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Alénya

AlĂ©nya [aleÉČa] ou AlenyĂ  (catalan) est une commune française situĂ©e dans l'est du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existĂ© de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Alénya
Alénya
HĂŽtel de ville.
Blason de Alénya
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement CĂ©ret[1]
Intercommunalité Communauté de communes Sud Roussillon
Maire
Mandat
Jean-André Magdalou
2020-2026
Code postal 66200
Code commune 66002
DĂ©mographie
Gentilé Alényanais
Population
municipale
3 654 hab. (2020 en augmentation de 6,87 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 684 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 38â€Č 27″ nord, 2° 58â€Č 57″ est
Altitude Min. 3 m
Max. 18 m
Superficie 5,34 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Cyprien
(banlieue)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales La Plaine d'Illibéris
Localisation
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Alénya
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Alénya

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par l'Agouille de la Mer. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « complexe lagunaire de Canet-Saint Nazaire » et le « complexe lagunaire de Canet »), un espace protĂ©gĂ© (l'« Ă©tang de Canet - Saint-Nazaire ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    AlĂ©nya est une commune rurale qui compte 3 654 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomĂ©ration de Saint-Cyprien et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelĂ©s les AlĂ©nyanais ou AlĂ©nyanaises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Alénya se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  10 km Ă  vol d'oiseau de Perpignan[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  25 km de CĂ©ret[3], sous-prĂ©fecture, et Ă  km d'Elne[4], bureau centralisateur du canton de la Plaine d'IllibĂ©ris dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Cyprien[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : ThĂ©za (2,4 km), Saleilles (2,9 km), Corneilla-del-Vercol (3,0 km), Saint-Cyprien (3,1 km), Saint-Nazaire (3,2 km), Latour-Bas-Elne (4,1 km), Elne (4,5 km), Montescot (5,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Alénya fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[6] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[7].

    GĂ©ologie

    La superficie de la commune est de 534 hectares. L'altitude varie entre 3 et 18 mĂštres[9]. Le centre du village est Ă  une altitude de m[10].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[11].

    Hydrographie

    L'Agulla de la Mar (l'Agouille de la Mar), long de 10,41 kilomĂštres prend sa source au nord de Bages et se jette dans l'Ă©tang de Canet-Saint-Nazaire[12] - [13].

    Ce cours d'eau délimite la commune au sud avec celle de Elne[14].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[16].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[15].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 15,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 11,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 580 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 4,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[18] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[19] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1968 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[20]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records ALENYA-INRA (66) - alt : 5 m 42° 38â€Č 18″ N, 2° 58â€Č 00″ E
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 4 4,4 6,7 8,8 12 15,9 18,4 18,3 15,1 11,9 7,6 4,7 10,7
    Température moyenne (°C) 8,3 8,8 11,3 13,4 16,8 20,9 23,5 23,3 20,1 16,4 11,9 9 15,3
    Température maximale moyenne (°C) 12,6 13,3 15,9 18 21,6 25,8 28,7 28,3 25 21 16,2 13,3 20
    Précipitations (mm) 69,5 59,2 44,8 58,2 52,5 30,3 16 32,5 49,8 102 66,5 72,4 653,7
    Source : « Fiche 66002001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Voies de communication

    On accÚde à Alénya, soit :

    • par la D 39 de l’ouest de ThĂ©za,
    • par la D 11 du nord de Saint-Nazaire, du sud de Elne,
    • par la D 22 du nord-ouest de Saleilles, du sud-est de Saint Cyprien.

    Transports

    La commune est desservie par le réseau interurbain régional liO : la ligne 542 la relie à la gare de Perpignan depuis Saint-Cyprien, et la ligne 544 la relie à Millas et à Saint-Cyprien.

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[21] - [22]. Dans ce cadre, la commune fait partie[23]. Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : l'« Ă©tang de Canet - Saint-Nazaire », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 1 181,7 ha[24] - [25].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats[27].

    • le « complexe lagunaire de Canet », d'une superficie de 1 872 ha, l'Ă©lĂ©ment le plus mĂ©ridional qui subsiste en France du grand ensemble lagunaire du languedoc-Roussillon. Il s'agit d'une lagune Ă©voluĂ©e, Ă  un stade de maturitĂ© oĂč la coupure avec la mer est en train de s'effectuer et oĂč les apports d'eau douce deviennent prĂ©pondĂ©rants[28]

    et un au titre de la directive oiseaux[27]

    • le « complexe lagunaire de Canet-Saint Nazaire », d'une superficie de 1 869 ha, joue diffĂ©rents rĂŽles en fonction des saisons et des espĂšces d'oiseaux : aires de repos, aires de nidification (roseliĂšres et milieux dunaires, notamment), zones d'alimentation (plan d'eau, prairies pĂąturĂ©es). Le site accueille ainsi de nombreuses espĂšces de l'annexe 1 avec des effectifs souvent significatifs. On signalera notamment la TalĂšve sultane, pour laquelle l'Ă©tang constitue le seul site de nidification actuellement connu en France[29].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[30] : la « zone humide de l'Ă©tang de Canet » (945 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[31] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [30] : le « complexe lagunaire de Canet-Saint-Nazaire » (1 912 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[32].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  AlĂ©nya.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    AlĂ©nya est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [33] - [I 2] - [34]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Cyprien, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 14 communes[I 3] et 60 792 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (74,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (85,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (30,9 %), zones urbanisĂ©es (25,2 %), terres arables (25 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,8 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,1 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2013, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 1 711.

    Parmi ces logements, 79,7 % étaient des résidences principales, 14,7 % des résidences secondaires et 5,6 % des logements vacants.

    La part des mĂ©nages propriĂ©taires de leur rĂ©sidence principale s’élevait Ă  72,8 %[I 8].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Alénya est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule) et séisme (sismicité modérée)[36] - [37].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du RĂ©art. La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Perpignan-Saint-Cyprien, regroupant 43 communes du bassin de vie de l'agglomĂ©ration perpignanaise, un des 31 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s le sur le bassin RhĂŽne-MĂ©diterranĂ©e. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[38] - [39].

    Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations[40].

    Toponymie

    Formes du nom

    En catalan, le nom de la commune est AlenyĂ [41].

    En français, le e de Alenya, Ă  l'origine une voyelle neutre en catalan, ne devrait pas ĂȘtre accentuĂ© pour une prononciation plus conforme au nom original[42].

    Alénya est mentionnée en 904 sous le nom d'Alignanum[10]. On trouve ensuite les formes Alannyano (1385) et Alenya ou Alanya dÚs le XVIIe siÚcle. Une carte française du XVIIIe siÚcle mentionne Lenia[42].

    À la suite de l'absorption du territoire de Boiça vers 1793, la commune est alors mentionnĂ©e sous le nom de AlĂ©nya et Boiça[9].

    Étymologie

    Le nom d'AlĂ©nya est sans doute dĂ©rivĂ© du nom d'un propriĂ©taire de domaine ibĂ©ro-romain suivi du suffixe -anum. Ce nom est peut-ĂȘtre Allenius, Allinius ou Helenius, sans doute plutĂŽt Alanius, sobriquet de Alanus[42].

    Formes du nom

    En catalan, le nom du territoire est Boaçà ou Boassà et, à une certaine époque, Mas Blan. Il est mentionné dÚs 876 sous le nom de Villa Buacano puis au XIIe siÚcle sous le nom de Buassano. On a ensuite au XIVe siÚcle un nom de personne, Petrus Blan dominus de Buassano et en 1520 un autre, Joan Blan del Castell de Buassa[42]. Le lieu est alors désigné sous le nom de Mas Blan, alors que la chapelle locale garde le nom de Sant Martí de Boaçà. Au XVIIIe siÚcle, le nom est francisé en Boiça[9]. Le quartier d'Alénya correspondant est désigné de nos jours sous le nom de Mas Blanc[8].

    Étymologie

    Le nom de Boaçà est également dérivé du nom d'un propriétaire de domaine romain, Boetius suivi du suffixe -anum. Le nom de Mas Blan vient du nom des propriétaires du domaine au XIVe siÚcle. Il s'agit d'une riche famille de Perpignan dont le nom Blan trouve son origine dans le latin blandus (en français charmeur) et n'a rien à voir avec la couleur blanc[42].

    Histoire

    En 1322, le roi Sanche de Majorque inclut Alénya dans la vicomté de Canet lors de sa création. Elle devient une seigneurie laïque, indépendamment de Boaça, autre seigneurie[10].

    Entre 1790 et 1794, Alénya absorbe le territoire de Boiça[43].

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune d'AlĂ©nya est incluse dans le canton d'Elne au sein du district de Perpignan. Elle est rattachĂ©e au canton de Perpignan-Est en 1801, puis intĂ©grĂ©e au nouveau canton de Perpignan-III en 1973. Elle en est dĂ©tachĂ©e en 1982 pour faire partie du canton de La CĂŽte Radieuse qu'elle ne quitte plus par la suite[44]. À compter des Ă©lections dĂ©partementales de 2015, la commune d'AlĂ©nya rejoint le nouveau canton de la Plaine d'IllibĂ©ris.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    François Tourres[45] Soc. Ouvrier agricole
    Les données manquantes sont à compléter.
    François Tourres[45] Soc. Ouvrier agricole

    (démission)
    Auguste Lafon[46] SFIO
    Les données manquantes sont à compléter.
    Auguste Lafon[46] SFIO
    Les données manquantes sont à compléter.
    Simone Parrot PCF Maire honoraire
    ConseillĂšre gĂ©nĂ©rale du canton de Perpignan-3 (1976 → 1982)
    François Séguié SE
    Les données manquantes sont à compléter.
    Jacques Pumareda[47] PCF 1er vice-prĂ©sident de la CC Sud Roussillon (2001 → 2014)
    En cours
    (au 26 mai 2020)
    Jean-André Magdalou[48] - [49] PCF Technicien scientifique
    1er vice-président de la CC Sud Roussillon
    Président de l'ADECR 66[50]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026

    Jumelages

    Population et société

    DĂ©mographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1365 1378 1470 1515 1553 1643 1709 1720 1730
    15 f11 f6 f11 f19 f7 f57 f46 f45 f
    1767 1774 1789 1790 - - - - -
    112 H45 f42 f57 H-----
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    DĂ©mographie contemporaine

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[52].

    En 2020, la commune comptait 3 654 habitants[Note 9], en augmentation de 6,87 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    183196234319324350337368419
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    450418375359431474519570634
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    678666645617593776702603689
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    6956781 0061 2111 5622 3182 7802 9123 358
    2018 2020 - - - - - - -
    3 6693 654-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee Ă  partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[55] 1975[55] 1982[55] 1990[55] 1999[55] 2006[56] 2009[57] 2013[58]
    Rang de la commune dans le département 76 61 58 51 42 39 36 33
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Alénya dispose d'une école maternelle publique, avec un effectif de 119 élÚves en 2014[59], ainsi que d'une école élémentaire publique, avec un effectif de 198 élÚves en 2014[60].

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte patronale : [61].

    Habitants

    Iris Guenoun

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 569 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 3 668 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 20 880 â‚Ź[I 9] (19 350 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 10]). 47 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 11] (42,1 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 11]7,2 %12,9 %11,4 %
    DĂ©partement[I 12]10,3 %12,9 %13,3 %
    France entiĂšre[I 13]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  2 161 personnes, parmi lesquelles on compte 74,9 % d'actifs (63,5 % ayant un emploi et 11,4 % de chĂŽmeurs) et 25,1 % d'inactifs[Note 12] - [I 11]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement, mais supĂ©rieur Ă  celui de la France, alors qu'en 2008 il Ă©tait infĂ©rieur Ă  celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 2] - [I 14]. Elle compte 509 emplois en 2018, contre 494 en 2013 et 501 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 1 387, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,7 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 54,4 %[I 15].

    Sur ces 1 387 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 219 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 90,1 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 6,1 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 2,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

    Secteurs d'activités

    313 établissements[Note 13] sont implantés à Alénya au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 18].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble313100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    8025,6 %(8,7 %)
    Construction5718,2 %(14,3 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    6721,4 %(30,5 %)
    Information et communication10,3 %(1,9 %)
    Activités financiÚres et d'assurance51,6 %(3 %)
    Activités immobiliÚres206,4 %(6,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    3210,2 %(13 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    3310,5 %(13,9 %)
    Autres activités de services185,8 %(8,5 %)

    Le secteur de l'industrie manufacturiĂšre, des industries extractives et autres est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 25,6 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (80 sur les 313 entreprises implantĂ©es Ă  AlĂ©nya), contre 8,7 % au niveau dĂ©partemental[I 19].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[62] :

    • SARL Delonca Diffusion, fabrication d'Ă©quipements d'emballage, de conditionnement et de pesage (1 833 k€)
    • Larrere Bioroussillon, culture de lĂ©gumes, de melons, de racines et de tubercules (777 k€)
    • Equipo Cash Distribution Hoteliere, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures et Ă©quipements divers pour le commerce et les services (431 k€)
    • Sud Bat Construction, travaux de maçonnerie gĂ©nĂ©rale et gros Ɠuvre de bĂątiment (298 k€)
    • Viny, activitĂ©s de conditionnement (203 k€)

    Agriculture

    La commune est dans la « plaine du Roussillon », une petite région agricole dans le département des Pyrénées-Orientales[63]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations53231712
    SAU[Note 16] (ha)582113201169

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 53 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] Ă  23 en 2000 puis Ă  17 en 2010[65] et enfin Ă  12 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 77 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 73 % de ses exploitations[66] - [Carte 5]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 582 ha en 1988 Ă  169 ha en 2020[Carte 6]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 11 Ă  14 ha[65].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Sainte-Eulalie-et-Sainte-Julie, reconstruite Ă  partir de 1593 sur les fondations d'un Ă©difice antĂ©rieur. Son clocher est du type clocher-mur. Elle contient des retables des XVIIe et XVIIIe siĂšcles, ainsi qu'une statue de la Vierge au raisin, de la fin du XIVe siĂšcle[10].
    • La maison d'Ortaffa, ancienne maison mĂ©diĂ©vale datant de la fin du XIVe siĂšcle.
    • La Pedra Martina, borne du haut Moyen Âge qui dĂ©limitait les paroisses, puis les seigneuries d'AlĂ©nya et de Saint-Martin de Boaça.
    • La Pompe Bonne, l'une des plus anciennes fontaines du village[67].
    • Le chĂąteau et l'Ă©glise Saint-Martin de Boaça, situĂ©s Ă  l'ouest d'AlĂ©nya et datant des XIIIe et XVIe siĂšcles, sont rasĂ©s en 1974 pour construire un centre de vacances[10].
    • Église paroissiale Sainte-Eulalie-et-Sainte-Julie.
      Église paroissiale Sainte-Eulalie-et-Sainte-Julie.
    • Plaque murale prĂšs du 3 de la place Henri-Sayroux.
      Plaque murale prĂšs du 3 de la place Henri-Sayroux.
    • La Pompe Bonne.
      La Pompe Bonne.

    Personnalités liées à la commune

    • Albert Cambriels (1816-1891) : gĂ©nĂ©ral mort Ă  AlĂ©nya.
    • Pierre Bardou-Job (1826-1892) : industriel[68], achĂšte une importante propriĂ©tĂ© Ă  AlĂ©nya[69] ;
    • Fernand de Chefdebien (1836-1914) : industriel et propriĂ©taire terrien Ă  AlĂ©nya[68] ;
    • Euryale Resseguier (1836-1902) : ingĂ©nieur agronome, inventeur d'un porte-greffe rĂ©sistant au Phylloxera ;
    • François Écoiffier (1851-1913) : mĂ©decin, industriel et homme politique ayant investi dans l'agriculture Ă  AlĂ©nya ;
    • Jules-Edmond Cuisinier (1857-1917) : artiste-peintre, nĂ© Ă  AlĂ©nya ;
    • Édouard Chichet (1882-1946) : homme de presse nĂ© Ă  AlĂ©nya[68] ;
    • Dominique Cayrol (1890-1946) : rĂ©sistant français nĂ© Ă  AlĂ©nya ;
    • Paul Chichet (1921-2002) : homme de presse ayant grandi Ă  AlĂ©nya[68] ;
    • Ambroise Ulma (1924-) : joueur de rugby Ă  XIII nĂ© Ă  AlĂ©nya.

    HĂ©raldique

    Armes d'Alénya

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    De gueules au demi-vol abaissé d'or, au chef d'or chargé de quatre pals de gueules.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[17].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[26].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    11. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[64].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune d'Alénya » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Saint-Cyprien » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Perpignan » (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    8. Statistiques officielles de l’INSEE (version nov 2016).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Alénya » (consulté le ).
    10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Alénya » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
    13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Alénya » (consulté le ).
    16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Alénya » (consulté le ).
    19. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Modification des limites territoriales des arrondissements », Préfet des Pyrénées-Orientales.
    2. Stephan Georg, « Distance entre Alénya et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Alénya et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Alénya et Elne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches d'Alénya », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
    8. Carte IGN sous GĂ©oportail
    9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : AlĂ©nya », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
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    11. « Plan séisme » (consulté le ).
    12. L'eau dans le bassin RhÎne-Méditerranée
    13. RĂ©seau de contrĂŽle de surveillance des cours d’eau
    14. Carte cadastrale de la commune
    15. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    16. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    18. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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    25. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
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    60. Annuaire du MinistĂšre de l'Éducation nationale, Ă©cole Ă©lĂ©mentaire publique Françoise Lopes Girona d'AlĂ©nya
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    62. « Entreprises à Alénya », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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    68. Gérard Bonet, « Index des communes », dans Nouveau Dictionnaire de biographies roussillonnaises 1789-2011, vol. 1 Pouvoirs et société, t. 1 (A-L), Perpignan, Publications de l'olivier, , 699 p. (ISBN 9782908866414).
    69. Nicolas Marty, « Bardou-Job (Pierre, Casimir) », dans Nouveau Dictionnaire de biographies roussillonnaises 1789-2011, vol. 1 Pouvoirs et société, t. 1 (A-L), Perpignan, Publications de l'olivier, , 699 p. (ISBN 9782908866414).
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