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Brantes

Brantes est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Brantes
Brantes
Brantes.
Blason de Brantes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté de communes Vaison Ventoux
Maire
Mandat
Roland Ruegg
2020-2026
Code postal 84390
Code commune 84021
DĂ©mographie
Gentilé Brantulois, Brantuloises
Population
municipale
89 hab. (2020 en augmentation de 14,1 % par rapport Ă  2014[1])
DensitĂ© 3,2 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 11′ 39″ nord, 5° 20′ 03″ est
Altitude 546 m
Min. 425 m
Max. 1 900 m
Superficie 28,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Vaison-la-Romaine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Brantes

    GĂ©ographie

    Localisation

    Le village de Brantes est un village perché entre le mont Ventoux au sud et la Drôme au nord.

    Voies routières

    • Deux routes traversent la commune sur un axe est-ouest : la route dĂ©partementale 41 au nord du village, sur la hauteur, et la route dĂ©partementale 40 au sud, en contrebas en bordure du Toulourenc. Entre les deux, permettant d'atteindre le bourg, la route dĂ©partementale 136.
    • La commune de Brantes est traversĂ©e par plusieurs sentiers de grande randonnĂ©e, les GR 4, GR 9 et GR 91[2], et sert de point de dĂ©part pour de nombreuses randonnĂ©es sur sentiers balisĂ©s.

    Transports en commun

    Transport en Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur

    GĂ©ologie et relief

    GĂ©ologie

    Le mont Ventoux est constitué de calcaires urgoniens blanchâtres massifs, d'âge crétacé inférieur, et très clairs (d'où l'impression d'un sommet enneigé). Son importante élévation vient de la compression due à la formation de la chaîne pyrénéo-provençale, aujourd'hui disparue. Cette compression a bombé et fait chevaucher les roches de la montagne sur les terrains plus au nord, durant le crétacé supérieur et le début du tertiaire.

    La vallée du Toulourenc, quant à elle, a un sol du quaternaire composé de dépôts fluviatiles, colluvions et éboulis.

    Reliefs

    Le village est perchĂ© entre 500 et 600 mètres d'altitude avec au-dessus la barre du Charles (836 mètres) puis plus au nord la montagne de Geine (1 267 mètres).

    Au sud, une vallĂ©e plus ou moins large oĂą coule le Toulourenc (d'oĂą le nom de « vallĂ©e du Toulourenc ») puis par delĂ  la vallĂ©e du Toulourenc, le versant septentrional du mont Ventoux et le col des TempĂŞtes (1 829 mètres). Le mont Ventoux est classĂ© « RĂ©serve de Biosphère » par l'UNESCO depuis 1994.

    Végétation

    Le versant nord (ubac) du mont ventoux est moins ensoleillĂ©. Ses pentes sont abruptes, faites d'Ă©boulis et de falaises majestueuses et sa flore y est mĂ©dioeuropĂ©enne et non plus mĂ©diterranĂ©enne. Parmi les vĂ©gĂ©tations dominantes du versant nord[4], on trouve des chĂŞnes verts jusqu'Ă  620 mètres d'altitude puis des noyers de 620 Ă  800 mètres. De la garrigue aux herbes aromatiques comme le thym et la lavande vraie entre 800 et 910 mètres d'altitude. Ensuite, des hĂŞtres de 910 Ă  1 380 mètres et des pins Ă  crochets (sous-espèce de pins de montagne) jusqu'Ă  1 720 mètres d'altitude. Enfin, le secteur alpin au-dessus de 1 720 mètres d'altitude[5].

    Sur les pentes de la barre du Charles et de la montagne de Geine, bois de chĂŞnes et pins.

    Quelques champs au cœur de la vallée.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Pont roman sur le Toulourenc.

    Cours d'eau sur la commune ou Ă  son aval[6] :

    • La commune est arrosĂ©e par le Toulourenc, affluent de l'Ouvèze, au bas du village. Le pont qui l'enjambe, dit pont romain est un pont roman du XIIIe siècle[7],
    • ruisseau de derboux,
    • ravin du raĂŻs,
    • torrents de la combe de la mure, du bourboulet, riaille,
    • vallats du revestet, du tombereau,
    • sur le territoire de la commune se trouve la source de la Fontnouvelle.

    La station d’épuration de Brantes se rejette dans le Maldaric, affluent du Toulourenc[8].

    Climat

    Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[9].

    Histoire

    Extrait de la carte de Jacques de Chieze (1627) montrant Brantes au pied du mont Ventaux.

    CitĂ© en 1163 sous le nom de « Brantule » et en 1254 sous « de Brantulis »[10]. Seigneurie des Baux depuis le XIIe siècle, Le , Ă  Brantes, au pied du Ventoux, en prĂ©sence de son Ă©pouse Alix des Baux, Odon de Villars fit donation Ă  son neveu Philippe de LĂ©vis des fiefs de Brantes, Plaisians et leurs dĂ©pendances, des seigneuries de Saint-Marcel, Roquefort, le Castellet, Cassis et Port-Miou, dĂ©pendantes de la baronnie d’Aubagne, ainsi que de La Fare-les-Oliviers, et Éguilles. Son neveu, en contrepartie, devait lui servir de caution vis-Ă -vis de Raymond de Turenne dans l’observation d’un accord passĂ© entre le vicomte, lui et son Ă©pouse Alix. En cas de non-respect de la part d’Alix et d’Odon, ces derniers devraient payer 50 000 florins Ă  Raymond de Turenne[11] - [12].

    Ce fief fut acquis par la Révérende Chambre Apostolique en 1320 et entre dans le Comtat Venaissin en 1320.

    Après être passé dans les mains de plusieurs familles, Laurens, puis de Vincens, en 1697, le marquisat est acheté par Pierre du Blanc, seigneur de Buisson[10] - [13].

    Durant les guerres de Religion, les protestants occupent le village[10].

    Fin du XXe siècle, des passionnés se mettent en tête de restaurer le village.

    François et Claude Morénas, qui ont été à l'initiative du balisage d'un nombre incalculable de sentiers de grandes randonnées, ont dit toute leur émotion en découvrant ce village :

    « Le village en camaïeu confond ses toits patinés et ses façades grisées avec les rochers sur lesquels il se cramponne. Tout en escalier et en terrasses d'éboulis où s'accrochent les amandiers tordus, genévriers, genêts et ronces et de maigres prairies, tout ce qui pourrait, malgré la pauvreté du sol et la sécheresse, devenir droit, beau et vigoureux, a été grignoté par les chèvres. »

    HĂ©raldique

    Blason de Brantes

    Les armes peuvent se blasonner ainsi[14] :

    D'azur à deux palmes d'or, accostées de deux fleurs de lis du même et accompagnées en chef d'une croisette ancrée d'argent et en pointe d'un croissant du même. [15]

    créé en 1980 en reprenant les armoiries des familles Laurens et du Blanc

    Toponymie

    La commune est appelée Brantas en occitan.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Georgette Bernad
    mars 2008 En cours Roland Ruegg SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2017

    Mairie de Brantes.

    En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[16] :

    • total des produits de fonctionnement : 90 000 â‚¬, soit 1 113 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 106 000 â‚¬, soit 1 305 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 65 000 â‚¬, soit 798 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 53 000 â‚¬, soit 658 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : €, soit € par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 2,75 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 6,53 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 45,90 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation[17].

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la Communauté de communes Pays Vaison Ventoux, qui fait elle-même partie du syndicat mixte d'aménagement de l'Aygues et du syndicat mixte d'aménagement du bassin de l'Ouvèze (SIABO).

    Urbanisme

    Typologie

    Brantes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [18] - [19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Politique environnementale

    La commune est incluse dans la zone de protection Natura 2000 « l'Ouvèze et le Toulourenc », sous l'égide du ministère de l'Écologie, de la DREAL Provence-Alpes-Côte-d'Azur, et du MNHN (Service du Patrimoine Naturel)[27].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

    En 2020, la commune comptait 89 habitants[Note 2], en augmentation de 14,1 % par rapport Ă  2014 (Vaucluse : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    320355440448491440442470471
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    410381376385394321325319284
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    26526624120016713914311496
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1009085856365808384
    2020 - - - - - - - -
    89--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Habitat

    Habitat perché

    Brantes, village perché.
    Vue sur le Toulourenc.

    Ce type d'habitat est considéré comme typiquement provençal, il est surtout typiquement méditerranéen. Ces villages sis sur leur « acropole rocheuse », qui ont gardé leur aspect médiéval, forment par l'orientation des façades de leurs maisons - vers la vallée ou la voie de communication - un véritable front de fortification[32].

    Fernand Benoit souligne leur origine quelquefois préhistorique en signalant que Cicéron, à propos des Ligures qui peuplaient la région, les dénomme castellani, c'est-à-dire habitants des castellas (Brutus, LXXIII, 256)[32].

    Ces villages perchés se trouvent dans essentiellement dans les zones collinaires dont le terroir est pauvre en alluvions et où l'eau est rare. Ce qui est le cas général en Provence sauf dans la basse vallée du Rhône et dans celle de la Durance, où les terres alluvionnaires abondent et surtout où l'eau est facilement accessible pour chaque propriété grâce à un puits creusé dans la cour de la maison[33].

    De plus, ce groupement en communauté refermée sur elle-même correspond à des régions de petites propriétés, où les seules terres fertiles se situent au fond de quelques vallons, et ce regroupement a facilité l'existence d'un artisanat rural indispensable aux villageois (charron, forgeron, etc.). À contrario, l'habitat dispersé implique de grands domaines qui tendent à vivre en autarcie. D'où la loi émise par Fernand Benoit « La misère groupe l'habitat, l'aisance le disperse »[33].

    Économie

    Un très petit village vivant d'un peu de tourisme (une chambre d'hôtes) dont des artisans qui fabriquent des santons et des poteries (faïencerie), d'élevage ovin (agneau du Ventoux) et de fabrique de fromages, de fabrication de miel, quelques vergers d'amandiers, culture de la lavande et plantes aromatiques.

    Commerce

    L'Auberge de Brantes, qui porte le label Bistrot de pays[34] - [35], adhère à une charte dont le but est de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village ». Un café librairie et une librairie.

    Vie locale

    La communauté de communes de la Vallée du Toulourenc se charge de la collecte et du traitement des déchets des ménages et déchets assimilés.

    Enseignement

    L'Ă©cole.

    Établissements d'enseignements[36] :

    • Le village de Brantes possède une Ă©cole, situĂ©e en bordure du vieux village[37],
    • Collèges Ă  Buis-les-Baronnies, Sault,
    • LycĂ©es Ă  Vaison-la-Romaine, Nyons.

    Sports

    Pas d'équipement collectif particulier hormis les chemins de randonnées et les aménagements divers aux abords du Toulourenc.

    Sports pratiqués : randonnées pédestres.

    Autres activités : chasse, pêche.

    Santé

    Pas de pharmacie ni d'équipement particulier de santé.

    Professionnels et établissements de santé[38] :

    • MĂ©decins Ă  Buis-les-Baronnies, BĂ©doin,
    • Pharmacies Ă  Montbrun-les-Bains, Buis-les-Baronnies, BĂ©doin,
    • HĂ´pitaux Ă  Buis-les-Baronnies, Vaison-la-Romaine.

    Cultes

    C'est un village de tradition catholique (église paroissiale Saint-Sidoine, chapelles Notre-Dame-de-Piété et Saint-Jean-Baptiste et cimetière, chapelle Saint-Roch) malgré une prise du bourg par les protestants lors des guerres de Religion. Il dépend du diocèse d'Avignon[39].

    Lieux et monuments

    • IntĂ©rieur de l'Ă©glise paroissiale Saint-Sidoine.
      Intérieur de l'église paroissiale Saint-Sidoine.
    • Croix.
      Croix.
    • Ruelle.
      Ruelle.
    • Lavoir.
      Lavoir.

    Brantes est un village aux ruelles en calades, aux passages voûtés, aux portes anciennes et aux vieilles maisons de pierre. Il est construit en nid d'aigle sur les contreforts de la montagne.

    Patrimoine religieux :

    Autres patrimoines :

    • Vestiges d'un château fĂ©odal[44] des seigneurs des Baux : pans de murs et deux citernes.
    • Ancien lavoir.
    • Pont Ă  une arche, style « romain », du XIIIe siècle[45].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Recensement 2010 », INSEE.
    2. 91 De Saint-Nizier-du-Moucherotte (près de Grenoble) à Fontaine-de-Vaucluse (près de Cavaillon) - Saint-Nizier-du-Moucherotte (Isère) - Fontaine-de-Vaucluse (Vaucluse) ; 91b Bédoin au sommet du mont Ventoux via le mont Serein
    3. Trans Vaucluse Pays de Vaison, Vallée du Toulourenc
    4. Jacques Galas, Les pays du Ventoux, page 32
    5. La réserve de biosphère du mont Ventoux
    6. L'eau dans la commune
    7. Brantes, sur le site vaison-ventoux-tourisme.com
    8. Caractéristiques et contraintes du bassin versant du Toulourenc
    9. Table climatique
    10. « Brantes sur le site du Quid »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
    11. Robert Bailly, Dictionnaire des communes de Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1985, p. 101.
    12. Louis Barthélemy, Inventaire chronologique et analytique des chartes de la maison des Baux, Marseille, 1882, Charte 1692.
    13. Un peu d’histoire
    14. Vallée du Toulourenc : Brantes, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    15. Armorial des Communes de Vaucluse (Conseil Général du Vaucluse).
    16. Les comptes de la commune
    17. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. État d'avancement des plans locaux d'urbanise (PLU), et cartes communales
    24. Avis TACITE de l'autorité environnementale : Plan Local d'Urbanisme (PLU) de Brantes
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. Responsabble Natura 2000
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Fernand Benoit, op. cit., p. 43.
    33. Fernand Benoit, op. cit., p. 44.
    34. La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
    35. Fédération nationale des bistrots de pays
    36. Établissements d'enseignements
    37. École maternelle et élémentaire
    38. Professionnels et établissements de santé
    39. Secteur Pays de Sault (Sault de Vaucluse)
    40. Patrimoine religieux
    41. Chapelles des temps modernes : Brantes
    42. Chapelle Saint-Roch
    43. Conflits commémorés : Guerre 1914-1918
    44. Ancien château
    45. Pont roman sur le Toulourenc
    46. Suppléant devenu député le 8/8/1963 au décès de Pierre Augier

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Sophie Bentin, Brantes, un village provençal en terre papale - des origines Ă  la RĂ©volution Française, SociĂ©tĂ© des amis de Brantes Ă©diteur, 2016, 181 p. (ISBN 978-2-9554987-0-5).
    • Jules Courtet, Dictionnaire gĂ©ographique, gĂ©ologique, historique, archĂ©ologique et biographique des communes du dĂ©partement de Vaucluse, Avignon, Seguin AinĂ©, (1re Ă©d. 1857), 400 p. (lire en ligne)
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
      Brantes, p. 195

    Articles connexes

    Liens externes

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