, 700 p.)[30], est installée sur la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château d'eau
- Au lieu-dit << Les Quatre Routes >>, se dressait l'un des plus hauts châteaux d'eau du monde. Prévu pour alimenter 72 communes, il s'élevait à 62 m. Sa cuve avait 30 m de profondeur pour un volume de 6 000 m3 et le diamètre de sa tour était de 19,50 m . Pendant sa construction cinq ouvriers décèdent lors d'un tragique accident. La construction se termine en 1960. À cette époque, le château d'eau de La Bruffière était le plus haut de France et le second plus haut d’Europe[31]. Il a été déconstruit en 2022.
- L'église
- L'actuelle église Sainte-Radegonde fut construite en 27 mois et achevée en avril 1891 sous la conduite de l'architecte nantais René Michel Menard (1843-1895). Elle fut en grande partie financée et érigée par la cardinal Richard, de Paris, possédant le château de l'Echasserie. Elle appartient au style néo-roman mais l'intérieur de l'édifice pencherait plus vers le roman-byzantin par le choix des matériaux et de leur agencement. Les voûtes du chœur sont particulièrement remarquables[32].
- Le premier seigneur connu de l'Echasserie, Guillaume Sauvage, cède ce domaine aux templiers, au début du XIIIe siècle. Ces derniers le revendent très vite aux Charbonneau qui l'occuperont pendant quinze dynasties, jusqu'en 1738. Ce château devient bientôt la résidence de Charles Serventeau, premier maire de la Bruffière, qui fut assassiné dans des circonstances obscures (probablement par les jeunes paysans de la commune exaspéré par le révolutionnaire qu'il était) le 11 mars 1793[34].
- Louis François Richard de la Vergne achète l'Echasserie et les dépendances en 1806. Son plus jeune fils, François Richard de La Vergne, reçoit la calotte de cardinal de Paris en 1889 par le pape Léon XIII. Il achève la construction du Sacré-Cœur de Montmartre. Par héritages successifs, uniquement par les femmes, le château devient la propriété de Jeanne de Quatrebarbes, épouse du marquis Guy du Rosel de Saint-Germain, propriétaire actuelle
- Le logis de La Grange
- En février 1796, Charette y soutient l'un de ses derniers combats. Alors qu'il s'y repose avec ses troupes, il manque de peu d'y être capturé. Protégé par son arrière-garde (qui sera anéantie dans la fusillade), il parvient à s'échapper par une porte dérobée.
- Les 3 monuments aux morts : celui de la commune, qui compte 139 noms, au cimetière du bourg, de la paroisse, à l'église Sainte-Radégonde où sont répertoriés 116 noms, dont les prêtres, et au cimetière de Saint-Symphorien, qui comporte 24 noms. Ces monuments commémorent les Morts pour la France de la Première Guerre mondiale, de la Seconde, de la Guerre d'Indochine et de la Guerre d'Algérie[35]
Personnalités liées à la commune
- Vincent Ansquer (1925-1987), maire de La Bruffière, conseiller général, député, président du conseil régional, membre du Parlement européen, fondateur du Prix national de l’art de Vivre, ministre du Commerce et de l’Artisanat de 1974 à 1976 sous le gouvernement Chirac puis ministre de la Qualité de la Vie de 1976 à 1977 sous le gouvernement Barre.
- Le cardinal François-Marie-Benjamin Richard de La Vergne (1819-1908), archevêque de Paris à partir de 1886. Il achève la construction du Sacré-Cœur de Montmartre et le consacre. Il reçoit la calotte de cardinal des mains du pape Léon XIII en 1889.
- L'abbé Hippolyte Boutin (1849-1901), prêtre, auteur d'ouvrages de piété et d'histoire locale.
- Le chanoine Georges Duret (1887-1943), opposant à l'État Français, appelé par certains « un martyr de la résistance », écrivain, poète, philosophe, critique d'art et homme d'Église[36].
Héraldique
Blasonnement :
D'azur aux trois macles d'or accompagnées de trois fleurs de lys du même mal ordonnées. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- La Bruffière sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de la Bruffière (85039) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Commune 19846 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
- « La Bruffière », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de La Bruffière », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montaigu-Vendée », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 68.
- Jean Ogée et A Marteville, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 1, Mollies, , 1520 p. (présentation en ligne), p. 400.
- « MilBornes - Accueil », sur milbornes-labruffiere.fr (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Commune de La Bruffière (85039) », Géographie administrative et d’étude (Code officiel géographique), sur https://www.insee.fr, (consulté le ).
- « Les maires de Bruffière (La) », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Archives de la Vendée, page de gauche
- « Pierre Théophile « Théophile » Plessy (1859-1951) », Aieux Morris (consulté le ).
- « Théophile Marie Marius « Théophile » Plessy (1892-1990) », Aieux Morris (consulté le ).
- « Le premier adjoint André Boudaud est tête de liste », Ouest France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire, Denis Moinet, ne souhaitait pas renouveler son mandat. (...) Actuellement à la retraite du secteur bancaire ou j'ai exercé plusieurs postes de direction d'agence, j'ai la disponibilité pour mener à bien ce nouvel engagement au service des autres. J'ai été élu au conseil municipal en 2008, avec la responsabilité de premier adjoint ».
- Réélu en 2008 : [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires en 2008
- « André Boudaud prend ses nouvelles fonctions de maire », Ouest France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le vote, sans surprise et à l'unanimité du conseil municipal, s'est déroulé vendredi, salle de l'Ehpad résidence l'Étoile du soir ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Bruffière (85039) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
- « Cinq entreprises vendéennes bénéficiaires du Fonds de modernisation automobile et aéronautique », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « PSS / Château d'eau de La Bruffière (La Bruffière, France) », sur www.pss-archi.eu (consulté le )
- « L'église Sainte-Radegonde », notice no PA85000027, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le Château de l'Échasserie », notice no PA00110061, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Généalogie de Charles André Augustin SERVANTEAU », sur Geneanet (consulté le )
- « Réunis, les anciens combattants commémorent l'année 1914 », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Bibliothèque historique », sur Les archives de la Vendée (consulté le )