Ansignan
Ansignan est une commune française située dans le nord du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly.
Ansignan Ansinhan | |||||
La rue principale du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades[1] | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Agly-Fenouillèdes | ||||
Maire Mandat |
Jean-Philippe Struillou 2020-2026 |
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Code postal | 66220 | ||||
Code commune | 66006 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ansignanais | ||||
Population municipale |
166 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 45′ 43″ nord, 2° 30′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 155 m Max. 583 m |
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Superficie | 7,84 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | La Vallée de l'Agly | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Agly, la Desix, la Rivérole et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Ansignan est une commune rurale qui compte 166 habitants en 2020. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Ansignanais ou Ansignanaises.
Géographie
Localisation
La commune d'Ansignan se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 32 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 18 km de Prades[3], sous-préfecture, et à 29 km de Rivesaltes[4], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Trilla (2,4 km), Saint-Arnac (2,4 km), Feilluns (2,6 km), Pézilla-de-Conflent (3,7 km), Lansac (3,7 km), Lesquerde (4,6 km), Saint-Martin-de-Fenouillet (4,8 km), Prats-de-Sournia (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Ansignan fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[6].
- Situation de la commune (en vert) relativement au département.
- Situation d'Ansignan.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 784 hectares. L'altitude varie entre 155 et 583 mètres[8]. Le centre du village est à une altitude de 245 m[9].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[10].
Hydrographie
Le village est situé sur une colline, dominant la vallée de l'Agly. La Desix, venue de Sournia, en est un affluent. C'est au confluent de ces deux cours d'eau que naît le barrage sur l'Agly.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[11].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sournia », sur la commune de Sournia, mise en service en 1967[16] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[17] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 735,6 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 32 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[20], à 15,7 °C pour 1981-2010[21], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[22].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[23] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[24].
Urbanisme
Typologie
Ansignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [25] - [I 2] - [26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (66,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,5 %), cultures permanentes (14,9 %), zones agricoles hétérogènes (12,8 %), eaux continentales[Note 8] (1,2 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
L'essentiel des zones urbanisées est situé entre la rive droite de l'Agly et la rive gauche de la Désix[7].
Logement
Ansignan comprend en 2009 157 logements, parmi lesquels 55,4 % sont des résidences principales, 41,3 % sont des résidences secondaires et 3,3 % sont vacants. 73,3 % des ménages sont propriétaires de leur logement[I 5].
Voies de communication et transports
Accès par :
- Saint-Paul-de-Fenouillet en suivant la D 619 ;
- Estagel en suivant la D 9 qui traverse Latour-de-France, Planèzes et Rasiguères ;
- Ille-sur-Têt en suivant la D 2 puis la D 21 traversant Bélesta et Caramany.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ansignan est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[28] - [29].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de l'Agly[30].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[31]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[32]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[33].
- Carte des zones inondables.
- Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Ansignan est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[34].
Toponymie
- Formes du nom
Les anciennes mentions du nom donnent Villa Ansiniano (1012), Anciyas (1395) et Ansinhan (XVIIe siècle)[9]. La forme Ansignan apparaît au XVIIIe siècle[35].
Le nom de la commune est Ansinhan en occitan et Ansinyà en catalan[35].
- Étymologie
Le nom d'Ansignan vient probablement du propriétaire d'un domaine romain, Ancinius ou Ansinius, suivi du suffixe -anum[35].
Histoire
La présence du pont-aqueduc, dont les fondations pourraient dater du IIIe siècle apr. J.-C. (220-270), permet de supposer une présence romaine. Plusieurs monnaies anciennes ont été retrouvées, datant notamment de la Narbonne pré-romaine, ainsi qu'un denier de 46 av. J.-C.[9].
L'église pré-romane, située au lieu-dit « le Moulin » (près du confluent de l'Agly et de la Désix), marque l'ancien emplacement du village. Sa construction date des alentours du IXe siècle ou du Xe siècle. Elle est dédiée à Saint-Nazaire et Saint-Celse. Les habitants se sont déplacés sur la colline, à quelques centaines de mètres, pour éviter semble-t-il les crues répétées de la rivière proche. Une porte fortifiée romane, marque d'une ancienne fortification, situe la naissance du nouveau village autour du XIIIe siècle.
Du XIVe siècle jusqu'à la Révolution, la famille du Vivier possède la majeure partie du territoire. Après Antoine du Vivier, Pierre du Vivier est seigneur d'Ansignan en 1503. Puis en 1750, c'est au tour du sieur de Roquefort du Vivier, doyen du chapitre de Saint-Paul-de-Fenouillet.
Politique et administration
Canton
En 1790, la commune d'Ansignan est rattachée au canton de Saint-Paul, renommé plus tard canton de Saint-Paul-de-Fenouillet, qu'elle ne quitte plus par la suite[36] - [8].
À compter des élections départementales de 2015, la commune d'Ansignan rejoint le nouveau canton de la Vallée de l'Agly.
Administration municipale
L'équipe municipale comprend en 2014 onze élus : sept hommes (le maire, deux adjoints et quatre conseillers municipaux) et quatre femmes (quatre conseillères municipales)[37].
Liste des maires
Politique environnementale
La commune pratique le tri sélectif des déchets. La déchèterie la plus proche est située à Lesquerde[42].
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].
En 2020, la commune comptait 166 habitants[Note 9], en diminution de 11,7 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
La première moitié du XIXe siècle est marquée par une augmentation de la population, avec un maximum de 317 habitants en 1831. En 1901, le village compte encore 300 habitants. Pour l'essentiel des habitants, le travail de la terre est la principale activité.
Le XXe siècle voit un lent déclin démographique. On ne compte plus que 225 habitants en 1962, et la population de la commune paraît durablement établie en dessous de la barre des 200 habitants. Mais elle n'a pas connu le déclin catastrophique atteint par les autres communes du Fenouillèdes.
Enseignement
Ansignan dispose d'une école maternelle et élémentaire publique, pour un effectif de 24 élèves[51].
Manifestations culturelles et festivités
Santé
Les services de santé ainsi que la pharmacie les plus proches sont situés à Saint-Paul-de-Fenouillet[53].
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 82 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 159 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 15 660 €[I 6] (19 350 € dans le département[I 7]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 8] | 11,6 % | 10,8 % | 21 % |
Département[I 9] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 101 personnes, parmi lesquelles on compte 73 % d'actifs (52 % ayant un emploi et 21 % de chômeurs) et 27 % d'inactifs[Note 11] - [I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2] - [I 11]. Elle compte 25 emplois en 2018, contre 29 en 2013 et 28 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 52, soit un indicateur de concentration d'emploi de 48,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,7 %[I 12].
Sur ces 52 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 75 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8 % les transports en commun, 17,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
On trouve sur la commune de nombreux vestiges anciens[9].
- Le dolmen de la Rouyre ;
- Le pont-aqueduc d'Ansignan : d'origine romaine et médiévale, qui enjambe l'Agly, au nord du village ;
- Ruines de l'ancienne église Saint-Nazaire-et-Saint-Celse, préromane ;
- Ruines de l'ancien pont médiéval, situé près de l'église préromane ;
- Ruines du château des Albas (XIe et XIIe siècles) et de son église (XIIIe siècle) : placé au sommet d'un rocher dominant la rivière et aujourd'hui réduit à une tour, sa fonction d'origine est inconnue, étant situé trop bas pour communiquer avec les tours à signaux du Fenouillèdes, par exemple[55] ;
- L'église paroissiale Saint-Nazaire-et-Saint-Celse du XVIIe siècle, contenant une chaire de la même époque et diverses statues du XVIIIe siècle[52].
Équipements culturels
La commune possède une ludothèque associative. La bibliothèque est ouverte tous les jours (horaire d'ouverture du secrétariat de mairie) et se situe à la Mairie.
Héraldique
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Les armes peuvent se blasonner ainsi : De gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or (croix occitane); au chef d'or chargé d'un aqueduc d'argent de neuf arches de sable, surmonté de l'inscription « Centre du Fenouillèdes » en lettres du même[56]. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ansignan », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Ansignan sur le site de l'Institut géographique national
- Site de la mairie
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune d'Ansignan » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Perpignan » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- Fiche Insee 2009
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Ansignan » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Ansignan » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Ansignan » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- « Modification des limites territoriales des arrondissements », Préfet des Pyrénées-Orientales.
- Stephan Georg, « Distance entre Ansignan et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ansignan et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ansignan et Rivesaltes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Ansignan », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 203-204.
- Carte IGN sous Géoportail.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ansignan », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sournia - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ansignan et Sournia », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sournia - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ansignan et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Ansignan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
- « Les risques près de chez moi - commune d'Ansignan », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Ansignan », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », (consulté le )
- Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p..
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- Site de la mairie, section L'équipe municipale
- MairesGenWeb
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Ansignan, 18 juin 1815, 11 janvier 2014
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
- Site de la mairie, section Urbanisme et environnement
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Ministère de l'Éducation nationale, École élémentaire d'Ansignan
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- Site de la mairie, section Services
- Site de la mairie, section Vie associative
- Annie de Pous, Le Pays et la Vicomté féodale de Fenollède : du VIIIe au XIVe siècle, Paris, Roudil, coll. « La Grande et la petite histoire des communes françaises », , 167 p. (BNF 35318016).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).