Courgeac
Courgeac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Courgeac | |||||
Ăglise de Courgeac. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Charente | ||||
Arrondissement | AngoulĂȘme | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Lavalette Tude Dronne | ||||
Maire Mandat |
Sebastien Claude François Piot 2020-2026 |
||||
Code postal | 16190 | ||||
Code commune | 16111 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Courgeacois | ||||
Population municipale |
174 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 9,4 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 23âČ 42âł nord, 0° 05âČ 08âł est | ||||
Altitude | Min. 74 m Max. 177 m |
||||
Superficie | 18,42 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Tude-et-Lavalette | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Charente
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
GĂ©ographie
Localisation et accĂšs
Courgeac est une commune du Sud Charente située 4 km à l'ouest de Montmoreau, le chef-lieu de son canton.
La commune est aussi situĂ©e Ă 10 km au sud-est de Blanzac, 14 km au nord de Chalais, 21 km Ă l'est de Barbezieux et 29 km au sud d'AngoulĂȘme[2].
La route dĂ©partementale 24 allant de Montmoreau Ă Barbezieux traverse la commune d'ouest en est et passe Ă 300 m au nord du bourg. La D 70 et la D 141 se croisent au bourg. La D 10, route de Montmoreau Ă Blanzac, ChĂąteauneuf et Cognac passe en limite nord de commune prĂšs de Saint-Eutrope. La D 674, route d'AngoulĂȘme Ă Libourne, passe Ă Montmoreau[3].
La gare la plus proche est celle de Montmoreau, desservie par des TER Ă destination d'AngoulĂȘme et de Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
La commune compte quelques petits hameaux comme, au nord, Bourné, son chùteau et son ancienne abbaye, Chabreville et son chùteau, le Dinet, et au sud du bourg, Valy, ainsi que de nombreuses fermes[3].
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
Géologiquement, la commune est située dans les coteaux calcaires du Bassin aquitain datant du Crétacé supérieur, comme toute la moitié sud du département de la Charente.
On trouve le Campanien, calcaire crayeux, sur une grande partie de la surface communale. Les sommets au nord, à l'ouest et au sud sont recouverts de dépÎts du Tertiaire (Lutétien et Cuisien) composés de galets, sables et argiles, propices aux bois de chùtaigniers[4] - [5] - [6].
Le territoire communal est vallonné et fait partie des coteaux du Montmorélien. Le point culminant est à une altitude de 177 m, situé au nord sur la route de Blanzac en limite avec Saint-Eutrope. Le point le plus bas est à 74 m, situé le long de la Gaveronne au sud-est. Le bourg est à 100 m d'altitude[3].
RĂ©seau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente et le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Gaveronne, le ruisseau du Plain, le ruisseau de la Font Désirade et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[8] - [Carte 1].
La Gaveronne, affluent de la Tude qui passe Ă Montmoreau et Chalais, traverse le sud de la commune d'ouest en est. Le ruisseau du Plain descend de Chabreville et passe Ă l'est du bourg, oĂč il rejoint la Charmille qui descend du nord-ouest avant de se jeter dans la Gaveronne[3]. La Gaveronne Ă©tait aussi orthographiĂ©e la Cavronne au dĂ©but du XXe siĂšcle[9].
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par les schĂ©mas d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin Charente[10]. Le SAGE « Isle - Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[11]. Ils dĂ©finissent chacun sur leur territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [12].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Natura 2000
Arrosé par la Gaveronne, un affluent de la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espÚces animales européennes menacées[13] - [14].
Seize espÚces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[13].
- un amphibien : le Sonneur Ă ventre jaune (Bombina variegata) ;
- un crustacĂ©, l'Ăcrevisse Ă pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- six insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), le Cerf-volant (mùle) ou la Grande biche (femelle) (Lucanus cervus), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- cinq mammifÚres : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et trois chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-six autres espÚces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.
ZNIEFF
à Courgeac, sur un périmÚtre quasi identique à celui du site Natura 2000 ci-dessus, la vallée de la Gaveronne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[15] - [16].
Vingt-deux espÚces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[15] :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacĂ©, l'Ăcrevisse Ă pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptÚres : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laßches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifĂšres : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin Ă moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la SĂ©rotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pĂȘcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prĂ©s (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espÚces animales (quatre mammifÚres et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[15].
Urbanisme
Typologie
Courgeac est une commune rurale[Note 1] - [17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (62,1 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (62,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (37,4 %), terres arables (32,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (27,6 %), prairies (2,1 %), zones urbanisĂ©es (0,5 %), cultures permanentes (0,2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Courgeac est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].
Courgeac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du bois de l'Homme mort et chĂąteau de la Faye. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© pour la pĂ©riode 2017-2026, faisant suite Ă un plan 2007-2016[25]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du rĂšglemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 2] - [25] - [26] - [27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 83,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 117 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 93 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 79 %, Ă comparer aux 81 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[23].
Toponymie
Les formes anciennes attestées sont Corgiaco au XIVe siÚcle[30], Gorgiaco[31].
L'origine du nom de Courgeac remonterait à un nom de personne Gorgius, gallo-romain dérivé d'un nom gaulois gorgo-, ou latin Curvius, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine de Gorgius »[32] - [33].
Histoire
Les ruisseaux faisaient autrefois mouvoir quelques moulins, disparus bien avant le XXe siĂšcle[9].
Le territoire de Courgeac abritait l'abbaye du Bournet. Située dans un vallon au lieu-dit Chùteau de Bourné, elle fut fondée en 1113 par Géraud de Salles et fut bénédictine puis cistercienne.
La paroisse de Courgeac faisait partie du diocĂšse d'AngoulĂȘme et de l'Angoumois. Elle dĂ©pendait de la seigneurie de Montmoreau.
Administration
DĂ©mographie
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[35].
En 2020, la commune comptait 174 habitants[Note 3], en diminution de 15,53 % par rapport Ă 2014 (Charente : â0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 25,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 36,9 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,3 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 88 hommes pour 91 femmes, soit un taux de 50,84 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
Agriculture
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrÎlée du cognac[40].
Lieux et monuments
- L'Ă©glise paroissiale, du XIIe siĂšcle, est inscrite comme monument historique depuis 1925 (chĆur et abside)[41].
- Les vestiges de l'abbaye du Bournet se trouvent au nord de la commune, en direction de Nonac.
- Le chĂąteau de Chabreville, prĂšs de Saint-Eutrope.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 7 mĂštres minimum de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Courgeac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous GĂ©oportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Courgeac », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Chùteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 148
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site « VallĂ©e de la Tude », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Courgeac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre lâincendie 2017 â 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consultĂ© le )
- « ArrĂȘtĂ© portant classement de massifs forestiers et obligation de dĂ©broussaillement. », sur www.charente.gouv.fr, (consultĂ© le )
- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Courgeac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, Ă©vĂȘque d'AngoulĂȘme [« Liber feodorum »], t. 5, SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique de la Charente, (1re Ă©d. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 194
- Jean Nanglard, PouillĂ© historique du diocĂšse d'AngoulĂȘme, t. II, AngoulĂȘme, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 340
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 220.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Courgeac (16111) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Charente (16) », (consultĂ© le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- « Ăglise de Courgeac », notice no PA00104346, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture