Morbecque
Morbecque (Moerbeke en néerlandais[1]) est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.
Morbecque | |||||
Mairie. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Dunkerque | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Flandre Intérieure | ||||
Maire Mandat |
Jérôme Darques 2020-2026 |
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Code postal | 59190 | ||||
Code commune | 59416 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Morbecquois | ||||
Population municipale |
2 518 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 41′ 39″ nord, 2° 31′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 15 m Max. 69 m |
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Superficie | 44,34 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Hazebrouck (banlieue) |
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Aire d'attraction | Hazebrouck (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Hazebrouck | ||||
Législatives | Quinzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Situation
Ce bourg est proche d'Hazebrouck et à environ 35 km de Lille.
Communes limitrophes
Hydrographie
Morbecque est traversée par le ruisseau de la Grande Steenbecque qui draîne du Nord au Sud la Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) 310013315 [2], limitrophe de la ville d’ Hazebrouck.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 43 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Morbecque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hazebrouck, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[19] et 24 570 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hazebrouck dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,6 %), terres arables (42,9 %), prairies (2,3 %), zones urbanisées (2,2 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Héraldique
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Les armes de Morbecque se blasonnent ainsi :« D'azur à la fasce d'or »
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Histoire
À l’origine il y avait deux forteresses à Morbecque.
- Une appartenant à la famille seigneuriale de Morbecque (seigneurs de Morbecque).
- Une autre, construite à la Motte-au-Bois pour le comte de Flandre Robert le Frison.
Avant la Révolution française, la paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocèse de Saint-Omer[26].
En 1295, le chevalier Walter de Relenghes, seigneur de Morbecque, confirme des lettres de Mathilde, sa mère, châtelaine de Saint-Omer, en faveur de l'abbaye de Watten et datées du mois de -1259[27].
La seigneurie de Morbecque est détenue au XIVe siècle par un descendant de la maison de Saint-Omer, dit de Saint-Omer Morbecque.
En 1328, le château de Morbecque est assiégé par le duc de Normandie. Après 8 jours de siège, la forteresse se rendit et fut démantelée. Guillaume de Saint-Omer Morbecque, son épouse ainsi que deux de ses fils furent massacrés. Seul dernier fils, Denis fut épargné.
En 1356, Denis de Morbecque, fils de Guillaume de Saint-Omer Morbecque, durant la chevauchée du Prince noir en 1356, s’illustra auprès du Prince Noir à la bataille de Poitiers en faisant prisonnier le roi de France, Jean II le Bon. Lors de cette bataille, un autre membre de la famille, Jean de Saint-Omer, sire de Morbecque, est fait prisonnier avec le roi Jean (à l'époque, il arrive assez fréquemment que des membres de la même famille combattent dans des armées opposées). Yolande de Flandre, qui détient alors le château de la Motte-au-Bois, va payer sa rançon, 850 moutons d'or de France, à Jean Philippes de Londres le [28].
En 1418, Thierry de Moerbeck est gouverneur du château de la Motte-au Bois. En 1484, Indoque de Saint-Omer, seigneur de Moerbeck, conseiller et chambellan du duc de Bourgogne, occupe la même fonction. Il est sans doute le même personnage que Josse de Saint-Omer, chevalier, seigneur de Morbecque, chambellan du duc de Bourgogne (Charles le Téméraire), seigneur d'Alembon du fait de son mariage vers 1460 avec Jeanne (ou Jacqueline) de Hondrecoustre (voir seigneurs d'Alembon). En 1581, Jean de Saint-Omer, seigneur de Moerbeck, vicomte d'Aire, est à son tour gouverneur de La-Motte-au-Bois[29].
Fin du XVe siècle- début du XVIe siècle, le seigneur de Morbecque est Charles de Saint-Omer, né à Morbecque, seigneur du lieu, grand bailli héréditaire de Saint-Omer, savant naturaliste qui fut le 1er à créer dans le pays un jardin botanique et une collection d'oiseaux[30]. À cette époque, plusieurs personnages sont dits de Morbecque, ainsi en , sont données à Malines, par Charles, archiduc d'Autriche, des lettres d'anoblissement pour Jean Pyelles, dit de Morbecque, extrait de notable génération[31].
La seigneurie de Morbecque fut érigée en baronnie, puis en comté, enfin en 1629 en marquisat. Par lettres données à Bruxelles le , est érigée en comté la terre et seigneurie de Morbecque, en y adjoignant les fiefs de Scheystrach, Zinneghem en la tenance de Morbecque, de Minqueval en la tenance d'Hazebrouck, de Zenecote en la tenace de Berquin (Vieux-Berquin), et de la Bourre tenue de Cassel, en faveur de Robert de Saint-Omer, vicomte d'Aire (Aire-sur-la-Lys), seigneur dudit lieu, issu des anciens châtelains héréditaires de Saint-Omer et des comtes de Fauquembergues (maison de Saint-Omer), dont il porte les armes pleines. Il a pour ancêtres Denis de Morbecque, Pierre de Morbecque qui a reconquis pour Maximilien Ier les villes de Saint-Omer et de Dunkerque, Jean de Saint-Omer, à qui fut conféré, après la mort de leur oncle, le gouvernement de la ville d'Aire[32].
Le , par lettres données à Madrid, la terre et comté de Morbecque est érigée en marquisat en faveur de Jean de Montmorency (maison de Montmorency), comte d'Estaires et de Morbecque, chevalier de la Toison d'Or, en reconnaissance des signalés services rendus par la famille[33].
Le , des lettres de Madrid érigent la terre et seigneurie de Robecque (Robecq) en principauté au bénéfice de Jean de Montmorency en y incorporant la ville et vicomté d'Aire (Aire-sur-la-Lys), les villages de Blessy, Blesselles, Saint-Quentin, Glomenghen, Famechon. Jean de Montmorency est ainsi prince de Robecq, marquis de Morbecque, comte d'Estaires, vicomte d'Aire, baron d'Haverskerque et des Wastines, seigneur de Robecq et de Bersée[34].
Thomas Becket séjourna au château de la Motte-aux-Bois, ainsi qu'Isabelle de Portugal qui y habita à la mort de son mari. Ruiné par les guerres il est reconstruit à la fin du XVIIe siècle.
Morbecque est considérée comme "le village aux sorcières" : à la fin du XVIIe siècle, Antoine de Montmorency, chevalier de Morbecque, a mené une répression féroce contre elles.
La devise des sorcières : "Kust me gat en drinkt thee!" en flamand occidental.
Pendant la Révolution française, Morbecque a absorbé La Motte-au-Bois entre 1790 et 1794.
En juin 1793, la municipalité s'est opposée à l'enlèvement des cloches tel que décidé par la Convention nationale[35].
En , les paysans de Morbecque — affectés par la mort du roi — se soulèvent contre la conscription. Trente-et-un d'entre eux sont immédiatement emprisonnés par le nouveau pouvoir républicain[36].
Durant la Seconde Guerre mondiale, il y avait à Morbecque une rampe de lancement de fusées V1, située au bois des Huit-Rues.
Politique et administration
Maire en 1802-1803 : Louis Depecker[37].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].
En 2020, la commune comptait 2 518 habitants[Note 8], en diminution de 2,25 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 255 hommes pour 1 264 femmes, soit un taux de 50,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
Un petit panneau d'information aux abords immédiats de l'église résume les vicissitudes de l'édifice. L'auteur du texte reproduit ci-dessous n'est pas indiqué.
« Sa construction a débuté au XIIe siècle pour s’achever en 1259. Elle est de type Hallekerque. Elle est repérable en raison de son imposante tour carrée centrale d’une hauteur de 25m surmontée d’une flèche de même hauteur. L’église a connu trois destructions (en 1527, 1918 et 1940) dont la dernière le 27 mai 1940 fut la plus dévastatrice, Il fallut tout reconstruire. L’église a été rendue au culte le 1er octobre 1972 en présence de Mgr Gand, évêque de Lille et l’abbé Liévin Petitprez, doyen de la paroisse. Aussi, une église provisoire a été créée en 1943 durant les travaux, c’est l’actuelle Salle André Willier. Sont a voir sous un enfeu les gisants mutilés et calcines de Josse de Saint Omer (1485) et de son épouse Jeanne de Hautecoeur (1472). L’édifice a fait l’objet d’une inscription au titre des.monuments historiques le 1er décembre 1920. »
- Fontaine Saint-Firmin. La légende raconte que l'âne de saint Firmin fit sourdre une fontaine en martelant une pierre de son sabot. Cette eau guérirait les crampes et les rhumatismes.
- L'église provisoire, en bois.
- Morbecque British Cemetery, cimetière militaire.
- Le Grand Hazard Military Cemetery, cimetière militaire.
- La base du Parc des Éclaireurs de France (s'y est tenue en juin 2019 la première phase de l'expérimentation du Service national universel)[54].
- Église Saint Firmin
- L'église de Morbecque
- L'église de La Motte-aux-Bois
- Fontaine St.Firmin
- Le monument aux morts
Personnalités liées à la commune
- Thomas Becket, archevêque de Canterbury, séjourna au château de la Motte-au-Bois en 1164.
- Valentin de Pardieu, seigneur de la Motte (Morbecque a absorbé La Motte-aux-Bois entre 1790 et 1794)[55] - [56].
- Liste des seigneurs de Morbecque
- Omer Capelle, homme politique, est né à Morbecque en 1891
Pour approfondir
Bibliographie
Breda (Georges) " Morbecque Dévotions Populaires et Lieux Sacrés " ; chez l' auteur (G. Breda, 59280 Armentières), 1984, 128 pp., très nombreuses illustrations.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- roepstem.net - vlaanderen
- Museum national d'Histoire naturelle, « Inpn, znieff 310013315 - bois de la franque, bois de la cruysable et canton des… », sur mnhn.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Morbecque et Richebourg », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Morbecque et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Hazebrouck », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Hazebrouck », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.
- Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VI, Année 1295.
- J.-J. Carlier, « Henri d'Oisy, fragment d'études historiques », dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1857 publié en 1858, Dunkerque, p. 97, lire en ligne
- Louis de Backer, Château de la Motte-au-Bois, Douai,1843, in-4° ,71 pp. avec 2 lith., p. 33, lire en ligne
- Louis Cousin, « Notice historique sur les anciens seigneurs de Capple », dans Mémoires de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1856, p. 259, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 145, lire en ligne
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 211, lire en ligne
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 236, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 242, lire en ligne.
- Joseph Deschuytter, L'esprit public et son évolution dans le Nord, de 1791 au lendemain de Thermidor an II (1), FeniXX réédition numérique, (ISBN 978-2-307-02260-2, lire en ligne).
- La Guerre de Vendée, 1793-1800, Points-Seuil, 2014, p. 51 (ISBN 978-2-7578-3656-9).
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
- Annuaire du commerce Département du Nord 1854
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1883 et 1887
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1888
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1889 à 1904
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1905 à 1914
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1922 à 1927
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1928 à 1939
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1952
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1954
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1955 à 1977
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Morbecque (59416) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- La Voix du Nord du vendredi 28 juin 2019, p. 4.
- Annales De Comité flamand de France, Conservatoire national des arts et métiers (France) pages 177, 223
- Bulletin historique trimestriel, page 24 de la Société des antiquaires de la Morinie . 1866