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Cabestany

Cabestany est une commune française située dans le nord-est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Cabestany
Cabestany
La mairie.
Blason de Cabestany
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Perpignan Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Édith Pugnet
2021-2026
Code postal 66330
Code commune 66028
DĂ©mographie
Gentilé Cabestanyencs
Population
municipale
10 368 hab. (2020 en augmentation de 7,07 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 995 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 40â€Č 52″ nord, 2° 56â€Č 36″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 53 m
Superficie 10,42 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Perpignan
(banlieue)
Aire d'attraction Perpignan
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Perpignan-3
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Cabestany
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Cabestany
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Cabestany
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Cabestany
Liens
Site web ville-cabestany.fr

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Fosseille et par un autre cours d'eau.

    Cabestany est une commune urbaine qui compte 10 368 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomĂ©ration de Perpignan et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelĂ©s les Cabestanyencs ou Cabestanyenques.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Cabestany se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Perpignan[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[2] : Saleilles (3,0 km), Saint-Nazaire (4,3 km), Perpignan (4,4 km), ThĂ©za (4,8 km), Villeneuve-de-la-Raho (5,3 km), AlĂ©nya (5,5 km), Bompas (5,7 km), Canet-en-Roussillon (6,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Cabestany fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[3] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[4].

    Communes limitrophes de Cabestany[5]
    Perpignan Canet-en-Roussillon
    Cabestany
    Saleilles Saint-Nazaire
    Situation de Cabestany.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 042 hectares. L'altitude varie entre 0 et 53 mĂštres[6].

    La commune est classée en zone de sismicité 9, correspondant à une sismicité trÚs élevée[7].

    Hydrographie

    Cabestany est situĂ©e dans la plaine cĂŽtiĂšre du Roussillon, juste au sud-est de Perpignan, Ă  proximitĂ© de l'Ă©tang de Canet-Saint-Nazaire. Son territoire s'Ă©tend entre les fleuves de la TĂȘt (la Tet) et du RĂ©art. Il s'agit pour l'ensemble d'une ancienne zone marĂ©cageuse, occupĂ©e autrefois par des Ă©tangs aujourd'hui assĂ©chĂ©s.

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[8] - [9] - [10].

    Toponymie

    Le nom catalan de la commune (de Cap, « TĂȘte Â» et « Estany Â», lac) n’a pas Ă©tĂ© francisĂ© (du latin caput et stagni, mĂȘme sens)[11].

    Les premiĂšres mentions du nom sont Cabestagnium en 927 et Caput stagnum en 1042[12].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[14].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[13].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 15,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 11,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 597 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 5,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[16] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[17] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924[18] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[19] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[20], Ă  15,7 °C pour 1981-2010[21], puis Ă  16,1 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Cabestany est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [23] - [I 2] - [24]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Perpignan, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 15 communes[I 3] et 201 061 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (64 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (76,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (58,5 %), zones urbanisĂ©es (31,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,3 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (4,1 %), prairies (0,2 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Place Abbé Michel Matton.

    Le territoire agricole de Cabestany, essentiellement consacré à la vigne, s'est considérablement rétréci depuis une trentaine d'années avec l'extension des zones pavillonnaires. Dans le cadre de son Plan local d'urbanisme (2010), une ceinture verte aura vocation à préserver une partie du territoire de l'urbanisation forte de la plaine du Roussillon.

    Cabestany constitue une banlieue résidentielle proche de Perpignan.

    Logement

    Cabestany comprend en 2012 4 195 logements, parmi lesquels 93,6 % sont des rĂ©sidences principales, 1,6 % sont des rĂ©sidences secondaires et 4,8 % sont vacants. 74,5 % des mĂ©nages sont propriĂ©taires de leur logement[I 8].

    Faute d'avoir respectĂ© l'objectif triennal 2011-2013 de construction de logements sociaux, avec 100 rĂ©alisĂ©s sur les 151 requis (soit un taux de rĂ©alisation de 66 %), la commune se voit infliger par la prĂ©fecture en 2015 une pĂ©nalitĂ© de 67 000 euros[26].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par plusieurs lignes du réseau urbain Sankéo : la ligne 4 la relie à la gare de Perpignan, et la ligne 22 la relie au centre de Perpignan ou à sa gare routiÚre. La ligne 542 du réseau régional liO dessert également la commune, en la reliant à la gare de Perpignan et à Saint-Cyprien.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Cabestany est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matiÚres dangereuses[27] - [28].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du RĂ©art. La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Perpignan-Saint-Cyprien, regroupant 43 communes du bassin de vie de l'agglomĂ©ration perpignanaise, un des 31 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s le sur le bassin RhĂŽne-MĂ©diterranĂ©e. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[29] - [30].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[31]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaßtre les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomÚne[32].

    • Carte des zones inondables.
      Carte des zones inondables.
    • Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des argiles.
      Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[33].

    Histoire

    Le monument aux morts.

    À la suite de la requĂȘte en 1762 des habitants de Cabestany, un curĂ© perpĂ©tuel est affectĂ© Ă  la paroisse. La reprĂ©sentation en incombe alors Ă  l'ordre de Malte[34].

    Le , pendant la guerre du Roussillon, eu lieu le combat de Cabestany ou 400 fantassins et 400 cavaliers du général espagnol Antonio Ricardos massacrÚrent les soldats de la République et une partie de la population[35].

    Une partie de la commune de Cabestany est détachée le pour former la nouvelle commune de Saleilles[34].

    Le , une commémoration par la ville de Cabestany du centenaire de l'armistice a été faite, avec un discours du maire, une lecture de lettres de poilus par des élÚves du collÚge local, un chant de La Marseillaise, ainsi qu'un lùcher de ballons aux couleurs du drapeau français.

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune de Cabestany est incluse dans le canton d'Elne. Elle est rattachée en 1801 au canton de Perpignan-Est. Elle rejoint briÚvement en 1982 le canton de La CÎte Radieuse avant de revenir en 1985 au canton de Perpignan-3[34] - [6].

    À compter des Ă©lections dĂ©partementales de 2015, la commune demeure dans le canton de Perpignan-3, dont les limites ont cependant Ă©tĂ© remaniĂ©es.

    Intercommunalité

    La ville fut enclavĂ©e dans le territoire de Perpignan MĂ©diterranĂ©e MĂ©tropole par l'adhĂ©sion de la ville de Saleilles. Cabestany et son maire communiste Jean Vila, refusĂšrent d'ailleurs d'y ĂȘtre intĂ©grĂ© par la contrainte. Dans le cadre d'un rĂ©fĂ©rendum local en 2001, 95 % des Cabestanyencs ont refusĂ© l'intĂ©gration Ă  l'AgglomĂ©ration (particip. 43 %). En 2010, face Ă  la tentative d'intĂ©gration forcĂ©e Ă  l'agglomĂ©ration, la municipalitĂ© a dĂ©missionnĂ©. À l'occasion de l'Ă©lection municipale qui a suivi, la population a rĂ©affirmĂ© son opposition Ă  l'intĂ©gration. Cabestany est intĂ©grĂ©e par l'État dans l'agglomĂ©ration de Perpignan le 1er janvier 2010[36]. Depuis le 1er janvier 2016, elle fait partie de Perpignan MĂ©diterranĂ©e MĂ©tropole.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[37] - [38]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    ? juin 1815 Mare Beille[39]
    juin 1815 janvier 1825 Jean Berga[39]
    janvier 1825 décembre 1831 Antoine Meunier
    décembre 1831 mai 1834 Augustin Oriola
    mai 1834 janvier 1837 Pierre Berga
    janvier 1837 février 1848 Joseph Sabardeil
    février 1848 septembre 1848 Joseph Gely
    septembre 1848 février 1852 Louis Sabardeil
    février 1852 janvier 1855 Joseph Pons
    janvier 1855 janvier 1868 Victor Battle
    janvier 1868 septembre 1870 Michel Fort
    septembre 1870 janvier 1874 Jean Camo
    janvier 1874 mai 1876 Louis Sabardeil
    mai 1876 septembre 1878 Pierre Pastor
    septembre 1878 janvier 1881 Jean Nogues
    janvier 1881 septembre 1882 Joseph Cavaille
    septembre 1882 janvier 1883 Emmanuel Pairi
    janvier 1883 mai 1884 François Badie
    mai 1884 mai 1886 Théodore Carrere
    mai 1886 mai 1893 Étienne Casedamont
    mai 1893 mai 1909 Jean Fort
    mai 1909 mai 1912 Jacques Comignan
    mai 1912 mai 1921 François Sagui Escudie
    mai 1921 août 1944 François Pomarede
    août 1944 mai 1945 Gervais Castello
    mai 1945 mars 1977 Jules Castillo
    mars 1977 juillet 2021 Jean Vila[40] PCF Chef de publicité retraité
    DĂ©putĂ© de la 1re circonscription des PyrĂ©nĂ©es-Orientales (1997 → 2002)
    Conseiller rĂ©gional de Languedoc-Roussillon (1986 → 1998)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral puis dĂ©partemental du canton de Perpignan-3 (1992 → 1999 puis 2004 → 2016)
    2e vice-prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral des PyrĂ©nĂ©es-Orientales (2008 → 2015)
    juillet 2021 En cours Édith Pugnet[41] PCF ConseillĂšre dĂ©partementale du Canton des Aspres (2015 → 2021)[42]

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2007[43].

    Population et société

    DĂ©mographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1378 1424 1515 1709 1720 1730 1767 1774 1789
    39 f15 f5 f27 f18 f22 f170 H22 f40 f
    1790 - - - - - - - -
    45 H--------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    DĂ©mographie contemporaine

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[44] - [Note 7].

    En 2020, la commune comptait 10 368 habitants[Note 8], en augmentation de 7,07 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    216257315371420500574666686
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    7467027528159249901 1441 2461 271
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4971 4561 5531 5081 0309999649491 029
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2011
    1 1551 3463 3906 2217 5138 2598 2308 3609 199
    2016 2020 - - - - - - -
    9 82110 368-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[46] 1975[46] 1982[46] 1990[46] 1999[46] 2006[47] 2009[48] 2013[49]
    Rang de la commune dans le département 41 16 7 4 6 8 6 7
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Il y a trois écoles maternelles (Ecoles Jean de la Fontaine, Ludovic Massé et Charlie Chaplin), et trois écoles élémentaires (Ludovic Massé, Georges Buffon et Jacques Prévert). Il y a également un collÚge (Pablo Casals).

    Manifestations culturelles et festivités

    Santé

    La clinique Medipole est située sur la commune de Cabestany

    Sports

    Chaque annĂ©e, la commune de Cabestany organise une course de 10 km, appelĂ©e la "Cabestanyenca".

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 4 349 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 9 981 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 22 250 â‚Ź[I 9] (19 350 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 10]). 52 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 10] (42,1 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 11]7,8 %11,3 %10,9 %
    DĂ©partement[I 12]10,3 %12,9 %13,3 %
    France entiĂšre[I 13]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  5 633 personnes, parmi lesquelles on compte 72,9 % d'actifs (61,9 % ayant un emploi et 10,9 % de chĂŽmeurs) et 27,1 % d'inactifs[Note 11] - [I 11]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement, mais supĂ©rieur Ă  celui de la France, alors qu'en 2008 il Ă©tait infĂ©rieur Ă  celui de la France.

    La commune fait partie du pĂŽle principal de l'aire d'attraction de Perpignan[Carte 2] - [I 14]. Elle compte 3 925 emplois en 2018, contre 3 747 en 2013 et 3 367 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 3 553, soit un indicateur de concentration d'emploi de 110,5 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 49,6 %[I 15].

    Sur ces 3 553 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 843 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 87,1 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 7,6 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 2,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

    Activités

    Place de la Révolution française

    Revenus de la population et fiscalité

    Revenus de la population

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 31 615 €[I 18].

    En 2012, le revenu fiscal mĂ©dian des mĂ©nages par unitĂ© de consommation est de 20 538,69 € et 66,8 % des foyers fiscaux sont imposables. Le taux de pauvretĂ© est de 11,3%[I 8].

    Fiscalité

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Notre-Dame-des-Anges
    Le centre culturel

    Monuments et lieux touristiques

    • L'Ă©glise Notre-Dame-des-Anges, qui abrite le tympan marial dit du MaĂźtre de Cabestany (fin du XIIe siĂšcle). La charpente d'une travĂ©e de l'Ă©glise date du XIVe siĂšcle. À proximitĂ© de l'Ă©glise, des restes de jarres enterrĂ©es, signes de prĂ©sence d'un grenier et peut-ĂȘtre d'une villa romaine, ont Ă©tĂ© trouvĂ©s. Une autre villa de grande taille occupait trĂšs certainement les lĂ©gers reliefs de l'actuelle rue de la Colline.
    • Il est curieux de constater que la Mairie actuelle et ses dĂ©pendances proches occupent Ă  peu prĂšs exactement l'emplacement du cellier, grenier communal du Moyen Âge.
    • Sur les coteaux, en direction de la mer, vers Canet-en-Roussillon, se trouvent les "terrasses de Cabestany", lieux plats habitĂ©s par les hommes depuis 800 000 ans au moins, c'est-Ă -dire bien avant les datations de Tautavel. Malheureusement, le vent a dĂ©truit toute trace de ces premiers foyers du Roussillon, et les rares pierres taillĂ©es que l'on y trouve parfois sont trĂšs Ă©rodĂ©es par les vents, et fort peu identifiables.

    Personnalités liées à la commune

    • Guillem de Cabestany : un troubadour du XIIe siĂšcle ;
    • Le MaĂźtre de Cabestany (fin du XIIe siĂšcle) : sculpteur anonyme itinĂ©rant, sculpta probablement dans une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  Saint-Thomas et aujourd'hui disparue, un tympan dĂ©diĂ© Ă  la Vierge Marie, conservĂ© aujourd'hui dans l'Ă©glise paroissiale, d'une facture particuliĂšre et identifiable de façon aisĂ©e[54] ;
    • Ludovic MassĂ© (1900-1982) : romancier, a Ă©tĂ© instituteur Ă  Cabestany[55].
    • François (Ferenc) Vanczak (Budapest 1908-Perpignan 1988) : sculpteur actif en France depuis 1937, habitant de Cabestany de 1968 Ă  1988 et auteur de nombreux monuments en Hongrie, Angleterre et France, dont, dans le dĂ©partement[56]
    • Christian d'Oriola (1928-2007) : escrimeur français, inhumĂ© au cimetiĂšre de Cabestany.
    • The Limiñanas, groupe de rock originaire de la commune[57].

    Équipements culturels

    HĂ©raldique

    Blason de Cabestany Blason
    Écu en losange. De gueules Ă  la tĂȘte de Maure de sable, tortillĂ©e d'argent et du champ, enfermĂ©e dans un ouroboros [serpent dĂ©crivant un cercle] contournĂ© d'or; Ă  la champagne d'argent chargĂ©e de deux burelles ondĂ©es de sinople.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Culture populaire

    Littérature
    • Pompes funĂšbres Ă  Cabestany de Pierre Coutant (Les Presses LittĂ©raires, 2012) : roman policier dont l'action se situe dans la commune.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le MaĂźtre de Cabestany d'AndrĂ© Bonnery (Éditions Msm, 2007).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[15].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    8. Fiche Insee 2012
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Cabestany » (consulté le ).
    10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
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    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
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    Autres sources

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    5. Carte IGN sous GĂ©oportail
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    8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cabestany », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « Liste des ZNIEFF de la commune de Cabestany », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
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