Argagnon
Argagnon (en béarnais Arganhon ou Argagnoû) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Argagnon | |||||
L'Ă©glise Saint-Pierre. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Lacq-Orthez | ||||
Maire Mandat |
Gilles Leveque 2020-2026 |
||||
Code postal | 64300 | ||||
Code commune | 64042 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Argagnonais | ||||
Population municipale |
702 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 75 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 27âČ 27âł nord, 0° 40âČ 52âł ouest | ||||
Altitude | Min. 66 m Max. 209 m |
||||
Superficie | 9,33 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Orthez (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Orthez (commune de la couronne) |
||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Artix et Pays de Soubestre | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | https://www.argagnon.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune d'Argagnon se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 39 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 12 km d'Artix[3], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Orthez[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Maslacq (2,1 km), Sarpourenx (2,4 km), Castétis (2,9 km), Sarpourenx (3,4 km), Balansun (4,1 km), Castétis (4,3 km), MesplÚde (4,6 km), Castetner (5,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Argagnon fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un Ătat et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă laquelle sâoppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[5].
Hydrographie
La commune est drainée par le gave de Pau, le ruisseau de Clamondé et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-GÚdre et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il longe la commune sur son flanc sud-ouest et se jette dans l'Adour à Saint-Laurent-de-Gosse, aprÚs avoir traversé 88 communes[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[12] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[13] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lagor », sur la commune de Lagor, mise en service en 1962[14] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[15] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 111,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[16]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă 21 km[17], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[18], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[19], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[20].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[22] - [Carte 2] : le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique avec un systĂšme de saligues[Note 7] encore vivace[23].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[24] - [Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (3 000,84 ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[25].
Urbanisme
Typologie
Argagnon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [26] - [27] - [28]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Orthez, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[29] et 12 786 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[30] - [31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orthez dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[32] - [33].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (74,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (45,3 %), forĂȘts (21,5 %), prairies (17,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,1 %), zones urbanisĂ©es (5,2 %), eaux continentales[Note 11] (1,1 %)[34].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
- Arramoun[6]
- Arrigran[6]
- Arriscle[6]
- Arvélé[6]
- Audios[6]
- Baraten[6]
- Bataille[6]
- BernĂšs[6]
- Bouhaben[6]
- Cazenave[6]
- Cazot[6]
- ChĂąteau Champetier[6]
- Chou[6]
- Claverie[6]
- Clerc[6]
- Soum de Coste[6]
- Daubagna[6]
- Guillemet[6]
- HoundiĂšre[6]
- Jouanbayle[6]
- Lacamuse[6]
- Lachourute[6]
- LahoueillĂąde[6]
- Larréc[6]
- Larrus[6]
- LassĂšgue[6]
- Lasserre[6]
- Lescloupé[6]
- Lirou[6]
- Louncouat[6]
- Lourtas[6]
- Lourteigt[6]
- Marcerin[35] - [6]
- Marchand[6]
- Marquittou[6]
- Maysonnave[6]
- Mirabel[6]
- Momas[6]
- Mouillade[6]
- Moullié[6]
- Nicot[6]
- PĂ©dauque[6]
- Pehau[6]
- Pierre Grand[6]
- Poumé[6]
- Pradot[6]
- PuyĂŽo[6]
- Roc[6]
- Sabaté[6]
- Sarraillot[6]
- Sauvajunte[6]
- Tisné[6]
Voies de communication et transports
Argagnon est une station sans service voyageurs (gare marchandises ou gare de triage) sur la ligne de Toulouse Ă Bayonne.
La commune est desservie par la route départementale D 817 et par la route départementale N 275.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Argagnon est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă un risque particulier : le risque de radon[36]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[37].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue Ă dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment le gave de Pau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2013 et au titre des inondations par remontĂ©e de nappe en 2013[38] - [36].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[39]. 78,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 12] - [40].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Argagnon est classĂ©e en zone 2, Ă savoir zone Ă potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[41].
Toponymie
Le toponyme Argagnon apparaßt sous les formes Arganion (977[42] et XIe siÚcle[35], cartulaire de Bigorre[43] pour la deuxiÚme date), Argalhoo (1376[35], montre militaire de Béarn[44]), Arguanhoo (1385[35], censier de Béarn[45]), Arganhoo (1546[35], réformation de Béarn[46]), Argagnon sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siÚcle[47]) et Argagnon-Marcerin lors de sa réunion avec Marcerin le [35].
Son nom bĂ©arnais est Arganhon[48] ou ArgagnoĂ»[49]). Brigitte JobbĂ©-Duval[42] indique quâArgagnon a pour origine le nom du premier propriĂ©taire, Arcanius, et quâaugmentĂ© du suffixe -onem, le toponyme signifie donc âdomaine dâArcaniusâ.
Paul Raymond cite en 1863[35] un fief vassal de vicomté de Béarn, du nom de Castéra, déjà mentionné en 1538[35] sous la graphie Casterar (réformation de Béarn[46]).
Les Castets Ă©tait un Ă©cart dâArgagnon-Marcerin, citĂ© en 1779[35] par le terrier de Marcerin[50].
Marcerin est citĂ© sous les formes Marcerii (1345[35], notaires de Pardies[51]), MarsserĂŒ (1385[35], censier de BĂ©arn[45]), Marsery (1779[35], terrier de Marcerin[50]) et Marcery (1793[52] ou an II).
Histoire
En 1385, Argagnon et Marcerin dépendaient du bailliage de Pau[35]. Marcerin comptait à l'époque douze feux.
Les seigneurs d'Argagnon était la famille de Castéra[53] - [54]
Jusqu'en 1846 Argagnon fit partie du canton de Lagor[35]. La commune s'unit Ă Marcerin le pour former la commune dâArgagnon-Marcerin.
C'était, sous l'Occupation, un des postes de contrÎle officiels de la Ligne de démarcation.
Politique et administration
Liste des maires
Georges Vandesande a parrainé la candidature de Jacques Cheminade à l'élection présidentielle de 1995.
Intercommunalité
Argagnon appartient Ă cinq structures intercommunales[55] :
- la communauté de communes de Lacq-Orthez ;
- le syndicat dâĂ©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal dâArthez-de-BĂ©arn ;
- le syndicat intercommunal d'eau et d'assainissement gave et BaĂŻse ;
- le syndicat intercommunal de défense contre les inondations du gave de Pau.
Population et société
DĂ©mographie
En 1385, la commune comptait 9 feux[35]. Le nom des habitants est Argagnonais[56]. L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[58].
En 2020, la commune comptait 702 habitants[Note 13], en diminution de 2,77 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
La commune fait partiellement partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Sobriquet et dicton
DâaprĂšs Hubert Dutech[61], les habitants de Marcerin Ă©taient appelĂ©s perautucs, ce qui signifie âbenĂȘtsâ. Il cite Ă©galement le diction A Marcerin, n'i a glĂšisa ni mouli, mes que i a ua houratĂšra, oun lou diable apĂšra, ce qui signifie « Ă Marcerin, il n'y a ni Ă©glise, ni moulin, mais il y a une petite grotte d'oĂč le diable appelle ».
Patrimoine civil
Plusieurs camps prĂ©historiques ont Ă©tĂ© dĂ©couverts sur la commune, tĂ©moignant de son passĂ© ancien. Le plus important dâentre eux est le TuroĂ» de Dous Garos[61], qui sâĂ©lĂšve Ă 90 mĂštres. Des fossĂ©s lâentourent ainsi que trois remparts de terre. Des vestiges de l'Ăąge de fer y ont Ă©tĂ© dĂ©couverts. Le parc du chĂąteau actuel est situĂ© dans lâancienne castĂ©ra.
Patrimoine religieux
L'Ă©glise Saint-Pierre[62] datant de 1866, fut construite sur des vestiges provenant du XIe siĂšcle. Elle est inscrite Ă lâInventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel.
Personnalités liées à la commune
- nées au XVIIIe siÚcle
- Raymond Larrabure, né en 1797 à Saint-Jean-Pied-de-Port et décédé en 1875 à Argagnon, est un homme politique français.
- nées au XIXe siÚcle
- Henry de PĂšne, nĂ© en 1830 Ă Paris et dĂ©cĂ©dĂ© en 1888 dans cette mĂȘme ville, est un Ă©crivain et journaliste français. Henry de PĂšne se fit aussi appeler Henry de PĂšne d'Argagnon, du nom du chĂąteau que possĂ©dait son pĂšre Ă Argagnon.
- nées au XXe siÚcle
- Robert SarrabĂšre, nĂ© en 1926 Ă Argagnon, est un Ă©vĂȘque catholique français, Ă©vĂȘque d'Aire et Dax jusqu'Ă son dĂ©part Ă la retraite en 2002. Du 9 janvier au 2 septembre 2007, il est au service du diocĂšse de Montauban comme administrateur apostolique pendant la pĂ©riode de transition dâun Ă©vĂȘque Ă lâautre.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Page de la commune d'Argagnon sur le site de la communauté de communes d'Arthez-de-Béarn
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[21].
- La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Argagnon » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Argagnon », sur www.geoportail.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Argagnon », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune d'Argagnon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Argagnon et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Argagnon et Artix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Argagnon », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale d'Argagnon », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le gave de Pau ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Lagor - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Argagnon et Lagor », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lagor - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Argagnon et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Argagnon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Argagnon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Orthez », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Orthez », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque
- « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Argagnon », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
- Cartulaire de Bigorre - Manuscrit du XVe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Manuscrit de 1376 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siÚcle ».
- Michel Grosclaude (prĂ©f. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du BĂ©arn, Pau, EscĂČla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)..
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- Manuscrit du XVIIIe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Notaires de Pardies - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Marcerin », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le )..
- Revue de Pau et du Béarn, Numéros 10-11 Par Société des sciences, lettres et arts de Pau
- Armorial français: Cabaumont-Cordes Par J. H. Willems, H. Lamant, Jean-Yves Conan
- Cellule informatique préfecture 64, « Intercommunalité des Pyrénées-Atlantiques » (consulté le ).
- Gentilé sur habitants.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Hubert Dutech, Lo Noste Béarn, Monhélios, (ISBN 978-2-914709-18-7).
- « L'église Saint-Pierre », notice no IA64000509, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.