Durfort (Ariège)
Durfort est une commune française, située dans le nord du département de l'Ariège en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Pédaguès, ancienne appellation remplacée au XXIe siècle par la dénomination géographique de Terrefort ariégeois, constitué des terreforts de Pamiers et de Saverdun, sur la rive gauche de l'Ariège.
Durfort | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Ariège |
Arrondissement | Saint-Girons |
Intercommunalité | Communauté de communes Arize Lèze |
Maire Mandat |
Roger Buffa 2020-2026 |
Code postal | 09130 |
Code commune | 09109 |
Démographie | |
Gentilé | Durfortains |
Population municipale |
184 hab. (2020 ) |
Densité | 17 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 12′ 26″ nord, 1° 27′ 28″ est |
Altitude | Min. 245 m Max. 372 m |
Superficie | 10,98 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton d'Arize-Lèze |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Jade, le Latou et par divers autres petits cours d'eau.
Durfort est une commune rurale qui compte 184 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Ses habitants sont appelés les Durfortains ou Durfortaines.
Géographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
La commune de Durfort se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 29 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 35 km de Saint-Girons[2], sous-préfecture, et à 12 km de Lézat-sur-Lèze[3], bureau centralisateur du canton d'Arize-Lèze dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saverdun[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Villeneuve-du-Latou (1,9 km), Marliac (2,8 km), Justiniac (2,9 km), Esplas (4,0 km), Brie (5,0 km), Saint-Martin-d'Oydes (5,1 km), Le Fossat (5,3 km), Gaillac-Toulza (5,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Durfort fait partie du Pédaguès, ou Podaguès, ancienne appellation remplacée au XXIe siècle par la dénomination géographique de Terrefort ariégeois[5], constitué des terreforts de Pamiers et de Saverdun, sur la rive gauche de l'Ariège[6].
Durfort est limitrophe de huit autres communes dont une dans le département de la Haute-Garonne. Les communes limitrophes sont Artigat, Brie, Esplas, Le Fossat, Justiniac, Saint-Martin-d'Oydes, Villeneuve-du-Latou et Marliac.
C'est une commune située dans le Piémont pyrénéen entre les vallées de la Lèze et de l’Ariège, limitrophe avec le département de la Haute-Garonne.
Géologie et relief
La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles « n°1035 - Saverdun » et « n°1057 - Pamiers » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[8] - [9] et leurs notices associées[10] - [11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 10,98 km2[12] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 11,08 km2[9]. L'altitude du territoire varie entre 245 m et 372 m[15].
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Jade, le Latou, Rougeal et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[17] - [18].
La Jade, d'une longueur totale de 15,2 km, prend sa source dans la commune de Justiniac et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Cintegabelle, après avoir traversé 9 communes[19].
Le Latou, d'une longueur totale de 17,2 km, prend sa source dans la commune de Saint-Michel et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Lèze à Saint-Ybars, après avoir traversé 7 communes[20].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[22]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[23].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[21].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] - [27] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Ybars », sur la commune de Saint-Ybars, mise en service en 1987[28] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[29] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 790,3 mm pour la période 1981-2010[30]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 35 km[31], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[32], à 12,3 °C pour 1981-2010[33], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[34].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[35] - [36] - [37].
Urbanisme
Typologie
Durfort est une commune rurale[Note 6] - [38]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2] - [39]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,3 %), prairies (45,6 %), forêts (2,1 %)[40].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 91, alors qu'il était de 84 en 2013 et de 89 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 81,6 % étaient des résidences principales, 16,1 % des résidences secondaires et 2,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 64,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,7 % des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Durfort en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (16,1 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 62,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71,9 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Durfort est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[41] - [42].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[43].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Durfort[44]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[45].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[46].
Histoire
La baronnie appartenait à la famille des Durfort, seigneurs de Verniolle et co-seigneurs de Bonnac, qui était une branche installée au Pays de Foix de la famille languedocienne des Durfort-Deymes, elle-même détachée du tronc quercinois de la grande famille de Durfort qui a donné plusieurs branches ducales, les Duras, les Lorges, les Rauzan.
Le château eut à souffrir des guerres de religion, après quoi il passa en diverses mains dont les Campa, capitouls de Toulouse.
La famille de Cazals l'acheta en 1748 et l'habita jusqu'à la Révolution.
Au XIXe siècle, la ruine du château commença. Quelques paysans y logèrent encore au début du siècle. Finalement, un maquignon de Pamiers l'acquit pour récupérer les bois et les tuiles avec lesquels il réparait ses maisons[47].
Villeneuve-Durfort (nom de la commune depuis la Révolution) devient Durfort (ordonnance du ) ; reprend le nom de Villeneuve-Durfort par ordonnance du .
L’arrêté préfectoral du scinde la commune en deux : Durfort et Villeneuve-du-Latou[48].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Durfort est membre de la communauté de communes Arize Lèze[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Fossat. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[49].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Arize-Lèze pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[50].
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[51] - [52].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1931. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[54].
En 2020, la commune comptait 184 habitants[Note 7], en augmentation de 22,67 % par rapport à 2014 (Ariège : +0,9 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Durfort fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture et festivités
Un foyer rural est actif.
Activités sportives
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 58 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 132 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 250 €[I 10] (19 820 € dans le département[I 11]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 12] | 13,6 % | 7,4 % | 10,1 % |
Département[I 13] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 14] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 103 personnes, parmi lesquelles on compte 68,1 % d'actifs (58 % ayant un emploi et 10,1 % de chômeurs) et 31,9 % d'inactifs[Note 9] - [I 12]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2] - [I 15]. Elle compte 21 emplois en 2018, contre 26 en 2013 et 28 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 60, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,2 %[I 16].
Sur ces 60 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 81,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 18,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].
Activités hors agriculture
7 établissements[Note 10] sont implantés à Durfort au [I 19]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 7 entreprises implantées à Durfort), contre 14,4 % au niveau départemental[I 20].
Agriculture
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Coteaux de l'Ariège »[61]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'ovins et de caprins[62].
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 23 | 20 | 14 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 895 | 1013 | 992 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole[Note 12] de 1988 à 20 en 2000 puis à 14 en 2010[62], soit une baisse de 39 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[64]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 895 ha en 1988 à 992 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 39 à 71 ha[62].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin de Durfort à clocher-mur[65].
- Ancien château féodal en ruine (propriété privée), ancienne propriété imposante de la famille de Campa (noblesse parlementaire toulousaine).
Personnalités liées à la commune
- Pierre de Campa, seigneur et baron de Durfort, capitoul de Toulouse en 1719.
- Max-Firmin Leclerc (1923-2014), écrivain et réalisateur de télévision, a vécu à Maloureille de 1974 à 1988.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13] - [14]
- Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[24].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[63].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Durfort » (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Durfort - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Durfort - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Durfort » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Durfort » (consulté le ).
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- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Durfort » (consulté le ).
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Autres sources
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- Stephan Georg, « Distance entre Durfort et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
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- « Communes les plus proches de Durfort », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Conseil général de l'Ariège, « Atlas des paysages d'Ariège-Pyrénées », sur calameo.com, (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 350-351.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Carte géologique de Durfort » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Durfort », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille n°1035 - Saverdun de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
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- Sandre, « la Jade »
- Sandre, « le Latou »
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