Esplas
Esplas est une commune française, située dans le nord du département de l'Ariège en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Pédaguès, ancienne appellation remplacée au XXIe siècle par la dénomination géographique de Terrefort ariégeois, constitué des terreforts de Pamiers et de Saverdun, sur la rive gauche de l'Ariège.
Esplas | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Ariège |
Arrondissement | Pamiers |
Intercommunalité | Communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées |
Maire Mandat |
Roland Campourcy 2020-2026 |
Code postal | 09700 |
Code commune | 09117 |
Démographie | |
Gentilé | Esplasiens |
Population municipale |
106 hab. (2020 ) |
Densité | 14 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 11′ 19″ nord, 1° 29′ 59″ est |
Altitude | Min. 259 m Max. 370 m |
Superficie | 7,64 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton des Portes d'Ariège |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Aure, le Latou et par divers autres petits cours d'eau.
Esplas est une commune rurale qui compte 106 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 336 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Esplasiens ou Esplasiennes.
Géographie
Localisation
- 1Carte dynamique
- 2Carte Openstreetmap
- 3Carte topographique
- 4Carte avec les communes environnantes
La commune d'Esplas se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 26 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 12 km de Pamiers[2], sous-préfecture, et à 8 km de Saverdun[3], bureau centralisateur du canton des Portes d'Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saverdun[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saint-Martin-d'Oydes (1,9 km), Brie (2,6 km), Unzent (2,7 km), Justiniac (2,8 km), Lescousse (3,9 km), Durfort (4,0 km), Marliac (4,9 km), Saint-Amans (5,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Esplas fait partie du Pédaguès, ou Podaguès, ancienne appellation remplacée au XXIe siècle par la dénomination géographique de Terrefort ariégeois[5], constitué des terreforts de Pamiers et de Saverdun, sur la rive gauche de l'Ariège[6].
Les communes limitrophes sont Brie, Durfort, Saint-Martin-d'Oydes, Saverdun et Unzent.
Géologie et relief
La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1057 - Pamiers » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[8] - [9] et sa notice associée[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 7,64 km2[11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7,73 km2[9]. L'altitude du territoire varie entre 259 m et 370 m[14].
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par l'Aure, le Latou, Rougeal et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[16] - [17].
L'Aure, d'une longueur totale de 14,7 km, prend sa source dans la commune d'Unzent et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Saverdun, après avoir traversé 6 communes[18].
Le Latou, d'une longueur totale de 17,2 km, prend sa source dans la commune de Saint-Michel et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Lèze à Saint-Ybars, après avoir traversé 7 communes[19].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune est du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[21].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[20].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] - [25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Carla Bayle », sur la commune de Carla-Bayle, mise en service en 1976[26] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[27] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 789,7 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 37 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 12,3 °C pour 1981-2010[31], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[32].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[33] - [34] - [35].
Urbanisme
Typologie
Esplas est une commune rurale[Note 6] - [36]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2] - [37]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (74,1 %), prairies (18,5 %), forêts (4,9 %), terres arables (2,5 %)[38].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux
Berdot, Couderc, Coutel, Souteils...
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 58, alors qu'il était de 53 en 2013 et de 50 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 72,5 % étaient des résidences principales, 20,6 % des résidences secondaires et 6,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,5 % des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Esplas en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (20,6 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Esplas est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[39] - [40].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[41].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune d'Esplas[42]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[43].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Esplas est classée en zone 1, à savoir zone à potentiel radon faible[44].
Histoire
Esplas existait à l'époque gallo-romaine ; il fut doté d'un château-fort au cours du Moyen Âge et dut subir les calamités des guerres de religion.
Ce village pendant un certain temps, fut appelé Saint-Étienne d'Esplas.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Esplas est membre de la communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Pamiers. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[45].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Portes d'Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[46].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2020, la commune comptait 106 habitants[Note 7], en augmentation de 10,42 % par rapport à 2014 (Ariège : +0,9 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 10] | 5,9 % | 5,6 % | 10,2 % |
Département[I 11] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 61 personnes, parmi lesquelles on compte 83,1 % d'actifs (72,9 % ayant un emploi et 10,2 % de chômeurs) et 16,9 % d'inactifs[Note 8] - [I 10]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2] - [I 13]. Elle compte 18 emplois en 2018, contre 14 en 2013 et 18 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 44, soit un indicateur de concentration d'emploi de 41,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,3 %[I 14].
Sur ces 44 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 37 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 65,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,7 % les transports en commun, 7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 23,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Activités hors agriculture
9 établissements[Note 9] sont implantés à Esplas au [I 17]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 44,4 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 9 entreprises implantées à Esplas), contre 14,2 % au niveau départemental[I 18].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 14 | 11 | 8 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 622 | 603 | 587 |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Coteaux de l'Ariège »[51]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[52]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 11] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 587 ha[52].
Culture et festivités
- Feu de la Saint-Jean (juin)
- Fête au village (août)
Lieux et monuments
Personnalités liées à la commune
- Abbé Marcel Félez (1911-2009), surnommé affectueusement "Méphisto" par ses amis de la Résistance.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
- Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[53].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune d'Esplas » (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Esplas - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Esplas - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Esplas » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Esplas » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Esplas » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Esplas » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Esplas et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Esplas et Pamiers », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Esplas et Saverdun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Esplas », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Conseil général de l'Ariège, « Atlas des paysages d'Ariège-Pyrénées », sur calameo.com, (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 350-351.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Carte géologique d'Esplas » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune d'Esplas », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille n°1057 - Pamiers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune d'Esplas », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale d'Esplas », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- « Carte hydrographique d'Esplas » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
- Sandre, « l'Aure »
- Sandre, « le Latou »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
- « Station Météo-France Carla Bayle - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Esplas et Carla-Bayle », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Carla Bayle - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Esplas et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Esplas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Esplas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune d'Esplas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Liste des risques par commune.
- « Les risques près de chez moi - commune d'Esplas », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Esplas », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque radon.
- « communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Ariège (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Esplas - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Église paroissiale Saint-Etienne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )