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Boulogne-la-Grasse

Boulogne-la-Grasse est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Boulogne-la-Grasse
Boulogne-la-Grasse
Église Notre-Dame
Blason de Boulogne-la-Grasse
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Patrick Boulanger
2020-2026
Code postal 60490
Code commune 60093
Démographie
Population
municipale
462 hab. (2020 en diminution de 1,7 % par rapport à 2014)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 43″ nord, 2° 42′ 20″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 153 m
Superficie 9,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Boulogne-la-Grasse
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    Géographie

    Localisation

    Boulogne-la-Grasse est un village périurbain[1] picard situé à la limite du Santerre, dans l'Oise mais limitrophe du département de la Somme, situé à 11 au sud-est de Montdidier, 22 km à l'ouest de Noyon, 23 km au nord de Compiègne et à 48 km au nord-est de Beauvais.

    Nature du sol et relief

    Le relief de la commune est celui d'un plateau au sous-sol crayeux recouvert de loess.

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau ne traverse la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 719 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Meaulte », sur la commune de Méaulte, dans le département de la Somme, mise en service en 1988 et à 41 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,5 °C pour 1981-2010[12] à 11,5 °C pour 1991-2020[13].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), prairies (21,3 %), forêts (15,9 %), zones urbanisées (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Voies de communication et transports

    Le territoire communal, tangenté à l'ouest par l'ancienne route nationale 17 (actuelle RD 1017) est aisément accessible depuis l'autoroute A1 (sortie 11).

    Le village est traversé par le Sentier de grande randonnée GR123.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Boulogne-la-Grasse est une commune rurale car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 218, alors qu'il était de 216 en 2013 et de 204 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 82,1 % étaient des résidences principales, 7,3 % des résidences secondaires et 10,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,5 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Boulogne-la-Grasse en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,3 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Boulogne-la-Grasse en 2018.
    Typologie Boulogne-la-Grasse[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 82,1 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,3 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 10,6 7,1 8,2

    Toponymie

    Boulogne dérive du latin Bononia puis Bolonia à partir du IIIe siècle, issu du gaulois bona, suivi du suffixe -onia[21].

    Le suffixe « La Grasse » viendrait de la nature argileuse du sol.

    Histoire

    Boulogne-la-Grasse est situé sur la voie romaine reliant Caesaromagus (Beauvais) à Bavai.

    De nombreux vestiges gallo-romains y ont été retrouvés[22], des thermes dans l'actuel hameau de Bains.

    Boulogne-la-Grasse a été le lieu d'une bataille entre Jean de Luxembourg et La Hire en 1437.

    Sous l'Ancien Régime, Boulogne-la-Grasse appartenait pour moitié au bailliage, à l'élection et au grenier à sel de Montdidier, elle relevait de la seigneurie de Raineval; l'autre partie était de la prévôté et du bailliage de Roye[23].

    Sur la montagne de Boulogne était placé depuis 1794 un relais du télégraphe Chappe sur la ligne reliant Paris à Lille, et qui communiquait avec celui de Parvillers-le-Quesnoy, placé sur la tour du clocher., À la fin de l'épopée napoléonienne, durant les Cent-Jourse , une troupe de Cosaques détruit l’appareil de Boulogne-la-Grasse, dont les registres et les instruments sont rapportés à Roye[23].

    Horaires de la ligne de Noyon à Montdidier en .

    Boulogne-la-Gtasse disposait de 1895 à 1955 d'une gare sur la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique reliant Noyon à Gare de Montdidier par Rollot du réseau des Chemins de fer départementaux de l'Oise exploitée par la compagnie des Chemins de fer de Milly à Formerie et de Noyon à Guiscard et à Lassigny puis par la compagnie générale de voies ferrées d'intérêt local[24].

    Lors de la Première Guerre mondiale, le château, dont la haute tour offre à l’époque, une large vue jusqu’à Amiens, est réquisitionné par l’armée française et sert de camp de stationnement, d'entrainement et d’observation pour les soldats français. Le Maréchal Joffre, le président Poincaré et le roi Albert Ier, roi des Belges, visitent le château le pendant leur inspection du front.

    La commune est suffisamment éloignée du front pour être le siège de revues militaires, notamment le au cours de laquelle le général Mazillier, de la 2e division d'infanterie coloniale remet des décorations

    Le village est lourdement bombardé par l'artillerie allemande lors des combats autour de Montdidier les 27 et 28 mars1918 de la seconde bataille de la Marne, puis, à nouveau mais par les Alliés avant que le village ne soit repris par les Français le . La population civile est alors évacuée en urgence vers le Beauvaisis[25] - [26].

    Le village est considéré comme largement détruit à la fin de la guerre[27] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [28].

    • La gare, avant la Première Guerre mondiale
      La gare, avant la Première Guerre mondiale
    • Ruines de la gare, le 22 janvier 1917.
      Ruines de la gare, le .

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Ressons-sur-Matz[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Penvénan était membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1986 2008 Yves Floury DVD[31] Expert comptable
    mars 2008[32] mai 2020 Charline Dézérable[33]
    mai 2020[34] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Patrick Boulanger

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés en 2001 avec ceux de Canny, de Conchy-les-Pots et d'Orvillers-Sorel dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[1].

    Culture

    La bibliothèque intercommunale Plaisir de Lire est implantée à Boulogne-la-Grasse[35].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

    En 2020, la commune comptait 462 habitants[Note 8], en diminution de 1,7 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    790792801720786770728694698
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    648603557545515482510476503
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    465452417414383369381395409
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    424411321295251285407441467
    2018 2020 - - - - - - -
    466462-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sous l'Ancien Régime, Boulogne-la-Grasse comptait quatre-vingts feux en 1469, cent cinquante en 1660 et deux cent quarante-cinq en 1770[23].

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 238 hommes pour 228 femmes, soit un taux de 51,07 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    1,3
    8,4
    75-89 ans
    8,3
    10,1
    60-74 ans
    11,8
    23,5
    45-59 ans
    18,9
    20,2
    30-44 ans
    21,1
    17,2
    15-29 ans
    15,8
    20,2
    0-14 ans
    22,8
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Boulogne-la-Grasse comporte plusieurs bâtiments :

    • L'église Notre-Dame qui date de 1927. Elle possède un chÅ“ur plus ancien et des vitraux du XVIe siècle.
    • Le château reconstruit sur les vestiges du château de la famille de Lancry pour Charles de Boulogne, propriétaire belge, en béton armé de 1890 à 1913 en style mi-médiéval, mi-Renaissance, partiellement détruit pendant la Première Guerre mondiale[22] - [41] - . En 2022, ce bâtiment est concerné par une démarche de financement participatif qui aboutira à le rendre propriété d'une société constituée par les souscripteurs[42]
    • Le château de Bains.
    • La motte féodale de l'ancien château de la famille de Lancry.
    • Stèle placée à l'emplacement de la tour du télégraphe Chappe.

    Héraldique

    Blason de Boulogne-la-Grasse Blason
    D'azur à trois tours d'argent ouvertes de sable.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Abbé Martin-Val, Histoire de Boulogne-la-Grasse et des autres paroisses érigées sur les terres de La Terrière, données par Clotaire III et Ste Bathilde à l'abbaye de Corbie, en 662, Compiègne, A. Mennecier, , 284 p. (lire en ligne), sur Gallica.
      Réimpression par Lorisse - Le Livre d'Histoire 2011 (ISBN 978-2-7586-0587-4)

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Boulogne-la-Grasse », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
    • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. L.G., « La commune se mobilise pour ses nouveaux élèves », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La commune bénéficie du mouvement des citadins qui quittent la ville pour résider à la campagne, où ils trouvent une meilleure qualité de vie. Cela a des conséquences sur les besoins d'accueil et le regroupement scolaire intercommunal de Boulogne, de Canny, de Conchy-les-Pots et d'Orvillers-Sorel va devoir passer à huit classes ».
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Boulogne-la-Grasse et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Boulogne-la-Grasse et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Meaulte - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Meaulte - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Maurice Lebègue et Jacques Chaurand, Les Noms des communes du département de l'Oise, Musée de Picardie, , p. 53.
    22. Daniel Delattre, L'Oise - Les 693 communes, Delattre à Grandvilliers, .
    23. Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 317-326, sur Gallica.
    24. « Le réseau de Noyon et la ligne Milly-Formerie : Histoire des voies ferrées d'intérêt local dans l'Oise », dans Claude Wagner, Voies métriques en Picardie, Auray, LR Presse, (ISBN 978-2903651749), p. 70-137.
    25. « Devenez co-Châtelain d'un Château à 1 h de Paris », sur https://dartagnans.fr (consulté le ).
    26. « Boulogne-la-Grasse dans la Grande guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
    27. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    28. Journal officiel de la République française du , p. 2475.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. « Les maires de Boulogne-la-Grasse », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    31. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 47.
    32. Le courrier picard édition Oise du 31 mars 2008
    33. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Fiche commune : BOULOGNE-LA-GRASSE », Union des maires de l'Oise (consulté le ).
    34. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    35. « La bande dessinée à l’honneur à Boulogne-la-Grasse », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Boulogne-la-Grasse (60093) », (consulté le ).
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    42. Marielle Martinez, « Pour 59 euros, vous pouvez devenir copropriétaire d’un château aux confins de l’Oise et de la Somme : Aux confins de l’Oise et de la Somme, un village de moins de 500 âmes abrite une fantaisie architecturale pour laquelle le site Dartagnans a lancé une campagne de financement. Il reste quinze jours aux amateurs pour se doter d’une part ou plus du château », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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