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Gare de Moret-Veneux-les-Sablons

La gare de Moret-Veneux-les-Sablons est une gare ferroviaire française Ă©tablie Ă  la bifurcation entre la ligne de Paris-Lyon Ă  Marseille-Saint-Charles et la ligne de Moret - Veneux-les-Sablons Ă  Lyon-Perrache. Elle est situĂ©e sur le territoire de l'ancienne commune de Veneux-les-Sablons, Ă  la limite de celui de Moret-sur-Loing, toutes deux intĂ©grĂ©es Ă  Moret-Loing-et-Orvanne, dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France.

Moret-Veneux-les-Sablons
Image illustrative de l’article Gare de Moret-Veneux-les-Sablons
Le bùtiment voyageurs et l'entrée de la gare en 2017.
Localisation
Pays France
Commune Moret-Loing-et-Orvanne
Adresse Place de la Gare
77250 Moret-Loing-et-Orvanne
CoordonnĂ©es gĂ©ographiques 48° 22â€Č 43″ nord, 2° 48â€Č 00″ est
Gestion et exploitation
Propriétaire SNCF
Exploitant SNCF
Code UIC 87682278
Site Internet La gare de Moret-Veneux-les-Sablons, sur le site de la SNCF
Services Transilien Ligne R du Transilien
TER Bourgogne-Franche-Comté
Caractéristiques
Ligne(s) Paris-Lyon Ă  Marseille-Saint-Charles
Moret-Veneux-les-Sablons Ă  Lyon-Perrache
Voies 6 voies Ă  quai (+ voies de service)
Quais 3 latéraux (dont 2 encadrant le bùtiment), 1 central
Transit annuel 1 502 530 voyageurs (2021)
Zone 5 (tarification Île-de-France)
Altitude 71 m
Historique
Mise en service
Correspondances
STILL (BUS) STILL 8B
Comùte (BUS) Comùte 203 205 207
Transport à la demande (BUS TàD) Moret-sur-Loing

Mise en service en 1860, par la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM), c'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par les trains de la ligne R du Transilien et par des trains du réseau TER Bourgogne-Franche-Comté.

Situation ferroviaire

Bifurcation.

Établie Ă  71 mĂštres d'altitude[alpha 1], la gare de Moret-Veneux-les-Sablons est situĂ©e : au point kilomĂ©trique (PK) 66,780 de la ligne de Paris-Lyon Ă  Marseille-Saint-Charles, entre les gares de Thomery et de Saint-MammĂšs[1] ; et Ă  l'origine, au PK 66,780 de la ligne de Moret - Veneux-les-Sablons Ă  Lyon-Perrache, avant la gare de Montigny-sur-Loing, dont elle est sĂ©parĂ©e par le viaduc de Montigny-sur-Loing[2] - [3].

La gare comporte de nombreuses voies de garage liées à son ancienne activité de gare de triage et un poste d'aiguillages.

  • La bifurcation au fil du temps
  • Vers 1900.
    Vers 1900.
  • Vers 1920.
    Vers 1920.
  • En 2006.
    En 2006.

Histoire

Gare PLM (1860-1937)

Lors de la construction de la ligne vers Dijon (1849-1851) puis Marseille (1856), la gare desservant la commune était celle de Moret-Saint-MammÚs[4]. C'est lors du choix du site de la gare d'embranchement de la ligne de Paris à Lyon par le Bourbonnais qu'il est décidé de créer une nouvelle gare, dite gare de Moret, sur la rive gauche du Loing, à peu de distance en amont du viaduc de Saint-MammÚs, sur le territoire de la commune de Veneux-Nadon[alpha 2] à environ deux kilomÚtres en amont de la gare de Saint-MammÚs[6] - [7].

La gare peu aprÚs sa construction, vers 1860-1863, avec le bùtiment voyageurs cÎté ligne du Bourbonnais, à gauche on aperçoit le Viaduc de Saint-MammÚs sur la ligne de Bourgogne. Photo d'Auguste Hippolyte Collard (1812-1893).

La « gare de Moret » est mise en service le [8] par la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM), lorsqu'elle ouvre à l'exploitation le tronçon de Moret à Montargis de la premiÚre section de la ligne de Paris à Lyon par le Bourbonnais[6]. Le bùtiment, construit avec des pierres de la carriÚre des Vorgeois de la Vallée Boucard sur la commune d'Andryes[9], est disposé entre les deux branches du Y de la bifurcation entre les deux lignes[10].

En 1866, le prix d'un aller de Paris Ă  « Moret (bifurcation) » coĂ»tait 7,50 F en 1re classe, 5,65 F en 2e classe et 4,15 F en 3e classe[11]. L'annĂ©e suivante, en 1867, le buffet de la gare placĂ© Ă  l'origine hors de l'enceinte du chemin de fer du Bourbonnais est dĂ©mĂ©nagĂ© dans l'un des bĂątiments de la gare donnant directement sur la voie[12].

En 1881, la gare est agrandie en prĂ©vision d'un accroissement du service de trains avec l'ouverture de la ligne de Bourron Ă  Malesherbes[13]. En 1891, on y installe un systĂšme tĂ©lĂ©graphique Claude et une halte-repas de deuxiĂšme catĂ©gorie pour les troupes[14]. En 1893, les chariots sans fosse de 5 mĂštres sont remplacĂ©s par d'autres de 6,80 mĂštres et l'asphaltage des quais est complĂ©tĂ©[15]. En 1899, sur la ligne de Paris Ă  Lyon par la Bourgogne, on modifie des signaux et enclenchements en vue de l'installation du block ; sur la ligne par le Bourbonnais, on installe une nouvelle voie principale avec un Ă©largissement du quai de la voie 2[16].

  • La gare vers 1900
  • Desserte 040 PLM B 3284 ligne de la Bourdonnais
    Desserte 040 PLM B 3284 ligne de la Bourdonnais
  • Desserte ligne de Bourgogne.
    Desserte ligne de Bourgogne.
  • La bifurcation.
    La bifurcation.

En 1906, le conseil municipal de Neneux-Nadon rĂ©itĂšre sa demande de modification du nom de la gare en « gare de Moret-les-Sablons ». La proposition est soumise Ă  l'administration[17][alpha 3]. En 1908, le quai de la voie 2 est allongĂ© et remis en Ă©tat comme celui de la voie 1 et les cabinets d'aisances[18]. Cette mĂȘme annĂ©e la demande de construction d'une marquise, sur le quai des voies 2 et 4, est refusĂ©e par le ministre du fait que cela ne concerne qu'un faible nombre de voyageurs[19].

En 1911, la gare, nommĂ©e « Moret-les-Sablons », figure dans la « Nomenclature des gares stations et haltes du PLM »[20]. C'est une gare de passage de la ligne de Paris Ă  Marseille et Ă  Vintimille, situĂ©e entre la gare de Thomery et la gare de Saint-MammĂšs[21] ; et, par ailleurs, la gare d'origine de la ligne de Moret-les-Sablons Ă  Nimes, avant la gare de Montigny-Marlotte[22]. C'est une gare qui peut expĂ©dier et recevoir des dĂ©pĂȘches privĂ©es[23] ; elle est ouverte au service complet de la grande vitesse et de la petite vitesse[23].

En 1918, on construit une voie courbe de liaison pour des relations directes entre les deux lignes pour permettre des circulations sans manƓuvres d'une ligne Ă  l'autre[24]. Construite en urgence Ă  la demande de l'Administration militaire la ligne et notamment le pont sur l'avenue de la gare sont perfectibles, d'autant qu'il a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© que ce raccordement est maintenu Ă  titre dĂ©finitif. Le PLM a proposĂ© un projet avec notamment la dĂ©molition de la pile centrale du pont et l'adoucissement du profil de la route Ă  ses abords et surĂ©lĂ©vation des trottoirs. Ce projet est adoptĂ© le par le Ministre des Travaux Publics[25].

AprĂšs plusieurs demande du conseil gĂ©nĂ©ral, la crĂ©ation d'un passage souterrain est actĂ©e en 1929, lorsque la commune de Moret-les-Sablons est autorisĂ© Ă  faire un emprunt de 105 000 francs, remboursable en quatre ans par des surtaxes locales temporaires, pour pouvoir verser une subvention Ă  la compagnie PLM[26].

Gare SNCF (depuis 1938)

La ligne est électrifiée en 1950 entre Paris et la gare de Laroche - Migennes[27]. Elle est renommée Moret-Veneux-les-Sablons[alpha 4] dans les années 1970. L'activité comme de gare de triage des marchandises, en direction de Paris, a totalement disparu dans la deuxiÚme moitié du XXe siÚcle.

En 2014, une premiÚre partie de la mise en accessibilité de la gare est réalisée ; elle ne concerne que le bùtiment voyageurs[28].

En juin 2017, dĂ©bute le chantier d'amĂ©nagement du « PĂŽle Gare » qui comprend des travaux sur l'avenue de la gare, le parvis, la rue Victor-Hugo et la rue Berthelot. Il donne lieu, notamment, Ă  une rĂ©fection de la chaussĂ©e, des trottoirs, de la gare routiĂšre et du dĂ©pose minute[29]. En parallĂšle, un parking relais de 600 places est construit Ă  proximitĂ© de la gare. Son coĂ»t est de 5,7 millions d'euros, pris en charge par Île-de-France MobilitĂ©s et par la SNCF. À partir du , son utilisation peut ĂȘtre gratuite via la carte Navigo annuelle. Cette installation est complĂ©tĂ©e par un abri sĂ©curisĂ© pour vĂ©los Veligo, qui nĂ©cessite un abonnement supplĂ©mentaire au passe Navigo. L'ensemble est inaugurĂ© par ValĂ©rie PĂ©cresse[30].

En janvier 2021, dĂ©butent des travaux de mise en accessibilitĂ© des quais et des accĂšs Ă  la gare ; la durĂ©e prĂ©vue du chantier est de 18 mois et son coĂ»t de 161 000 000 euros est pris en charge par Île-de-France MobilitĂ© (50 %), par la SNCF (25 %) et par la RĂ©gion Île-de-France (25 %). Le chantier consiste Ă  installer trois ascenseurs, Ă  mettre aux normes les escaliers fixes, Ă  crĂ©er des toilettes adaptĂ©es, Ă  installer des abris voyageurs, Ă  poser des bandes de guidages, des dalles d'Ă©veil Ă  la vigilance ainsi que des balises sonores et Ă  mettre aux normes l'Ă©clairage[28]. À Moret, la municipalitĂ© dĂ©couvre que le quatriĂšme ascenseur, prĂ©vu dans le projet initial pour desservir la nouvelle gare routiĂšre, n'est pas programmĂ©. L'association MobilitĂ© rĂ©duite a saisi le DĂ©fenseur des droits et une pĂ©tition est lancĂ©e[31].

En février 2022, la municipalité réagit au risque d'une fermeture du guichet le week-end, consécutif au plan de réorganisation des lignes D et R. La SNCF indique qu'elle cherche à « développer la généralisation des services digitaux et de nouveaux équipements en gare avec par exemple la vente et la validation du passe Navigo sur smartphone »[32]. En mars 2022, une manifestation, contre la fermeture ou la réduction de l'amplitude horaire programmée des guichets de nombreuses gares de la ligne, a lieu à Moret-Veneux-les-Sablons[33].

Fréquentation

De 2015 à 2021, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare s'élÚve aux nombres indiqués dans le tableau ci-dessous[34].

Année 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Voyageurs 1 699 911 1 626 767 1 580 699 1 504 220 1 436 155 906 114 1 502 530

Service des voyageurs

Accueil

La gare dispose d'un bùtiment voyageurs, avec un guichet Transilien ouvert du lundi au vendredi de 6 h 15 à 12 h 25 et de 13 h 5 à 20 h et les samedis, dimanches et jours fériés de 6 h 45 à 12 h 25 et de 13 h 5 à 20 h. Elle est dotée de distributeurs automatiques Transilien, adaptés aux personnes à mobilité réduite[35].

Elle comporte quatre quais et six voies :

  • les deux voies de la ligne vers Lyon-Part-Dieu, voie 1L (quai 1) Ă  destination de Montereau et voie 2L (quai 2) Ă  destination de Melun ;
  • les deux voies de la ligne vers Nevers, voie 1N (quai 3) Ă  destination de Montargis et voie 2N (quai 4) Ă  destination de Melun ;
  • deux voies annexes (A et B[alpha 5]) utilisĂ©es pour l'arrĂȘt des trains rĂ©gionaux circulant entre Paris-Gare-de-Lyon et Montargis.

Un passage souterrain permet la traversée des voies et l'accÚs aux quais.

Desserte

La gare est desservie par les trains de la ligne R du Transilien (réseau Paris Sud-Est) circulant entre Paris et Montereau ou Montargis et, en complément, par des trains TER Bourgogne-Franche-Comté circulant entre Paris-Gare-de-Lyon et Laroche - Migennes. Il s'agit de la gare de bifurcation entre les deux destinations de la ligne R (Montereau et Montargis).

  • CĂŽtĂ© Paris - Montereau ou Laroche - Migennes
  • CĂŽtĂ© Paris - Montargis

Intermodalité

Des parkings, gratuits et payants d'une capacité totale de 500 places, y sont aménagés. La gare est desservie par la ligne 8B du réseau de bus STILL, par les lignes 203, 205 et 207 du réseau de bus ComÚte et par le service de transport à la demande « TàD Moret-sur-Loing ».

Patrimoine ferroviaire

Le bùtiment voyageurs, disposé perpendiculairement aux voies, entre les branches du Y de la bifurcation entre la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles (dite aussi ligne de Bourgogne) et de la Ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache (dite aussi ligne du Bourbonnais) est « l'une des gares de bifurcation les plus caractéristiques du réseau français »[10]. Par ailleurs il partage un grand nombre de points communs avec les gares construites par le PLM sur la ligne du Bourbonnais. Le bùtiment principal est constitué d'une aile basse de quatre travées (rappelant les petites gares de la section Moret - Montargis) et d'un haut corps de logis à deux étages, identique à ceux des grandes gares de la ligne du Bourbonnais qui possÚdent cependant deux ailes surélevées (contre une à Moret-Veneux-les-Sablons).

  • Le bĂątiment voyageurs
  • Le bĂątiment d'origine en 1860-1861, dĂ©truit en 1870.
    Le bùtiment d'origine en 1860-1861, détruit en 1870.
  • Vers 1900, vue du bĂątiment reconstruit en 1881 Ă  l'identique de celui dĂ©truit en 1870.
    Vers 1900, vue du bùtiment reconstruit en 1881 à l'identique de celui détruit en 1870.
  • En 2017.
    En 2017.

Un second bùtiment plus petit, d'un étage avec chiens-assis, se trouve dans l'axe du bùtiment principal et sert de buffet. La halle à marchandises, de type PLM, se trouve à proximité. Face à la gare, du cÎté de Veneux-les-Sablons, l'ancienne remise à locomotives et plusieurs bùtiments annexes sont toujours présents.

Notes et références

Notes

  1. Dans l'ouvrage de DoutĂ©, l'altitude des voies de la ligne de Paris-Lyon Ă  Marseille-Saint-Charles est de 70 m[1] et l'altitude des voies de la ligne de Moret - Veneux-les-Sablons Ă  Lyon-Perrache est de 71 m[2]. Cette diffĂ©rence peut s'expliquer par le fait que c'est une gare de bifurcation et que l'altitude est calculĂ©e au centre des voies de la ligne dans l'axe du bĂątiment voyageurs, ici des deux cĂŽtĂ©s puisque le bĂątiment et Ă©tabli entre les branches du Y de la bifurcation.
  2. La commune dite de « Veneux-Nadon » change son nom en « Veneux-les-Sablons » par un décret du [5]
  3. L'approbation du changement de nom n'a pas été retrouvé mais de nombreuses sources (notamment la presse) se mettent à utiliser le le nouveau nom de la gare.
  4. Le nom de la gare est parfois écrit « Moret - Veneux - Les Sablons » pour utiliser la typographie de la mairie, la SNCF utilisant une charte graphique standardisée qui ne permet pas la prise en compte de telles particularités.
  5. La voie A, en cul-de-sac, Ă©tant rĂ©servĂ©e aux trains Moret – Montargis.

Références

  1. Douté 2011, p. 142.
  2. Douté 2011, p. 94.
  3. Chaintreau 1987, p. 42.
  4. Plancke 1991, p. 53.
  5. Abel Rigault, « Veneux-Nadon : un nom de lieu qui disparait », L'Abeille de Fontainebleau, no 33,‎ , p. 1 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  6. François et Maguy Palau, Le rail en France : Le second Empire, t. 2 : 1858-1863, Paris, Palau, , 223 p. (ISBN 2-950-94212-1, BNF 37658881), « 5.10 Moret-Montargis : 14 août 1860 », p. 108-109.
  7. J.-M. Regnault : Veneux-les-Sablons, histoire de mon village, p. 108 et suivantes.
  8. Plancke 1991, p. 58.
  9. France MinistÚre des travaux publics, Répertoire des carriÚres de pierre de taille exploitées en 1889 : recherches statistiques et expériences sur les matériaux de construction, Paris, , 320 p. (lire en ligne), p. 296-297.
  10. Collectif, Le patrimoine de la SNCF et des chemins de fer français, t. 1, Paris, Flohic éditions, coll. « Le patrimoine des institutions économiques », , 529 p. (ISBN 2-84234-069-8), p. 141.
  11. Plancke 1991, p. 326.
  12. Conseil gĂ©nĂ©ral, « Chemin de fer ligne de Paris Ă  Lyon », [Rapports et dĂ©libĂ©rations] / Conseil gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  13. Conseil gĂ©nĂ©ral, « Chemin de fer ligne de Paris Ă  Lyon », [Rapports et dĂ©libĂ©rations] / Conseil gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Marne,‎ , p. 196 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  14. Conseil gĂ©nĂ©ral, « Chemin de fer ligne de Paris Ă  Lyon », [Rapports et dĂ©libĂ©rations] / Conseil gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Marne,‎ 1 avri1 1891, p. 192 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  15. Conseil gĂ©nĂ©ral, « Ligne du Bourbonnais », [Rapports et dĂ©libĂ©rations] / Conseil gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Marne,‎ , p. 200 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  16. Conseil gĂ©nĂ©ral, « Travaux principaux : terminĂ©s », [Rapports et dĂ©libĂ©rations] / Conseil gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Marne,‎ , p. 249 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  17. Conseil gĂ©nĂ©ral, « VƓux des Conseils Ă©lus », [Rapports et dĂ©libĂ©rations] / Conseil gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Marne,‎ , p. 242 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  18. Conseil gĂ©nĂ©ral, « Travaux principaux : travaux terminĂ©s », [Rapports et dĂ©libĂ©rations] / Conseil gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Marne,‎ , p. 242 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  19. Conseil gĂ©nĂ©ral, « Suite donnĂ©e aux vƓux Ă©mis pa le Conseil gĂ©nĂ©ral dans les sessions prĂ©cĂ©dentes : Chemin de fer de Paris Ă  Lyon », [Rapports et dĂ©libĂ©rations] / Conseil gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Marne,‎ , p. 161 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  20. PLM 1911, p. 31.
  21. PLM 1911, p. 78.
  22. PLM 1911, p. 88.
  23. PLM 1911, p. 5.
  24. « Moret », L'Abeille de Fontainebleau, no 23,‎ , p. 2 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  25. Conseil gĂ©nĂ©ral, « RĂ©seau PLM Ligne de Paris Ă  Nevers. Gare de Moret. Demande de suppression ou d'amĂ©lioration du pont provisoire », [Rapports et dĂ©libĂ©rations] / Conseil gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Marne,‎ , p. 159-160 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  26. « Moret : un souterrain Ă  la gare de Moret-les-Sablons », L'informateur de Seine-&-Marne,‎ , p. 3 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  27. Source : WikiTrains, qui est publié sous GFDL. Voir l'article de WikiTrains, ainsi que son historique pour en connaitre les auteurs.
  28. « Gare de Moret-Veneux-les-Sablons : Rendre la gare accessible à tous », sur maligner.transilien.com, (consulté le ).
  29. « Aménagement du PÎle Gare Moret - Veneux-Les Sablons » [PDF], sur Moret Seine & Loing (consulté le ).
  30. Margot Zaparucha, « Moret-Veneux-les-Sablons : la gratuité du parking relais fait des heureux », Le Parisien, (consulté le ).
  31. Geoffrey Faucheux, « Seine-et-Marne. Accessibilité à la gare de Moret : colÚre aprÚs la suppression d'un ascenseur », La République de Seine-et-Marne, (consulté le ).
  32. Geoffrey Faucheux, « Moret. Fermeture du guichet de la gare le week-end : la mairie s'indigne : Face à la potentielle fermeture du guichet de la gare de Moret - Veneux-les-Sablons le week-end, la municipalité se mobilise. », La République de Seine-et-Marne, (consulté le ).
  33. Faustine LĂ©o, « Ils exigent le maintien d’une prĂ©sence humaine dans les gares de la ligne R : Un plan de Transilien SNCF envisage de supprimer ou rĂ©duire l’amplitude horaire des guichets dans plus de 130 gares. Elus et usagers de la ligne R, qui ont manifestĂ© ce mardi Ă  Moret-Veneux-les-Sablons, ont dĂ©noncĂ© cette «dĂ©shumanisation du service public». », Le Parisien, (consultĂ© le ).
  34. « Fréquentation en gares : Moret - Veneux-les-Sablons », sur SNCF Open Data, traitement du [cf. l'onglet des informations] (consulté le ).
  35. « SNCF Transilien, Moret - Veneux-les-Sablons », sur transilien.com (consulté le ).

Bibliographie

Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

  • PLM, Chemins de fer de Paris Ă  Lyon et Ă  la MĂ©diterranĂ©e : Nomenclature des gares stations et haltes, Paris, Impr. Maulde, Doumenc, , 173 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • AndrĂ© Rasserie, Le Bourbonnais 150 ans d'histoire, Grenoble, Presses et Ă©ditions ferroviaires, , 65 p. (ISBN 2-905447-05-2). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • RenĂ©-Charles Plancke, Histoire du Chemin de fer de Seine-et-Marne, t. 1 : de la Vapeur au TGV, Aubenas, Èdition Amatteis, , 508 p. (ISBN 978-2868491053). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • Reinhard DoutĂ©, Les 400 profils de lignes voyageurs du rĂ©seau ferrĂ© français, vol. 2 : lignes 601 Ă  990, Paris, La Vie du rail, , 239 p. (ISBN 978-2-918758-44-0), « [750/1] Moret - Cosne-S/Loire et [830/1] Paris-gare de Lyon - Montreau », p. 94 et 142. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • Bernard Collardey, « De Paris Ă  Nimes La traversĂ©e du Bourbonnais et des CĂ©vennes », Rail Passion, no Hors-SĂ©rie N°27,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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