Courlac
Courlac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Courlac | |||||
Le bourg. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Charente | ||||
Arrondissement | AngoulĂȘme | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Lavalette Tude Dronne | ||||
Maire Mandat |
François Désiré Di Virgilio 2020-2026 |
||||
Code postal | 16210 | ||||
Code commune | 16112 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Courlacois | ||||
Population municipale |
57 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 8,7 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 18âČ 05âł nord, 0° 04âČ 45âł est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 139 m |
||||
Superficie | 6,58 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Tude-et-Lavalette | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Charente
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
GĂ©ographie
Localisation et accĂšs
Courlac est une petite commune rurale du Sud-Charente située à 4 km au nord de Chalais. Elle se trouve dans la vallée de la Tude, qu'emprunte la voie ferrée Paris-Bordeaux.
Elle est situĂ©e Ă 8 km d'Aubeterre, 12 km de Montmoreau et Ă 39 km au sud d'AngoulĂȘme[2].
Elle est traversĂ©e par deux routes dĂ©partementales, la D 140 qui va vers Chalais et qui passe au pied du bourg en longeant la voie ferrĂ©e, et la D 137 (Montboyer Ă Bonnes) qui coupe la vallĂ©e de la Tude au nord. La D 674, route d'AngoulĂȘme Ă Libourne, passe Ă 1,5 km Ă l'ouest du bourg[3].
La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER Ă destination d'AngoulĂȘme et de Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
L'habitat est trÚs dispersé et de nombreux hameaux composent la commune. Le bourg a l'importance d'un de ses hameaux, et la mairie est située chez Blanchet, à 2 km du bourg.
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
La commune est dans les coteaux du Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux qui occupe une grande partie du Sud Charente. La vallée de la Tude, à l'ouest, est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire[4] - [5] - [6].
Le point culminant de la commune est à une altitude de 139 m, situé en limite sud-est. Le point le plus bas est à 48 m, situé le long de la Tude en limite ouest. Le bourg, surplombant la vallée de la Tude, est à 80 m d'altitude[3].
RĂ©seau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Tude, le Guinelier, le ruisseau des Grands Prés et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8] - [Carte 1].
La Tude imite la commune à l'ouest. D'une longueur totale de 43,3 km, elle prend sa source dans la commune de Boisné-La Tude et se jette dans la Dronne dans la Dordogne, à Parcoul-Chenaud, aprÚs avoir traversé 15 communes[9].
Le Guinelier, petit affluent de la Tude sur sa rive gauche, limite la commune au sud. Sur la limite orientale coule du sud au nord un autre petit affluent, la Grande Fontaine, appelé aussi le ruisseau des Grands Prés[3].
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [11].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Natura 2000
Bordé à l'ouest par la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espÚces animales européennes menacées[12] - [13].
Seize espÚces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[12].
- un amphibien : le Sonneur Ă ventre jaune (Bombina variegata) ;
- un crustacĂ©, l'Ăcrevisse Ă pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- six insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), le Cerf-volant (mùle) ou la Grande biche (femelle) (Lucanus cervus), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- cinq mammifÚres : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et trois chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-six autres espÚces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.
ZNIEFF
à Courlac, sur un périmÚtre quasi identique à celui du site Natura 2000 ci-dessus, la vallée de la Tude fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[14] - [15].
Vingt-deux espÚces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[14] :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacĂ©, l'Ăcrevisse Ă pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptÚres : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laßches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifĂšres : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin Ă moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la SĂ©rotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pĂȘcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prĂ©s (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espÚces animales (quatre mammifÚres et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[14].
Urbanisme
Typologie
Courlac est une commune rurale[Note 1] - [16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (77,6 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (77,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (47 %), terres arables (26,7 %), forĂȘts (22,5 %), prairies (3,9 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Courlac est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 60 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 60 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 81 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].
Toponymie
Les formes anciennes attestées sont Curlac en 1083-1098, Corlac, Curlhac (non datés, avant XVe siÚcle)[26], Curlaco en 1178, Corlaco en 1215[27].
L'origine du nom de Courlac remonterait à un personnage gallo-romain Corleius (ou plutÎt Corellius d'aprÚs Dauzat) auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Corleiacum, ou « domaine de Corleius »[28] - [29].
Histoire
L'Ă©glise de Courlac Ă©tait au Moyen Ăge dans l'ancien diocĂšse de PĂ©rigueux[26].
Lors de la Révolution, la paroisse de Courlac, qui dépendait du marquis d'Aubeterre, a émis un cahier de doléances lors d'une assemblée le 8 mars 1789. La commune comptait alors 60 foyers[30].
Administration
DĂ©mographie
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[32].
En 2020, la commune comptait 57 habitants[Note 2], en augmentation de 3,64 % par rapport Ă 2014 (Charente : â0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 21 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 50,9 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,3 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 28 hommes pour 28 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
Agriculture
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrÎlée du cognac[37].
Lieux et monuments
- L'église paroissiale Saint-Georges, romane du XIIe siÚcle, coiffée d'un clocher pointu datant du XIXe siÚcle, est située au bourg. Le retable en bois date du XVIIe siÚcle. De nombreuses piÚces du mobilier ont été inscrits monument historique à titre objets en 2004[38].
- Le parc communal James-Petit, situé Chez Blanchet à la mairie, simple mais arboré et accueillant.
- L'Ă©glise.
- Le parc James-Petit.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Courlac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Carte du BRGM sous GĂ©oportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Courlac », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- Sandre, « la Tude »
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site « VallĂ©e de la Tude », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Courlac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Courlac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Paul-François-Ătienne Cholet (prĂ©f. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Ătienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 344
- Jean Nanglard, PouillĂ© historique du diocĂšse d'AngoulĂȘme, t. III, AngoulĂȘme, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 119
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 220.
- « Cahier de doléances de Courlac en 1789 », Histoire et Passion (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Courlac (16112) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Charente (16) », (consultĂ© le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- « Ăglise Saint-Georges », base Palissy, ministĂšre français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Mairie de Courlac (annuaire-mairie.fr)
- Catillus Carol, « Courlac », (consulté le )