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Châteauneuf-la-Forêt

Châteauneuf-la-Forêt (Chasteu Nuòu en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Châteauneuf-la-Foret
Châteauneuf-la-Forêt
L'église et le monument aux morts
Blason de Châteauneuf-la-Foret
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Briance-Combade
(siège)
Maire
Mandat
Françoise Rivet
2020-2026
Code postal 87130
Code commune 87040
Démographie
Population
municipale
1 524 hab. (2020 en diminution de 7,19 % par rapport à 2014)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 50″ nord, 1° 36′ 25″ est
Altitude Min. 336 m
Max. 644 m
Superficie 29,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eymoutiers
Législatives Première circonscription
Localisation
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Châteauneuf-la-Foret
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Liens
Site web chateauneuf-la-foret.fr

    Géographie

    Situation de la commune de Châteauneuf-la-Forêt en Haute-Vienne.

    Situation

    Châteauneuf-la-Forêt est à 35 km de Limoges par la D 979 et à 19 km d'Eymoutiers par le même axe routier. Elle se situe sur la D 15, qui rejoint la D 979 dans la commune de Neuvic-Entier[1] et part ensuite vers Linards et se poursuit en traversant la Haute-Vienne jusqu'au Nord de la Dordogne. Elle est aussi traversée par la D 16 (en partie sur le trajet de la D 15) qui relie la Creuse via Bujaleuf et Neuvic-Entier à Saint-Germain-les-Belles. Les villes importantes proches de Châteauneuf-la-Forêt, en dehors de Limoges, sont Tulle à 70 km, Guéret à 75 km et Ussel à 75 km.

    La commune accueillait, jusqu'à la mise en place des nouvelles régions, le centre géographique de la région Limousin. Il se trouve à environ km au Sud du village de Murat et 200 m à l'Ouest de la D 39.

    L'altitude de la commune varie de 326 m, sur la rivière Combade (qui borde imparfaitement la commune au nord), à près de 642 m au sud sur une hauteur qui surplombe le village de Venouhant aux limites de la commune et de celles de Saint-Méard et Sussac. Châteauneuf-la-Forêt est située à une altitude moyenne de 360 mètres. C'est une région très vallonnée.

    La commune a une superficie de 29,25 km2 et avait 1 640 hab. (en 2011) appelés les Castelneuviens et les Castelneuviennes[2].

    Voies de communication et transports

    • Une ligne SNCF Limoges-Ussel qui fut inaugurée en 1880, dont la plus proche gare, celle de Châteauneuf - Bujaleuf, est à km du bourg, au nord de la commune de Neuvic-Entier.
    • Un service d'autocars de la RTHV existe aussi en partance de Limoges vers Eymoutiers. Il reprend le trajet d'une ancienne ligne de tramways des Chemins de fer départementaux de la Haute-Vienne fermée en 1949.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 160 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Eymoutiers », sur la commune d'Eymoutiers, mise en service en 1998[9] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 182,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 32 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Châteauneuf-la-Forêt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,8 %), forêts (42,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), zones urbanisées (5,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Châteauneuf-la-Forêt est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Châteauneuf-la-Forêt.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 34,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Châteauneuf-la-Forêt est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[26].

    Toponymie

    Châteauneuf est mentionné entre 1032 et 1051 sous la forme Castello novo, et au génitif Castelli Novi vers 1127 ; la forme occitane la plus ancienne est Chastellnou, vers 1170[27].

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-Combade[28].

    Histoire

    C’est à Châteauneuf-la-Forêt que la tradition situe l’apparition que saint Antoine de Padoue (1195-1231) aurait eue de l’Enfant-Jésus. Au XVe siècle, il semblerait que le grand prieur d'Auvergne Jean Cottet ait été en même temps le seigneur de la seigneurie de Laron à Châteauneuf-la-Forêt. Elle se situait, à l'époque 1450/1476 et après, près d'un gué sur la Combade. Il y aurait eu une souveraine de Savignac qui aurait été châtelaine et mariée avec François de Cottet.

    Le château qui a donné son nom à la commune n'existe plus. Il a été démantelé pendant la Révolution française de 1789 et complètement rasé au début du XIXe siècle. Il ne reste que les murs d'enceinte et les souterrains[29].

    De nombreux moulins existaient le long de la Combade, certains ont été transformés au début du XXe siècle en moulins à broyer la paille nécessaire à la fabrication du papier[30].

    De 1913 à 1949, une ligne de tramway électrique existait, reliant Limoges à Peyrat-le-Château[29].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1935 mars 1971 René Regaudie SFIO Député, président du conseil général
    mars 1971 1985 Michel Sinibaldi PSU Ingénieur TPE
    1985 mars 1989 Robert Dumeylet
    mars 1989 1994 Claude Dupré DVD Conseiller départemental
    1994 mars 2001 Jean-Pierre Bonneval UDF
    mars 2001 2002 Micheline Piedfort
    2002 mars 2014 Marc Montaudon[31] PCF
    mars 2014 mai 2020 Jean Bariaud DVD
    mai 2020 En cours Françoise Rivet sans étiquette Masseur-kinésithérapeute

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2020, la commune comptait 1 524 habitants[Note 9], en diminution de 7,19 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1211 1601 1541 2711 3841 3661 3451 5311 514
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4681 5051 5211 4881 5051 5071 6361 7441 747
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7741 8561 8911 6832 0042 0262 0862 0662 023
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 1012 0982 1691 9841 8051 6131 6161 6161 640
    2017 2020 - - - - - - -
    1 5241 524-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Éducation et sports

    • Une école primaire « Sanfourche » inaugurée à la rentrée de septembre 2014[35].
    • Un collège
    • Un gymnase : badminton, judo, handball, VTT, football.

    Économie

    • Ferme pédagogique sur le territoire de la communauté de communes : ferme de la Ribière de Bord à Châteauneuf-la-Forêt.
    • La papeterie fondée par Eugène Degrassat en 1890[36], est devenue aujourd'hui une cartonnerie.
    • Une usine de fabrication de Palettes est installée sur la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Eugène Mordant (1885-1959), général de corps d'armée français y est né. Il a dirigé les réseaux français de résistance en Indochine face au Japon durant la Seconde Guerre mondiale.
    • Jean Cruveilhier (1791-1874), médecin, chirurgien, anatomiste et pathologiste français. Il fut chirurgien des Hôpitaux, membre de l’Académie de Médecine, et premier titulaire de la chaire d’anatomo-pathologie de la Faculté de médecine de Paris, son grand-père était également de la commune.
    • René Regaudie (1908-2000), homme politique français. Il était pharmacien. Il fut maire de Châteauneuf-la-Forêt de 1935 à 1971 et conseiller général du canton de Châteauneuf-la-Forêt de 1935 à 1942 et de 1945 à 1982. Il a présidé le conseil général de la Haute-Vienne de 1955 à 1982. Il fut aussi député de la Haute-Vienne de 1946 à 1973.
    • Adrien Tarrade (1844-?), maire de Limoges de 1885 à 1887[41], et frère aîné des deux suivants y est né.
    • Paul Tarrade (1849-1929), né à Châteauneuf-la-Forêt, pharmacien installé à Limoges et à Saint-Junien, adjoint au maire de Limoges.
    • Firmin Tarrade (1855-1916), médecin et député-maire de Châteauneuf y est né.
    • Georges Guingouin (1913-2005), résistant et homme politique français, militant jusqu'en 1952 du Parti communiste français (PCF). Il joue un rôle de premier plan dans la résistance, se fait appeler « Raoul » en étant à la tête des maquis de la montagne limousine (il est surnommé « lou Grand » et le « Préfet du Maquis »). Il se cacha ici dans un abri souterrain creusé dans les bois environnant le village. Un musée retrace l'histoire de la résistance limousine et l'abri souterrain a été reconstitué et se visite.

    Héraldique

    Blason de Châteauneuf-la-Forêt Blason
    Écartelé: aux 1er et 4e de gueules au château de trois tours d'or, ouvert du champ et ajouré de sable (Maison de Châteauneuf), aux 2e et 3e d'azur à la croix ancrée d'argent (Maison d'Aubusson); sur le tout, de sable au lion d'or (Maison de Pierre-Buffière).
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Châteauneuf-la-Forêt
    Alias du blason de Châteauneuf-la-Forêt
    De sable au lion d'or.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Loup Deredempt, Parfums de Belle-Époque autour du Mont-Gargan, Neuvic-Entier, Les éditions La Veytisou, (ISBN 2-907261-31-2), p. 175.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. (fr) « Carte satellite », sur Google maps (consulté le ).
    2. (fr) « Châteauneuf-la-Forêt (87130) », sur habitants.fr (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Eymoutiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Châteauneuf-la-Forêt et Eymoutiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Eymoutiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Châteauneuf-la-Forêt et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Châteauneuf-la-Forêt », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    27. Yves Lavalade, Dictionnaire toponymique de la Haute-Vienne, Lucien Souny, (ISBN 2-911551-40-0), p. 121..
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Deredempt 1993, p. 67.
    30. Deredempt 1993, p. 75
    31. (fr) Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Ecole Maternelle - Chateauneuf-la-foret.fr », sur Chateauneuf-la-foret.fr (consulté le ).
    36. « Usine de Papeterie à Châteauneuf-la-Forêt (87) », notice no IA00031323, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Première Église paroissiale Sainte-Marie-la-Claire, détruite », notice no IA00031313, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Église paroissiale de la Nativité-de-la-Très-Sainte-Vierge, dite Sainte-Marie-la-Claire », notice no IA00031314, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Monument aux morts », notice no IA00031325, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Dolmen de Sainte-Marie », notice no PA00100277, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Henri Demay, Limousins à la Une, Neuvic-Entier, Éditions de La Veytizou, (ISBN 2-907261-22-3), p. 253..


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