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Steenbecque

Steenbecque (prononcé [stɛ̃bɛk] ; Steenbeke en néerlandais[1]) est une commune de France située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.

Steenbecque
Steenbecque
Mairie.
Blason de Steenbecque
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes de Flandre Intérieure
Maire
Mandat
Carole Delaire
2020-2026
Code postal 59189
Code commune 59578
Démographie
Gentilé Steenbecquois (es)
ou les Steenbekenaeren
Population
municipale
1 662 hab. (2020 en diminution de 4,21 % par rapport à 2014)
Densité 139 hab./km2
Population
agglomération
2 580 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 50° 40′ 32″ nord, 2° 28′ 55″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 65 m
Superficie 11,96 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Steenbecque
(ville-centre)
Aire d'attraction Hazebrouck
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Hazebrouck
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
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Steenbecque
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Steenbecque
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Steenbecque
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Steenbecque
Liens
Site web steenbecque.fr

    Géographie

    Commune dans l'arrondissement de Dunkerque

    Localisation

    Le village est situé dans la région naturelle de l'Houtland, à 6,3 km de Isbergues, 6,5 km d'Hazebrouck, 13 km de Cassel, 19 km de Bailleul, 40 km de Lille, et 40,6 km de Dunkerque.

    Communes limitrophes de Steenbecque
    Blaringhem Steenbecque Morbecque
    Boëseghem Thiennes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 755 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[8] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 45 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Steenbecque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Steenbecque, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[18] et 2 580 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hazebrouck, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,5 %), prairies (5,7 %), zones urbanisées (4,6 %), forêts (0,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Steinbeke en 1184 (cartulaire de Bourbourg); Estainbeche en 1236 (cartulaire de l'abbaye de Marquette)[25].

    Il s'agit d'un type toponymique germanique commun basé sur *steinaz « pierre » et *bakiz « cours d'eau, ruisseau », qui a donné l'ancien flamand stēn, stein « pierre » et bēke « ruisseau », d'où le sens global de « ruisseau pierreux ».

    Histoire

    C’est en 1184 que le lieu a été mentionné pour la première fois sous le nom de Steinbeke dans le cartulaire de l’abbaye Notre-Dame de Bourbourg ; on le retrouve en 1236 sous le nom d’Estainbeche dans le cartulaire de l’abbaye du repos de Notre-Dame de Marquette.

    Steenbecque était traversée par une voie romaine menant de Cassel à Mardyck, sur la côte[26].

    La paroisse a donné son nom à une famille de la noblesse de Flandre, nom également noté Stiembecque.

    Avant la Révolution française, la paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocèse de Saint-Omer[27].

    En 1297, Philippe le Bel occupe toute la Flandre maritime, après avoir défait le comte de Flandres Gui de Dampierre. Le , Baudouin de la Planque, seigneur de Steenbecque et de Thiennes, reçoit toute la terre de Blaringhem, confisquée sur Thomas de Lille, resté fidèle au comte[28].

    Jeanne, dame de Steenbecque, fonde en 1578 un oratoire en l'honneur de sainte Pharaïlde. En 1582, Jeanne de Steenbecque épouse le seigneur de (Mailly-)Mame(t)z..

    Steenbecque a longtemps appartenu au comté de Flandre jusqu’à ce que, comme le reste de la Flandre française, elle fut annexée à la France par le traité de Nimègue en 1678. Pendant longtemps pourtant, la population a continué à parler flamand et aujourd’hui encore, le flamand reste répandu. A l’heure actuelle, Steenbecque est la commune la plus méridionale du Westhoek français où l’utilisation du flamand et du néerlandais est officiellement autorisée.

    En 1745, les trois terres réunies de Thiennes, Steenbecque et Blaringhem sont érigées en comté au bénéfice de Jean-François Buisseret[28].

    Le , un forcené armé d'une carabine a détenu le maire, Claude Rahou, 72 ans[29], en otage. Après près de sept heures de négociations menées par le GIGN, le forcené s'est rendu en début de soirée. Pendant tout ce temps, le maire a été retenu dans sa mairie par un ancien employé municipal de 47 ans. Ce dernier, père de trois enfants, était en dépression. Un différend, vieux d'une quinzaine d'années l'opposait au maire. L'ancien employé municipal était tombé d'un échafaudage et avait reçu, selon lui, des indemnités insuffisantes pour ce qu'il considérait être un accident du travail. Il reprochait également au maire de ne pas l'avoir assez soutenu. Le forcené avait déjà été condamné en 1996 à un mois de prison avec sursis pour avoir menacé le maire avec un couteau[30] - [31].

    Politique et administration

    Maire en 1802-1803 : Alexis Roucou [32].

    Maire en 1854 : P.F. Coubronne[33].

    Maire en 1881 1883 et de 1887 à 1889 : Gve. Deram, notaire honoraire en 1888[34]'[35].

    Maire de 1889 à 1892 : Aug. Deroo[36].

    Maire de 1892 à 1895 : Albert Deblonde[37].

    Maire de 1895 à 1903 : Jules Lesage[38].

    Maire de 1903 à 1925 : Victor Vandenbussche (Radical)[39].

    Maire de 1925 à 1932 : Jules Lesage[40].

    Maire de 1932 à 1934 : Emile Compignie[41].

    Maire de 1934 à 1959 : Léon Macke[42].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1983 Jean Ruyssen
    mars 1989 Suzanne Bourteel
    mars 2008 Claude Rahou
    En cours Carole Delaire
    Réélue pour le mandat 2020-2026[43]
    DVD
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

    En 2020, la commune comptait 1 662 habitants[Note 8], en diminution de 4,21 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2042 2602 3062 0582 1442 0902 0391 9611 941
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8561 8941 8961 9711 9671 9441 9021 8681 830
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8161 7471 7641 6331 6001 5881 5191 4651 455
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 4471 4971 4691 4851 5531 6121 6921 7141 739
    2018 2020 - - - - - - -
    1 6741 662-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 847 hommes pour 827 femmes, soit un taux de 50,6 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[48]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    2,8
    6,4
    75-89 ans
    11,0
    16,9
    60-74 ans
    16,0
    23,1
    45-59 ans
    23,9
    16,2
    30-44 ans
    15,0
    18,5
    15-29 ans
    14,5
    18,2
    0-14 ans
    16,8
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[49]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint Pierre, hallekerque du XIVe et XVIIe siècles.
    • La maison flamande, ancienne école
    • L'ancien hospice
    • Le monument Roucou
    • Le calvaire du chevet de l'église et des chapelles-oratoires
    • L'église Saint-Pierre
      L'église Saint-Pierre
    • Calvaire de l'église
      Calvaire de l'église
    • L'ancien hospice
      L'ancien hospice
    • Le monument Roucou
      Le monument Roucou
    • La maison flamande
      La maison flamande
    • le monument aux morts
      le monument aux morts

    Patrimoine culturel

    Steenbecque est un village en Flandre française et traditionnellement on y parle flamand occidental. Aujourd'hui, Steenbecque est la commune la plus méridionale qui permet l'usage du flamand/néerlandais en situations officielles.

    • Depuis 2009, Steenbecque fait partie du réseau Village Patrimoine, coordonné par les Pays de Flandre.

    Famille de Steenbecque, Stiembecque

    • En 1169, Simon de Steenbecque est seigneur de Blaringhem, Ebblinghem, Nieles, Pradelles, Thiennes.
    • Henri de Stiembecque, chevalier, seigneur du lieu et de La Motte, a fait hommage en 1350 au duc de Bourgogne, à cause de son fief de La Motte tenu du château de Saint-Omer[50].
    • Jean de Stiembecque, écuyer, seigneur de La Motte, fils d'Henri de Stiembecque[50].
    • Nicolas de Stiembecque avait épousé Catherine Bersacques. Nicolas était fils de Jean de Stiembecque[50].
    • Jérôme de Stiembecque, écuyer, seigneur de Dicques (Isques) et de La Motte, a épousé Adrienne de Wasselin, fille et sÅ“ur de feu Hugues de Wasselin, père et fils, vivant chevaliers, seigneurs de Lannoy, prévôts héréditaires de la ville de La Gorgue. Jérôme de Stiembecque a servi ses anciens souverains (le roi d'Espagne) dès sa jeunesse, s'est trouvé aux sièges de Harlem, Zutphen, Ziriczée, Utrecht et Amsterdam, sous la conduite du duc d'Albe. En récompense de ses services, a eu une pension de 100 florins par an, toute sa vie durant, assignés sur le domaine de Saint-Omer. Jérôme était fils de Nicolas de Stiembecque[50].
    • Édouard (ou Oudart) de Stiembecque est cité le . Sont données à Molina (Molina de Aragón), des lettres de chevalerie pour Édouard (ou Oudart) de Stiembecque, (Steenbecque), écuyer, seigneur de Millemotte (sur Salperwick?), capitaine entretenu au régiment du comte de Grobbendonk, (Maison d'Ursel), lieutenant-général de la gouvernance de Douai et d'Orchies, et sergeant-major de la dite ville de Douai et des gens de guerre qui y sont en garnison. Né à Saint-Omer, suivant les traces de ses nobles prédécesseurs paternels et maternels, il est entré dans sa jeunesse, au service de son souverain, en qualité de gentilhomme de la compagnie colonelle de feu le sieur de Coin, au siège et à la prise de Verselles en Italie, puis fut pourvu d'une compagnie d'infanterie de 200 têtes wallonnes au régiment de feu le seigneur de Maisières, a assisté à la conquête du Palatinat inférieur sous le marquis Ambrogio Spinola, a fait partie de l'armée des Pays-Bas, et fut blessé à la défense d'Arras lors du siège d'Arras. Il est allié à Adrienne de Wancquelin, fille de Claude, chevalier, seigneur de Saint-Tol, grand bailli du pays de Cambrésis, d'ancienne et noble famille. Édouard était fils de Jérôme de Stiembecque[50].

    Héraldique

    Les armes de Steenbecque se blasonnent ainsi : D'azur à trois coquilles d'argent.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Steenbecque et Richebourg », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Steenbecque et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Steenbecque », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Hazebrouck », sur insee.fr (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages Nord, Editions Bordessoules
    26. Mr Bergerot, <<Vie de Saint-Folquin>>, dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1855, p 90 à 131, lire en ligne
    27. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.
    28. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1979 Tome III p. 9523.
    29. Prise d'otage à Steenbecque, avec vidéo :: LA VOIX DU NORD
    30. Le Figaro - Actualités : Le maire de Steenbecque pris en otage
    31. Nouvel Obs : la prise d'otage est terminée
    32. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
    33. Annuaire du commerce Département du Nord 1854
    34. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3.
    35. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1883 1887 1888 1889
    36. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1890 à 1892
    37. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1893 à 1895
    38. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1896 à 1903
    39. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1904 à 1914 et 1922 à 1925
    40. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1926 à 1932
    41. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1933-1934
    42. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1935 à 1939 et 1952 à 1959
    43. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21599233
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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