Isques
Isques [isk] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Isques | |||||
L'église Sainte-Apolline-et-Saint-Wulmer. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Boulogne-sur-Mer | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Boulonnais | ||||
Maire Mandat |
Bertrand Dumaine 2020-2026 |
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Code postal | 62360 | ||||
Code commune | 62474 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Isquois | ||||
Population municipale |
1 154 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 165 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 40′ 36″ nord, 1° 39′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 4 m Max. 154 m |
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Superficie | 6,98 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Boulogne-sur-Mer (banlieue) |
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Aire d'attraction | Boulogne-sur-Mer (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Outreau | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | isques.fr | ||||
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Géographie
Localisation
Isques est un village du Pas-de-Calais situé à 7 km au sud de Boulogne-sur-Mer[1] et à environ 35 km de Calais[2], 100 km de Lille[3] et 210 km de Paris[4]. Il s'agit d'une commune arrière-littorale située à seulement 6 km de la Manche. La commune fait partie de la communauté d'agglomération du boulonnais et également du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par le fleuve côtier la Liane, cours d'eau naturel de 38 km, qui prend sa source dans la commune de Quesques et se jette dans la Manche au niveau de la commune de Boulogne-sur-Mer[5].
Paysages
La commune s'inscrit dans le « paysage boulonnais » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1] - [6].
Ce paysage qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’Est, par le paysage du Haut pays d’Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.
Le « paysage boulonnais », constitué d'une boutonnière bordée d’une cuesta définissant un pays d’enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l’est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d’Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.
La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d’Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d’escarpements calcaires. Dans ce paysage, on distingue trois entités :
- les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
- le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
- la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[7].
Espace protégé et géré
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 153 communes[9].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :
- la vallée de la Liane près d'Hesdin-l'Abbé. Cette ZNIEFF présente un complexe de prairies alluviales et de la persistance de quelques prairies mésotrophes établies sur les versants au lieu-dit le Mont Pourri[10] ;
- la vallée de Saint-Martin-Boulogne. Cette ZNIEFF, d’une superficie de 1 698 hectares et d'une altitude variant de 15 à 188 mètres, présente un paysage bocager typique du Boulonnais[11].
et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane. Le complexe bocager du bas-Boulonnais et de la Liane s’étend entre Saint-Martin-Boulogne et Saint-Léonard à l’ouest et Quesques et Lottinghen à l’est. Il correspond à la cuvette herbagère du bas-Boulonnais[12].
Urbanisme
Typologie
Isques est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [13] - [14] - [15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Boulogne-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[16] et 84 811 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (71,4 %), terres arables (10,6 %), zones urbanisées (9,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Voies de communication et transports
Le village est accessible à partir des communes voisines ou par la sortie 28 de l'autoroute A16.
Isques est située à proximité des gares ferroviaires d'Hesdigneul et de Pont-de-Briques, et à 7 km de la gare de Boulogne-Ville.
La commune est également desservie par les bus du réseau boulonnais Marinéo (ligne G et lignes vertes).
Risques naturels et technologiques
La commune est reconnue en état de catastrophe naturelle à la suite des inondations et coulées de boues du 1er au [23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Isecca (1069), Iseca (1080), Hiseca (1119), Isica (1125-50), Yseche (1199), Iske (~1224), Iseke (1288), Yseke (1293), Iseque (1294), Isseke (1321), Yseque (1384), Ysecque (1477), Ysque-le-Moustier (1566), Isque (1583), Disque-le-Moustier (1617), Disques (1725), Isques (1743), Isque (1801)[24].
D'un nom masculin germanique Iso suivi du suffixe -aca, donnant « domaine d'Iso »[25].
Izeke en flamand.
Histoire
Parce que le nom Isques a une certaine proximité avec le mot Itius, quelques historiens ont supputé[26] que le port « Portus Itius », lieu d'embarquement de Jules César pour sa première tentative de conquête de la Bretagne (Angleterre) a pu être situé à Isques ; hypothèse qui a toujours été controversée.
La voie romaine allant d'Amiens à Boulogne-sur-Mer ou via Agrippa de l'Océan passait par Isques[27].
Isques a été le siège d'une seigneurie qui a été érigée plus tard en vicomté. La famille d'Isque comptait parmi les plus anciennes familles du Boulonnais. Le premier de cette famille à Isques fut Amalricus de Iseca, témoin en 1084 d'une donation de Gerardus de Burnulvilla, de la famille des comtes de Guînes, en faveur de l'abbaye d'Andres[28]. Amalricus aura probablement combattu avec le comte Eustache lI de Boulogne lors de la bataille d'Hastings en 1066 et aura probablement été récompensé par le fief d'Isques. En 1069, il a apparemment fondé ici la première église sous le nom d' « ecclesiam de Isecca »[29]. C'est également à cette époque qu'une motte castrale, qui deviendra plus tard le Château d'Isque, a dû être construite. Watier d'Isques était gouverneur de la milice de Cambrai en 1160[30].
Politique et administration
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Liste des maires
La mairie de Isques
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].
En 2020, la commune comptait 1 154 habitants[Note 6], en augmentation de 4,43 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 570 hommes pour 586 femmes, soit un taux de 50,69 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Le parc d'activités de Landacres est situé au bord de l'autoroute A16, sur les communes d'Isques, Baincthun et Hesdin-l'Abbé. Créé en 1997, il s'étend sur 165 hectares, dont 103 réservés prioritairement aux activités économiques industrielles (agroalimentaire, BTP, cosmétiques, etc.) et 58,5 équipés en 2011[44]. C'est l'une des rares zones d'activités en Europe à être certifiée ISO 14001 pour sa gestion environnementale[45].
Des commerces et services sont également implantés sur la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Sainte-Apolline-et-Saint-Wulmer.
L'église a été fondée par Evrard d'Isques[46] en 1208 comme l'indique une petite plaque[47] disposée à l'entrée principale. Rebâtie au XVIIe siècle, elle est classée[48]. Son clocher-mur ou Campenard est assez imposant relativement au reste du bâtiment. Il peut accueillir deux cloches dont une seule subsiste à présent.
- Vue sud.
- Vue nord.
- Vue nord-est.
- Vue sud-est.
- La cloche classée[49].
- Statue de Saint Wulmer[50].
- statue de Saint Sylvestre[51].
- statue de Sainte Godeleine[52].
Personnalités liées à la commune
- Le , est rendue une sentence de noblesse pour Jérôme d'Estiembecque, (nom sans doute dérivé de Steenbecque), seigneur de Disque (Isques) et de la Motte, domicilié à Saint-Omer. Il est le fils de Nicolas de Stiembecque et de Catherine Bersacques. Jérôme a servi en tant que militaire à différents combats, a reçu en récompense une rente de 100 florins par an toute sa vie durant. Il a pris pour épouse Adrienne de Wasselin. Il prend pour armes celles de la maison de Houdecoutre ou Hondecoutre « D'azur à 3 bandes d'argent et sur le timbre un cerf »[53] - [54]. Son fils Édouard ou Oudart de Stiembecque a été élevé chevalier en 1642 (voir Steenbecque)[54].
- Le , sont données à Bruxelles des lettres de chevalerie pour Jean de la Motte, seigneur d'Isque, qui a suivi le parti des armes, s'est trouvé aux galères du roi d'Espagne, sous la conduite d'Andréa Doria au siège d'Alger et autres expéditions, a été nommé alfère (grade militaire) en 1608 puis sergent-major, a été fait prisonnier par un capitaine hollandais et a dû payer une grosse rançon pour recouvrer sa liberté. Il est le fils de François de la Motte, seigneur de Barafle (actuellement Rebreuve-Ranchicourt) et de Bourcquembray, capitaine d'une compagnie d'infanterie wallonne, lieutenant-général des villes et échevinage de Saint-Omer, créé chevalier par feu sa majesté catholique (c'est-à -dire le roi d'Espagne). Son grand-père maternel Jacques de Brœucq, seigneur d'Isque, a rendu de grands services à sa majesté impériale comme capitaine, a été tué au château de Guînes où il s'était enfermé avec sa compagnie, ce qui fut cause que sa majesté avait accordé à sa fille, mère de Jean de la Motte, une pension de cent florins/an[55].
Héraldique
Blason | D'or à la croix ancrée de gueules. |
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Détails | La commune relève les armes de la famille d'Isques, dont le plus ancien porteur connu du nom et seigneur du lieu est le chevalier Wautier d'Isques, gouverneur de la milice de Cambrai, vivant en 1160. Adopté par la municipalité. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Distance à vol d'oiseau entre Isques et Boulogne-sur-Mer », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Isques et Calais », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Isques et Lille », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Isques et Paris », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Liane (E53-0020 ) » (consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030068 - Vallée de la Liane près d'Hesdin-l'Abbé », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030017 - Vallée de Saint-Martin-Boulogne », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007276 - Le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Boulogne-sur-Mer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Boulogne-sur-Mer », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- (fr) « Intempéries de fin octobre : 30 premières communes en état de catastrophe naturelle », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 212.
- Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
- Ex : Albert Grenier, Deux ports romains du Pas-de-Calais, Portus Itius et Portus Aepatiacus Comptes-rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1944, Vol 88, n°3, pp. 372-386 ; voir page 373
- M. Cousin, « Trois voies romaines du Boulonnais », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1858-1859, p. 407, lire en ligne.
- André du Chesne: Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quel-ques autres familles illustres, Paris 1632, p. 22; Chronicon Andrense, 784, 2, cité d'après: D. Haigneré, „Dictionaire topographique de la France. Arrondissement Boulogne-sur-Mer“, Boulogne-sur-Mer 1881, p. 191.
- D. Haigneré, „Dictionaire topographique de la France. Arrondissement Boulogne-sur-Mer“, Boulogne-sur-Mer 1881, p. XIII; ibid., D. Haigneré, Dictionaire historique et archéologique du Département du Pas-de-Calais, Tome 3: Arrondissement du Boulogne, Arras 1882, p. 337.
- M. Cousin, op. cit., p. 409.
- Christian Eletufe, « Bertrand Dumaine élu maire d'Isques », sur http://www.lasemainedansleboulonnais.fr, (consulté le ).
- Céline Rudz, « Isques : Bertrand Dumaine candidat en 2014 pour continuer à «améliorer le cadre de vie» : En 2009, Jean-Pierre Gobert laissait les clés de la mairie à son premier adjoint, Bertrand Dumaine. À 46 ans, le benjamin des maires de la CAB sollicitera en mars les suffrages des électeurs du village, qui compte aujourd’hui 1180 habitants », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Isques: maintenir un cadre de vie agréable pour la population, le projet de Bertrand Dumaine pour le nouveau mandat : « La Voix du Nord » lance une nouvelle série consacrée aux « projets des maires ». Réélu maire sur une liste apolitique, Bertrand Dumaine dès le premier tour de scrutin, a répondu avec plaisir à nos trois questions : ses projets, la mise en place des nouveaux rythmes scolaires à Isques et l’évolution de la fiscalité locale », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21599233
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Isques (62474) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Le Parc d'activités de Landacres sur le site de la Communauté d'agglomération du Boulonnais, consulté le 8 juin 2011
- Fêtes, le "rush" pour beaucoup de PME dans La Semaine dans le Boulonnais, le 24 décembre 2013
- |Généalogie de Evrard d'Isques.
- Plaque commémorative de l'église Saint-Wulmer
- Notice no IA00062466, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IM62000837, base Palissy, ministère français de la Culture
- Notice no IM62000822, base Palissy, ministère français de la Culture
- Notice no IM62000821, base Palissy, ministère français de la Culture
- Notice no IM62000823, base Palissy, ministère français de la Culture
- Amédée le Boucq de Ternois, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 15, lire en ligne
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 261, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 22,lire en ligne