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Chauffry

Chauffry (prononcĂ© [ ʃɔ.ˈfʁi]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France.

Chauffry
Chauffry
La mairie et la salle des fĂȘtes.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Richard Warzocha
2020-2026
Code postal 77169
Code commune 77106
DĂ©mographie
Gentilé Cauffériens
Population
municipale
1 024 hab. (2020 en augmentation de 0,29 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 198 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 48â€Č 47″ nord, 3° 10â€Č 56″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 155 m
Superficie 5,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Coulommiers
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Chauffry
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Chauffry
Liens
Site web https://www.chauffry.fr/fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Chauffry dans le département de Seine-et-Marne.

    Chauffry est situĂ© Ă  environ 8,5 km par la route Ă  l'est de Coulommiers[1] - [Note 1].

    Elle est dituée dans le périmÚtre du projet de parc naturel régional de la Brie et des deux Morin[2].

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 75 mĂštres Ă  155 mĂštres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant Ă  environ 122 mĂštres d'altitude (mairie)[3]. Elle est classĂ©e en zone de sismicitĂ© 1, correspondant Ă  une sismicitĂ© trĂšs faible[4].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Chauffry.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,31 km[9].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[11]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le syndicat Mixte d'AmĂ©nagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifiĂ© de « structure porteuse »[12].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,9 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 757 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,5 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -2,3 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[13].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  44 km Ă  vol d'oiseau[14], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[15] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17] - [18] - [19].

    Urbanisme

    Typologie

    Chauffry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [20] - [21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23] - [24].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (90,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (69,1% ), zones urbanisĂ©es (10,3% ), forĂȘts (9,6% ), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,1% ), prairies (5 %)[25].

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[26] - [27] - [Carte 1]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 83 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[28] (source : le fichier Fantoir) dont les Corvelles, Monthomé, les Limons.

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 447, alors qu'il Ă©tait de 430 en 2014 et de 398 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 89,2 % étaient des résidences principales, 4,5 % des résidences secondaires et 6,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,1 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chauffry en 2019 en comparaison avec celle de Seine-et-Marne et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,5 %) supérieure à celle du département (3 %) et à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,5 % en 2014), contre 61,8 % pour la Seine-et-Marne et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement Ă  Chauffry en 2019.
    Typologie Chauffry[I 1] Seine-et-Marne[I 4] France entiĂšre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 89,2 90,2 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,5 3 9,7
    Logements vacants (en %) 6,3 6,8 8,2

    Planification de l'aménagement

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT du Bassin de vie de Coulommiers, approuvĂ© le et portĂ© par le syndicat intercommunal d’étude et de programmation (SIEP) de Coulommiers[29].

    La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[30].

    Voies de communication et transports

    Chauffry est desservi par les lignes de bus 09, 10, 27 et 29 du réseau de bus Brie et 2 Morin.

    Toponymie

    La localité a été désignée sous les formes Eschauferies en 1210[31] - [32] ; Eschaufferiacum en 1353[33] ; Eschaufferies en 1415[34] ; Les Chaufferies en 1416[35] ; Chaufery[36] en 1757 (Cassini).

    L'étymologie du nom du village n'est pas élucidée.

    Histoire

    Moyen Âge

    La paroisse de Chauffry, placĂ©e sous l'Ă©gide de l'archidiaconĂ© de Brie[37], est crĂ©Ă©e au XIIIe siĂšcle. Ses bĂ©nĂ©ficiaires de la dĂźme, les dĂ©cimateurs, sont l’abbesse de Notre-Dame de Jouarre et le curĂ© de Chauffry[37]. Elle est alors placĂ©e sous le vocable de Saint-Sulpice[38], Ă©vĂȘque de Bourges en 584.

    Temps modernes

    Sous l'Ancien régime, Chauffry était sous la seigneurie du marquis de Tresnel puis du comte d'Arville[39]. Ils possédaient des droits de haute, moyenne et basse justice.

    Époque contemporaine

    L'Ă©glise menaçant de s'Ă©crouler, le curĂ© de 1820[40] envoie une lettre Ă  l'Ă©vĂȘque de Meaux afin de recevoir de lui une aide financiĂšre pour en reconstruire une neuve. Vingt ans aprĂšs, sa demande est acceptĂ©e [41]. La commune l'a alors dĂ©molie et en a reconstruit une autre prĂšs du presbytĂšre de Chauffry Ă  l'actuelle no 23 rue de la Mairie en 1847 afin de lier le bourg de Chauffry et le hameau des Limons. Elle est placĂ©e sous le vocable de l'ImmaculĂ©e CƓur de Marie[38] et bĂ©nie par l'Ă©vĂȘque de Meaux, Mgr Auguste Allou en 1847[42].

    Au début du XXe siÚcle, la Société Nobel française (SNF), une usine qui fabrique des poupées en celluloïd, s'installe à Chauffry et fait vivre la population rurale de Chauffry en embauchant 250 ouvriÚres dans la plus grande de ses 5 usines, qui était toujours en activité en 1953[43].

    L'église de l'Immaculée-Conception menaçant ruine, est démolie vers 1980, et une nouvelle et derniÚre église reconstruite en 1986 à l'emplacement de la toute premiÚre église du XIIIe siÚcle. Le clocher à toiture en bùtiÚre, élément typique de la région au XIIIe siÚcle a été restauré[40].

    En 2008, la ville de Coulommiers et les communes environnantes (Mouroux, Boissy-le-ChĂątel, Aulnoy, Chailly-en-Brie, Faremoutiers, Pommeuse, Giremoutiers, Saint-Germain-sous-Doue entre autres) ont Ă©tĂ© choisies pour ĂȘtre les premiĂšres Ă  passer au tout numĂ©rique pour la diffusion de la tĂ©lĂ©vision hertzienne. Depuis le , l'Ă©metteur de Mouroux, site des Parrichets, diffuse la TNT. L'extinction du signal analogique a eu lieu le [44].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune était intégrée à l'arrondissement de Provins du département de Seine-et-Marne.

    Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intÚgre le l'arrondissement de Meaux[45].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la quatriÚme circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rebais[46]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intÚgre le canton de Coulommiers.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes de la Brie des Templiers, créée en 1999.

    Le , celle-ci fusionne avec la communauté de communes Avenir et développement du secteur des Trois RiviÚres pour former la communauté de communes du Pays de Coulommiers.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale (SDCI) de Seine-et-Marne prescrit sa fusion avec la communautĂ© de communes de la Brie des moulins.

    La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie est ainsi créée le , dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[47]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1805 1805 Jean Gédéon Laniesse
    Les données manquantes sont à compléter.
    1925 1931 Alfred Simonnet
    Les données manquantes sont à compléter.
    1979 mars 2008 Gilbert Declercq[Note 7] Agriculteur
    mars 2008 2014[48] Philippe Chollet PCF
    2014[49] juillet 2021 Stéphane Halloo DVD
    juillet 2020[50] - [51] En cours
    (au 7 février 2022[52])
    Richard Warzocha

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [53] - [54].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Chauffry est assurée par le SITEU de Chauffry, Saint-Rémy, Saint-Siméon pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [55] - [56] - [57].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[58]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[55] - [59].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [55] - [60] - [61].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classĂ©es en zone de rĂ©partition des eaux (ZRE), signifiant un dĂ©sĂ©quilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce dĂ©sĂ©quilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualitĂ© en permanence sur le territoire du dĂ©partement, le troisiĂšme Plan dĂ©partemental de l’eau signĂ©, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sĂ©curisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© et publiĂ© en dĂ©cembre 2020 un schĂ©ma dĂ©partemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont dĂ©finis. La commune fait partie du secteur Coulommiers[62].

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Saint-Denis-lÚs-Rebais dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). Le groupe scolaire de Chauffry, dénommé Gilbert-Declercq en remerciement à l'ancien maire, a été construit entre 2008 à 2010 et dispose d'une cantine et d'un accueil périscolaire[63] - [64].

    Ils poursuivent leusr études au collÚge Jacques-Prévert de Rebais.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[66].

    En 2020, la commune comptait 1 024 habitants[Note 8], en augmentation de 0,29 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    442446462480485502479504514
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    505484494452453422416394378
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    390442490466483455478447408
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    424408456662762850903904992
    2015 2020 - - - - - - -
    1 0191 024-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee Ă  partir de 2006[67].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Divers événements ont lieu dans la commune. Ces événements incluent notamment les brocantes et lotos.

    Sports et loisirs

    On peut noter les associations portives suivantes :

    • Section gymnastique de l'Association Chauffry loisirs, membre de la FFEPGV (fĂ©dĂ©ration française d'Ă©ducation physique et de gymnastique volontaire).
    • Acti-gym : gymnastique volontaire et activitĂ©s adaptĂ©es seniors.

    La commune a éménagé en 2021 un parc multisports situé derriÚre la mairie[68].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 393, reprĂ©sentant 1 070 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 24 250 euros[69].

    Emploi

    En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 91, occupant 475 actifs rĂ©sidants (dont 8,4 % dans la commune de rĂ©sidence et 91,6 % dans une commune autre que la commune de rĂ©sidence).

    Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  70,9 % contre un taux de chĂŽmage de 6,3 %. Les 22,7 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 7,8 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 7,4 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 7,5 % pour les autres inactifs[70].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unitĂ©s lĂ©gales et d’établissements (activitĂ©s marchandes hors agriculture) par secteur d'activitĂ© Ă©tait de 62 dont 6 dans l’industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres, 18 dans la construction, 13 dans le commerce de gros et de dĂ©tail, transports, hĂ©bergement et restauration, 1 dans les activitĂ©s immobiliĂšres, 7 dans les activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, scientifiques et techniques et activitĂ©s de services administratifs et de soutien, 10 dans l’administration publique, enseignement, santĂ© humaine et action sociale et 10 Ă©taient relatifs aux autres activitĂ©s de services[71].

    En 2020, 5 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 4 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hîtel et de terrain de camping[72].

    Agriculture

    Chauffry est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux riviÚres, en limite de la Brie[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[73].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[74]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 6 en 1988 Ă  5 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 61 ha en 1988 Ă  99 ha en 2010[73]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Chauffry, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Chauffry entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[73] - [Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 6 6 5
    Travail (UTA) 8 12 11
    Surface agricole utilisée (ha) 368 384 495
    Cultures[75]
    Terres labourables (ha) 340 334 443
    Céréales (ha) 226 s 286
    dont blé tendre (ha) 177 146 176
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 41 s 86
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) s s s
    Élevage[73]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 234 100 118

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'ancienne Ă©cole, autrefois  mairie-Ă©cole.
      L'ancienne Ă©cole, autrefois mairie-Ă©cole.
    • L'Ă©glise Saint-Sulpice en 2013.
      L'Ă©glise Saint-Sulpice en 2013.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Chauffry », p. 1281–1282

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées par la voie routiÚre à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Nature en attente de mise Ă  jour.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    7. Le groupe scolaire de la commune porte le nom de ce maire depuis 2021.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
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