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Jacques Brival

Jacques Brival, né le à Saint-Hilaire-Peyroux, en Corrèze, et mort le à Constance[1], dans le grand-duché de Bade, est un magistrat et un homme politique français.

Jacques Brival
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  66 ans)
Constance
Nationalité
Activité
Autres informations
Membre de
Jacques Brival
Illustration.
Fonctions
Député de la Corrèze
–
(1 an et 20 jours)
Gouvernement Assemblée législative
Député à la Convention nationale
–
(3 ans, 1 mois et 22 jours)
Député au Conseil des anciens
–
(2 ans, 5 mois et 28 jours)
Député au Conseil des Cinq-Cents
–
(1 an, 8 mois et 14 jours)
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Saint-Hilaire-Peyroux (Corrèze)
Date de décès
Lieu de décès Constance (Allemagne)
Nationalité Drapeau de la France Française
Parti politique Gauche
Profession Procureur général
Juge
Conseiller à la Cour impériale
députés de la Corrèze

Biographie

Avant la RĂ©volution

Issu d'une famille ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une ascension sociale grâce Ă  l'office royal de judicature, Jacques Brival est le fils de Joseph Brival, avocat du roi de 1733 Ă  1776, procureur du roi de 1761 Ă  1776, propriĂ©taire terrien aisĂ©, qui lui transmet Ă  sa mort un hĂ©ritage considĂ©rable, la cinquième fortune de la compagnie prĂ©sidiale en 1769[2]. Procureur du roi au bailliage de Tulle depuis 1776[3], Jacques Brival fait en 1784 un mariage modeste avec Eulalie-DieudonnĂ© de Burel, fille de Jean-Toussaint de Burel, officier de la milice de Saint-Domingue, qui lui apporte une dot de 10 000 livres.

En 1788, soucieux de respecter l'autoritĂ© du parlement de Bordeaux, qui a refusĂ© d'enregistrer l'Ă©dit de 1787 crĂ©ant les assemblĂ©es provinciales, il prĂ´ne une stricte « visite d'honnĂŞtetĂ© en corps Â» de la compagnie prĂ©sidiale au duc d'Ayen, prĂ©sident de l'assemblĂ©e mise en place par le roi et contestĂ©e par la cour souveraine. Lors de la mobilisation prĂ©rĂ©volutionnaire de la noblesse provinciale, de mĂŞme, il observe une attitude de retrait prudente, ne s'engageant qu'Ă  l'occasion de la campagne pour les Ă©lections aux États gĂ©nĂ©raux, oĂą il soutient la candidature avortĂ©e du duc d'Ayen Ă  la dĂ©putation de la noblesse et propose Ă  Necker de le faire Ă©lire dĂ©putĂ© des États ressuscitĂ©s de la vicomtĂ© de Turenne. En appuyant ainsi un noble hostile Ă  l'intĂ©gration du Limousin dans la Guyenne, ce magistrat prĂ©sidial, propriĂ©taire foncier aisĂ©, rĂ©volutionnaire modĂ©rĂ©, s'affiche alors comme un notable local attachĂ© aux intĂ©rĂŞts de sa citĂ© et de son pays[2].

Durant la RĂ©volution

Il se distingue dans le premier semestre 1790, parmi les élites urbaines et judiciaires de sa ville, en prônant une répression modérée à l'égard des paysans jugés pour une émeute antiseigneuriale à Favars, en Bas-Limousin. Partisan de la légitimité des insurrections paysannes, au contraire de la majorité de ses confrères du siège de la cour prévôtale, il s'oppose d'avril à aux magistrats du présidial et aux édiles de la ville à travers une série de libelles. Cette affaire constitue le point de départ de son engagement révolutionnaire radical[2]. Il est élu procureur général syndic de la commune de Tulle le , puis du département en , et devient un membre actif de la Société des amis de la Constitution de sa ville natale[3].

Le , le collège Ă©lectoral du dĂ©partement de la Corrèze l'envoie siĂ©ger, par 200 voix sur 373 votants, Ă  l'AssemblĂ©e lĂ©gislative, oĂą il siège parmi les plus avancĂ©s de l'aile gauche[4]. EntrĂ© au Club des jacobins le [2], il fait parvenir chaque mois aux jacobins de Tulle des rapports et une partie de ses rĂ©tributions de dĂ©putĂ©, destinĂ©es aux misĂ©reux de cette ville. Il prĂ©sente au Club des jacobins le , puis, en termes presque identiques, Ă  l'AssemblĂ©e le 6, une sĂ©rie d'observations tendant Ă  s'opposer au dĂ©part des troupes avant le rapport du ComitĂ© colonial, dans un discours oĂą il attire l'attention sur un parallèle possible entre l'insurrection des esclaves Ă  Saint-Domingue et celle des Parisiens en . Il jette ainsi les bases d'une future alliance entre sans-culottes blancs de France et jacobins sans-culottes noirs de Saint-Domingue[5] - [6]. Il se signale Ă  l'AssemblĂ©e par une motion contre les prĂŞtres perturbateurs. De mĂŞme, le , il fait parler de lui en rĂ©clamant la rĂ©daction d'une motion Ă©nergique demandant que les statues en bronze des anciens rois de France soient toutes transformĂ©es en canons. Par ailleurs, on lui doit l'expression de « chevaliers du poignard », qui dĂ©signe ceux qui se rendent « chez la reine pour y conspirer contre le peuple Â», et il demande la suppression des substitutions qui pourraient se faire sur les biens possĂ©dĂ©s aux colonies par les Ă©migrĂ©s[4].

Le , il est rĂ©Ă©lu dĂ©putĂ© de la Convention par le dĂ©partement de la Corrèze. Lors du procès de Louis XVI, en , il vote la mort du roi « dans les plus brefs dĂ©lais », sans appel au peuple ni sursis[4]. Le 4 avril, après la rĂ©vĂ©lation de la trahison de Dumouriez, il intervient pour demander le remplacement des membres du ComitĂ© de dĂ©fense gĂ©nĂ©rale ayant eu des relations avec le gĂ©nĂ©ral et le maintien uniquement de ceux « qui sont reconnus pour des patriotes dĂ©cidĂ©s Â»[7]. Le 12 avril, il vote contre la mise en accusation de Jean-Paul Marat. Après les journĂ©es du 31 mai et du 2 juin 1793, il se rĂ©jouit de la proscription des girondins.

Il est envoyĂ© en mission dans les dĂ©partements de Corrèze et de SaĂ´ne-et-Loire par dĂ©cret du pour inspecter les manufactures d'armes, puis, par dĂ©cret du 26 juin, pour contrĂ´ler les autoritĂ©s locales de ces deux dĂ©partements. Puis il passe directement dans la Haute-Vienne, oĂą il est chargĂ©, par dĂ©cret du d'Ă©purer les autoritĂ©s[8]. Ă€ Limoges, un emprunt forcĂ© de 400 000 livres est imposĂ© aux riches[9]. Puis il est nommĂ© par un arrĂŞtĂ© du ComitĂ© de salut public en date du 9 nivĂ´se an II () dans la Vienne et la Haute-Vienne pour y organiser le gouvernement rĂ©volutionnaire[8]. En pluviĂ´se an II (janvier-), relâchant la pression « terroriste Â», il prend diverses mesures pour faire libĂ©rer des suspects. Cette politique modĂ©ratrice dresse contre lui la sociĂ©tĂ© populaire de Limoges, son collègue Gay-Vernon, dĂ©putĂ© de Haute-Vienne dont le frère est Ă  la tĂŞte du directoire de ce dĂ©partement, François-Xavier Audouin, adjoint de Bouchotte Ă  la 6e division du Ministère de la Guerre originaire de Limoges, ainsi qu'Ingrand et Piorry, tous deux Ă©lus de la Vienne. Se dĂ©veloppant dans le contexte parisien de la lutte des factions, entre « indulgents Â» et « hĂ©bertistes Â», doublĂ©e d'une lutte de factions dans les dĂ©partements, cette cabale conduit Ă  son rappel, par lettre du ComitĂ© de salut public du 11 ventĂ´se an II (); il part le 20 ventĂ´se (10 mars)[8] - [10].

À Paris, il prend une part active aux délibérations sur le Code civil[4]. Il semble se ranger du côté des robespierristes, mais reste très discret, au cours des évènements du 9-Thermidor (). Secrétaire suppléant de la Convention, il signe le décret d'accusation de Maximilien de Robespierre et de ses partisans. La défaite de l'Incorruptible assurée, il s'en vante le soir même au Club des jacobins. Il commet une erreur, les jacobins, demeurés encore pour quelques heures fidèles à Robespierre, le conspuent. Devenu indésirable au club, il est mis à la porte[11].

Sous la Convention thermidorienne, il est envoyé en mission, par arrêté du Comité de salut public du 15 thermidor an II () dans le Loiret, ainsi qu'en Loir-et-Cher et en Indre-et-Loire par décret du 4 fructidor an II (), pour y épurer les autorités[8]. S'il renouvelle le comité de surveillance d'Orléans, il ne modifie guère la composition des corps administratifs[12]. Le 17 brumaire an III (), il ferme pour un mois la salle de la société populaire d'Orléans, afin de la faire épurer par une commission qu'il nomme[13] - [14]. Après la fin de la mission, le 4 nivôse an III ()[8], il rentre à Paris.

Le 3 pluviĂ´se an III (), après la lecture, par CambacĂ©rès, d'un rapport sur les membres « de la famille Capet, actuellement en France Â», qu'il juge impolitique de mettre en libertĂ© pendant la guerre, Brival intervient pour affirmer « qu'après avoir coupĂ© l'arbre, il [faut] extirper toutes les racines qui ne [peuvent] porter que des fruits empoisonnĂ©s »[15]. En fructidor an III (), il appuie la motion de Marie-Joseph ChĂ©nier en faveur du retour en France de Talleyrand[4].

Le 23 vendémiaire an IV (), il entre, au titre du décret des deux tiers, au Conseil des Anciens, où il siège rarement[4]. Il soutient le coup d'État du 18 fructidor an V (), appuyant la déportation des vaincus royalistes[16]. Puis il est élu le 23 germinal an VI () député aux Conseil des Cinq-Cents, où son rôle est modeste[4]. Lors du coup d'État du 30 prairial an VII (18 juin 1799), il s'oppose à la mise en accusation des directeurs renversés[16].

Consulat et Empire

Après le coup d'État du 18 brumaire (), il accède à la magistrature et à la notabilité impériale, de manière imparfaite, cependant, en raison de son engagement révolutionnaire radical. Nommé juge au tribunal d'appel de Limoges en 1810, après avoir fait partie des quelques membres du tribunal de Haute-Vienne contestés lors de l'épuration de la magistrature en 1807-1808 car on lui reproche d'avoir émis un vœu négatif lors du débat sur le consulat à vie et de fréquenter les cafés où l'on joue[2]. Le , il échange ces fonctions contre celles de conseiller à la Cour impériale[4].

Le , il est nommé président du collège électoral de l'arrondissement de Bellac[16].

Sous la Restauration

Révoqué sous la Restauration[2], il est atteint par la loi contre les régicides du et s'exile à Constance[4], puis à Aarau, où il écrit peu après, le , à Decazes, ministre de la police générale, pour demander son retour[17] - [18]. Atteint de démence, il meurt dans un hôpital de Constance le .

InitiĂ© Ă  la franc-maçonnerie Ă  la fin de l'Ancien RĂ©gime, Jacques Brival est maĂ®tre en 1788, membre de la loge « L'AmitiĂ© Â», Ă  Limoges, en 1805[19].

Fortune

La Convention ayant demandĂ© Ă  ses membres un rapport sur l'Ă©tat de leur fortune avant et pendant la RĂ©volution, Brival a avouĂ© dĂ©tenir 200 000 livres de fortune. Avant 1789, il possède, outre sa charge de procureur du roi, une maison avec jardin, rue de la Rivière, des jardins et des prĂ©s Ă  la Renaudie[20], des domaines Ă  la Palisse, Ă  Champin, près d'Ussel et Ă  Fougères de Saint-Hilaire-Peyroux. Après 1789, il acquiert les biens nationaux de Lamarque pour 21 500 livres, le Four de la ville pour 1 800 livres, les prĂ©s d'Espagne pour 10 000 livres et le couvent des Carmes de Tulle pour 30 000 livres. Le , il revend les bâtiments de l'ancien couvent au dĂ©partement pour la somme de 22 000 francs, après l'avoir affermĂ©[21] - [22].

Famille

Il est le neveu de l'évêque constitutionnel de Tulle (1791-1793) Jean-Joseph Brival, ancien jésuite, curé de Lapleau, né le à Fougères, près de Saint-Hilaire-Peyroux, sacré à Paris le et mort le à Tulle[23].
Par un demi-frère, Jacques Brival est également le beau-frère de Louise du Plantadis, fille du lieutenant-général Étienne du Plantadis.

Notes et références

  1. Pierre Bliard, Les Conventionnels régicides d'après des documents officiels et inédits, Perrin et Cie, 1913, 539 pages, p. 483.
  2. Vincent Meyzie, Les Illusions perdues de la magistrature seconde: les officiers moyens de justice en Limousin et en PĂ©rigord, vers 1665-vers 1810, Presses universitaires de Limoges, 2006, 639 pages, p. 477-480 (ISBN 2842873874).
  3. Michel Cassan, Jean Boutier, Les Imprimés limousins, 1788-1799, Presses universitaires de Limoges, 1994, 734 pages, p. 284 (ISBN 2910016188).
  4. Adolphe Robert, Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889, Paris, Edgar Bourloton, 1889-1891, tome 1 (de Brignon de Lehen à Brixhe), p. 498-499.
  5. Compte-rendu de la séance du dimanche 4 décembre 1791 au Club des jacobins
  6. Jean-Daniel Piquet, L'émancipation des Noirs dans la Révolution française (1789-1795), Paris, Éditions Karthala, coll. « Hommes et sociétés », , 509 p. (ISBN 2-84586-161-3), p. 142 ; 170-173 ; 182-183.
  7. A. Ray, Réimpression de l'ancien Moniteur: seule histoire authentique et inaltérée de la révolution française depuis la réunion des États-généraux jusqu'au Consulat (mai 1789-novembre 1799), H. Plon, imprimeur-éditeur, 1847, vol. 16, p. 59.
  8. Michel Biard, Missionnaires de la RĂ©publique, Paris, CTHS, 2002, p. 471-472.
  9. Georges Verynaud, Histoire de Limoges, Centre régional de recherche et de documentation pédagogiques, 1973, 180 pages, p. 127.
  10. Michel Biard, Les Lilliputiens de la centralisation: des intendants aux préfets, les hésitations d'un modèle français, Éditions Champ Vallon, 2007, 410 pages, p. 288-290 (ISBN 2876734621).
  11. Jules Michelet, Histoire de la Révolution française, Chamerot, 1853, vol. 7, p. 486.
  12. Georges Lefebvre, Études orléanaises, Commission d'histoire économique et sociale de la Révolution, 1962, vol. 1-2, p. 211.
  13. Denis Lottin, Recherches historiques sur la ville d'Orléans, Imprimerie d'Alexandre Jacob, 1840, p. 210.
  14. Georges Lefebvre, op. cit., 1962, p. 223.
  15. Philippe Buchez, Prosper-Charles Roux, Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Paulin, 1837, vol. 35-36, p. 225.
  16. Biographie des hommes vivants, ou Histoire par ordre alphabétique de la vie publique de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs actions ou leurs écrits, Paris, Louis-Gabriel Michaud, 1816, tome 1, p. 489.
  17. Le Correspondant, vol. 166, 1re partie, Charles Douniol, 1892, p. 584.
  18. Albert Tournier, Les Conventionnels en exil, Flammarion, 1910, 416 pages, p. 214.
  19. Francis Masgnaud, Loges et francs-maçons de la Haute-Vienne: de l'Ancien Régime à la Cinquième République, L. Souny, 2000, 670 pages, p. 573 (ISBN 2911551478).
  20. A son mariage, en 1784, le nom complet de Jacques Brival est Jacques de Brival de La Renaudie.
  21. Bulletin de la Société scientifique, historique et archéologique de la Corrèze, vol. 61-66, Imprimerie Roche, 1939, p. 127.
  22. Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze, Musée A.-Mazeyrie, 1888, p. 94.
  23. Jean Baptiste Bordas-Demoulin, François Huet, Essais sur la réforme catholique, Chamerot, 1856, 644 pages, p. 317.

Voir aussi

Bibliographie

  • Jean Tulard, Jean-François Fayard et Alfred Fierro, Histoire et dictionnaire de la RĂ©volution française. 1789-1799, Paris, Ă©d. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1987, 1998 [dĂ©tail des Ă©ditions] (ISBN 978-2-221-08850-0)
  • « Jacques Brival », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [dĂ©tail de l’édition]
  • Jean-Philippe Giboury, Dictionnaire des rĂ©gicides, 1793, Paris, Perrin, 1989, « Brival Jacques ».
  • Augustin Kuscinski, Dictionnaire des Conventionnels, Paris, 1916, « Brival Jacques ».
  • Françoise Brunel,
    • « Les dĂ©putĂ©s montagnards Â», dans Albert Soboul (Ă©d.), Actes du colloque girondins-montagnards, Paris, SociĂ©tĂ© des Ă©tudes robespierristes, 1980, p. 343-361.
    • « Montagne/montagnards Â», dans Albert Soboul (dir.), Dictionnaire historique de la RĂ©volution française, Paris, PUF, 1989.
  • Edna Hindie Le May (dir.), Dictionnaire des LĂ©gislateurs (1791-1792) (prĂ©face de Mona Ozouf), Centre International d'Ă©tudes du XVIIIe siècle, 2007, 2 volumes, tome 1 : « A-G », « Brival Jacques ».
  • Johannès Plantadis, « Les conventionnels Brival et Lanot, dĂ©putĂ©s de la Corrèze », dans Bulletin de la SociĂ©tĂ© des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze, 1912, p. 269-292, 437-481 ; 1913, p. 141-160, 165-192 et 393-412 ; 1914-19, p. 5-36, 231-249 et 339-375.
  • Gilles Pezet, Jacques Brival, un conventionnel en mission en Corrèze, dans la Haute-Vienne et dans la Vienne, de Ă  ventĂ´se an II, TER, UniversitĂ© de Paris 1, 1997, 193 pages.

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