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Bellon (Charente)

Bellon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Bellon
Bellon (Charente)
La mairie.
Blason de Bellon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente
Arrondissement AngoulĂȘme
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Philippe Vigier
2020-2026
Code postal 16210
Code commune 16037
DĂ©mographie
Gentilé Bellonnais
Population
municipale
140 hab. (2020 en diminution de 12,5 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 15 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 18â€Č 13″ nord, 0° 07â€Č 13″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 123 m
Superficie 9,13 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Tude-et-Lavalette
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Bellon
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Bellon
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Bellon
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Bellon
Liens
Site web bellon.zoom-24.com

    Ses habitants sont appelés les Bellonnais et les Bellonnaises[1].

    GĂ©ographie

    Localisation et accĂšs

    Bellon est une petite commune du Sud-Charente et du canton d'Aubeterre-sur-Dronne.

    Elle est Ă  km au nord-ouest d'Aubeterre, km au nord-est de Chalais, km au sud-est de Montboyer, 11 km au sud de Montmoreau et Ă  39 km d'AngoulĂȘme[2].

    La D.674, route d'AngoulĂȘme Ă  Libourne passe Ă  l'ouest de la commune, Ă  Montboyer.

    À l'Ă©cart des grands axes routiers, Bellon est desservie par la D 198 qui passe au bourg et va vers Aubeterre par Saint-Romain et rattrape la D 137 Ă  l'ouest qui va Ă  Montboyer. Au nord de la commune, la .140 est-ouest va de Montboyer Ă  Pillac. La D 21, au nord-est de la commune, va de Barbezieux Ă  Aubeterre. Elle permet de rejoindre la D 674 au sud de Montmoreau[3].

    La ligne Paris - Bordeaux passe sur le nord-ouest de la commune. La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER Ă  destination d'AngoulĂȘme et de Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    Le bourg n'est pas plus grand qu'un hameau. Celui de la Font est Ă  l'ouest du bourg. La commune comprend aussi d'autres hameaux et fermes, comme le Merveillaud, le Soulard, le Pasquet, Bois Jarzeau, Bois Moreau, le Maine Roy, les Beauries, Chasserat, le Couret, le Masson, les Landes, les Viauds, les Hervoits, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Bellon
    Montboyer Bors
    Courlac Bellon Pillac
    Saint-Romain

    GĂ©ologie et relief

    La commune est dans les coteaux du Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux qui occupe une grande partie du Sud Charente. La vallée de la Tude, à l'ouest, est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire[4] - [5] - [6].

    Le point culminant de la commune est Ă  une altitude de 123 m, situĂ© au sud de la commune au Grand Maine. Le point le plus bas est Ă  53 m, situĂ© le long de la Tude en limite nord-ouest. Le bourg, construit sur une colline, est Ă  115 m d'altitude[3].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Bellon.

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Tude, un bras de la Tude, le ruisseau des Grands Prés, le ruisseau du Levraud et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    La Tude limite la commune au nord-ouest. D'une longueur totale de 43,3 km, elle prend sa source dans la commune de BoisnĂ©-La Tude et se jette dans la Dronne Ă  Parcoul-Chenaud, aprĂšs avoir traversĂ© 15 communes[9].

    De petits affluents rejoignent la Tude Ă  l'ouest, comme un ruisseau sans nom qui passe au centre de la commune au nord du bourg, ou le ruisseau du Levraud qui limite la commune au nord. La commune compte aussi quelques petites retenues d'eau Ă  usage agricole[3].

    Gestion des cours d'eau

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne[7] qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [11].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Natura 2000

    Bordé au nord-ouest par la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espÚces animales européennes menacées[12] - [13].

    Seize espÚces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[12].

    Vingt-six autres espÚces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.

    ZNIEFF

    À Bellon, sur un pĂ©rimĂštre quasi identique Ă  celui du site Natura 2000 ci-dessus, la vallĂ©e de la Tude fait partie de la ZNIEFF de type II nommĂ©e « VallĂ©es de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[14] - [15].

    Vingt-deux espÚces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[14] :

    Vingt-neuf autres espÚces animales (quatre mammifÚres et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Bellon est une commune rurale[Note 1] - [16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (84,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (84,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (58,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (21,3 %), forĂȘts (15,4 %), prairies (5,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bellon est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Bellon est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du massif de Bors – Pillac – Saint-Romain. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© pour la pĂ©riode 2017-2026, faisant suite Ă  un plan 2007-2016[24]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂšglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 2] - [24] - [25] - [26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bellon.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 82,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 98 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 80 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 82 %, Ă  comparer aux 81 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[28].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Belunto en 1090[29], Belont en 1329[30].

    D'aprĂšs Dauzat, le nom pourrait venir du gaulois bel-, clair, et suffixe -ont-, -unt-, mais pourrait ĂȘtre une mauvaise latinisation[31]. D'aprĂšs Dottin, le nom serait issu de *Belodunum, « ville forte », Bellon Ă©tant sur une hauteur relative[32] - [33].

    Histoire

    Aucun site archéologique est mentionné sur la commune[34].

    Administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1987 2008 Henri Renaudin
    2008 2020 Jean-Luc Tachet SE Électricien
    2020 En cours Philippe Vigier

    DĂ©mographie

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 140 habitants[Note 3], en diminution de 12,5 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    537504514586572545571510510
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    375462451420420419392356386
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    371349291264248254265240205
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    176157179156152180186167160
    2019 2020 - - - - - - -
    141140-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  18,4 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 46,1 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,3 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 76 hommes pour 72 femmes, soit un taux de 51,35 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    5,6
    90 ou +
    2,9
    11,1
    75-89 ans
    15,9
    26,4
    60-74 ans
    30,4
    30,6
    45-59 ans
    23,2
    8,3
    30-44 ans
    8,7
    8,3
    15-29 ans
    5,8
    9,7
    0-14 ans
    13,0
    Pyramide des ùges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    Agriculture

    La commune fait partie de l'aire d'origine contrÎlée du Cognac « Bons Bois »[41] et de l'AOP Noix du Périgord[42].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Pierre.

    L'église paroissiale Saint-Pierre était à son origine au XIIe siÚcle le siÚge d'une cure du diocÚse de Périgueux. Elle a été remaniée aprÚs les dégùts des guerres de religion au XVIe siÚcle et présente une nef à travée unique. Elle a été revoûtée à la fin du XIXe siÚcle, ainsi que le clocher qui a été remonté en 1895[43].

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre VĂ©ry, romancier et scĂ©nariste, nĂ© Ă  Bellon le 17 novembre 1900 et mort Ă  Paris le 12 octobre 1960.

    HĂ©raldique

    Bellon
    Blason de Bellon Blason
    Losangé d'or et d'azur; au chef de gueules.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mĂštres minimum de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Bellon » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous GĂ©oportail
    4. Carte du BRGM sous GĂ©oportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
    8. « Fiche communale de Bellon », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. Sandre, « la Tude »
    10. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur https://eau-grandsudouest.fr (consulté le )
    12. [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    13. Carte du site « VallĂ©e de la Tude », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    14. [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    15. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Bellon », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « ArrĂȘtĂ© portant classement de massifs forestiers et obligation de dĂ©broussaillement. », sur www.charente.gouv.fr, (consultĂ© le )
    26. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bellon », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    29. Jean Nanglard, PouillĂ© historique du diocĂšse d'AngoulĂȘme, t. III, AngoulĂȘme, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 115
    30. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, Ă©vĂȘque d'AngoulĂȘme [« Liber feodorum »], t. 5, SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique de la Charente, (1re Ă©d. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 217
    31. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 70.
    32. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
    33. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    34. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 57
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bellon (16037) », (consultĂ© le ).
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Charente (16) », (consultĂ© le ).
    41. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    42. « Délimitation géographique de l'AOP Noix du Périgord », sur www.noixduperigord.com, (consulté le )
    43. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimĂ© Ă  Rioux-Martin, Le vent se lĂšve, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 67-68

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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