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Yvrac-et-Malleyrand

Yvrac-et-Malleyrand est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Yvrac-et-Malleyrand
Yvrac-et-Malleyrand
L'église d'Yvrac et le pont sur le Margot.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Emmanuel Jouassin
2020-2026
Code postal 16110
Code commune 16425
Démographie
Gentilé Yvracois
Population
municipale
559 hab. (2020 en augmentation de 5,67 % par rapport à 2014)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 03″ nord, 0° 26′ 55″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 318 m
Superficie 18,90 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Yvrac-et-Malleyrand
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Yvrac-et-Malleyrand
Liens
Site web www.yvracetmalleyrand.com

    Ses habitants sont les Yvracois et les Yvracoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Yvrac-et-Malleyrand est une commune située à km à l'est de La Rochefoucauld et 25 km à l'est d'Angoulême.

    Assez grande, sa forme est assez découpée et encercle à l'ouest la commune de Marillac-le-Franc.

    Le bourg d'Yvrac où est situé la mairie est aussi à km au sud de Chasseneuil, km à l'ouest de MontembÅ“uf, et 10 km au nord-ouest de Montbron[2].

    La principale route de la commune est la D 13, qui va de La Rochefoucauld à Rochechouart, et qui la coupe d'ouest en est. Yvrac se trouve à 0,5 km au nord de celle-ci, et Malleyrand à km au sud. La commune est aussi traversée du nord au sud par la D 62, qui relie Chasseneuil à Montbron par Orgedeuil; elle relie aussi Yvrac et Malleyrand. De nombreuses autres petites routes, communales, sillonnent aussi la commune pour en relier les différents hameaux[3].

    Hameaux et lieux-dits

    Le bourg d'Yvrac est assez petit, et il est de même taille que les hameaux de la commune.

    Malleyrand est situé à 3,5 km au sud-est d'Yvrac. Beaumont est situé à l'ouest d'Yvrac. La Braconne d'Yvrac est situé à l'est de la commune, sur la D 13.

    D'autres hameaux moins importants composent la commune: Lascoux, Chez Gacon, Miaulant, la Ménardie, le Pompinaud, Champagnac, la Joubertière, Lidrat, Sainsac, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Yvrac-et-Malleyrand
    Taponnat-Fleurignac Saint-Adjutory
    Marillac-le-Franc Yvrac-et-Malleyrand Mazerolles
    Saint-Sornin Orgedeuil

    Géologie et relief

    La commune est à cheval entre le karst de La Rochefoucauld pour sa moitié ouest, et le flanc du massif de l'Arbre, premier mont du Massif central en venant de l'océan, sur sa moitié est.

    Le sol est principalement composé de coulées d'origine tertiaire, altérite, argile rouge et sableuse à silex, calcaire du Jurassique inférieur, sauf dans les vallées (dépôt alluvionnaire)[4] - [5] - [6].

    Le terrain est fortement incliné vers l'ouest, et le point culminant se trouve naturellement au sud-est de la commune sur la crête élevée de Saint-Sornin à Mazerolles et en limite de la commune d'Orgedeuil, et il atteint 318 m. Le point le plus bas est à 109 m, situé sur la limite occidentale (près du pont de la Margot sur la D 13). Le bourg d'Yvrac est à 145 m d'altitude, la Braconne à 220 m et Malleyrand à 190 m[3].

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier d'Yvrac-et-Malleyrand.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Bellonne, la Ligonne, la Margot et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Le sud de la commune est traversé par la Ligonne, qui y prend sa source, passe au pied de Malleyrand. Ce ruisseau est un affluent de la Tardoire, mais il se perd dans des gouffres karstiques avant.

    Le Margot, affluent de la Ligonne, passe au pied du bourg d'Yvrac. Il se perd aussi dans des gouffres avant d'atteindre la commune de Marillac-le-Franc. Il est formé à l'est du bourg par deux ruisseaux : le ruisseau de la Braconne et celui de la Ménardie[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en Å“uvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. L'est de la commune, plus élevé en altitude à cause du relief du massif de l'Arbre, est océanique dégradé. Il est plus arrosé et les hivers y sont plus frais. Ce sont les Terres froides de la Charente.

    Végétation

    La commune est assez peu boisée, sauf sur quelques flancs de vallées assez abrupts.

    Les plateaux sont surtout cultivés, céréales et parfois quelques vignes. À l'est où le terrain est plus pentu et plus arrosé, les prés sont propices à l'élevage de vaches limousines.

    Urbanisme

    Typologie

    Yvrac-et-Malleyrand est une commune rurale[Note 1] - [11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12] - [13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14] - [15].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (27,2 %), terres arables (25,3 %), forêts (24,2 %), prairies (23,3 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Yvrac-et-Malleyrand est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Yvrac-et-Malleyrand.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 290 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 290 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

    Toponymie

    Les formes anciennes d'Yvrac sont Yvraco, Hyvrac, Hyvraco vers 1300[22].

    Le nom de Malleyrand est attesté par la forme ancienne Malleram (non datée, Moyen Âge)[23].

    L'origine du nom d'Yvrac remonterait à un nom de personne gallo-romain Eburius, dérivé du gaulois Eburos, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Eburiacum, « domaine d'Eburius »[24] - [25].

    Le nom de Malleyrand aurait une origine gauloise : Melloranda, le « domaine sur la colline ». Mello-, "colline" et -randa, "partie", sont des termes de noms gaulois[26].

    La commune est créée Yvrac en 1793, et devient Yvrac et Malleran en 1801, avant de devenir Yvrac-et-Malleyrand au cours du XIXe siècle[27]. Ces noms sont orthographiés Yvrac et Mallerant sur les cartes de Cassini (1750) et d'État-Major (1850)[28].

    Dialecte

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[29]. Elle se nomme Ivrac-e-Maleirand en occitan[30].

    Histoire

    La découverte d'un aqueduc en terre cuite, briques et tegulae près de la Joubertière, datant probablement de l'époque romaine, atteste l'ancienneté de l'occupation[31].

    Les registres de l'état civil d'Yvrac remontent à 1613.

    La paroisse de Malleyrand était le siège d'une commanderie de Templiers fondée au XIIe siècle.

    Sous l'Ancien Régime, Malleyrand était un ex-fief de la seigneurie de Montbron. Au XVIIe siècle, elle était possédée par Pierre du Souchet, avant de passer par mariage en 1647 à René Perry, écuyer, seigneur de Mareuil, ce qui a donné naissance à la branche Perry de Malleyrand[32] - [Note 2].

    Juste après la Révolution, en 1791, les paroisses d'Yvrac et de Malleyrand sont unies pour former la commune actuelle[33] - [27].

    Au début du XXe siècle, une importante carrière d'argile située à Sainsac dans le nord-est de la commune alimentait la tuilerie de Péruzet près de La Rochefoucauld par une voie ferrée métrique de km de long. L'industrie communale était aussi représentée par une scierie mécanique et un moulin situés dans ce même lieu-dit[34]. De petites tuileries ont aussi existé au XIXe siècle sur la commune (Lidrat, Mallerand)[3].

    Administration

    La mairie à Yvrac.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2001 Guy Robert FORT SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2014 Serge Frugier SE Retraité
    2014 mai 2020 Serge Geiger SE
    mai 2020 En cours Emmanuel Jouassin SE Cadre de la fonction publique

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

    En 2020, la commune comptait 559 habitants[Note 3], en augmentation de 5,67 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    9001 0339771 0399521 0751 0671 052991
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    962920875921952962914824775
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    754725748682653623602569506
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    481420403432465515530523554
    2020 - - - - - - - -
    559--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,3 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 280 hommes pour 274 femmes, soit un taux de 50,54 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,4
    90 ou +
    1,8
    7,9
    75-89 ans
    9,1
    20,4
    60-74 ans
    20,1
    21,1
    45-59 ans
    20,8
    17,5
    30-44 ans
    19,7
    12,5
    15-29 ans
    13,5
    19,3
    0-14 ans
    15,0
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Remarques

    Depuis 1982 la population est en hausse légère mais constante de par la proximité de La Rochefoucauld et d'Angoulême.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école publique est un RPI entre Marillac-le-Franc et Yvrac-et-Malleyrand. Marillac accueille l'école élémentaire et Yvrac-et-Malleyrand l'école primaire. L'école communale, située au bourg d'Yvrac, comprend deux classes de maternelle et une classe d'élémentaire. Le secteur du collège est La Rochefoucauld[40].

    Lieux et monuments

    Commanderie de Malleyrand

    L'ancienne commanderie templière Saint-Jean-Baptiste, située près de Malleyrand, date du XIIe siècle. Sa voûte d'origine a été remplacée par un plafond lambrissé vers 1980. Elle est classée monument historique depuis 1994[41].

    Église Saint-Vivien

    L'église paroissiale Saint-Vivien, située au bourg d'Yvrac, est datée de la fin du XIIe siècle. Elle possède une demi-coupole caractéristique couverte de dalles calcaires[42].

    • Malleyrand, ancienne chapelle des Templiers.
      Malleyrand, ancienne chapelle des Templiers.
    • L'église d'Yvrac et sa coupole en lauses.
      L'église d'Yvrac et sa coupole en lauses.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Une autre branche de la famille Perry a été celle de Nieuil.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique d'Yvrac-et-Malleyrand » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale d'Yvrac-et-Malleyrand », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. « Les risques près de chez moi - commune d'Yvrac-et-Malleyrand », sur Géorisques (consulté le )
    18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Yvrac-et-Malleyrand », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 168,186,281
    23. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 119
    24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 278.
    26. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Cartes de Cassini et d'État-Major sous Géoportail
    29. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    30. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    31. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 159
    32. Jean-Marie Ouvrard, « Blasons de Charente - Famille Perry, branche de Malleyrand », (consulté le )
    33. Communauté de Communes Bandiat-Tardoire, « Origines d'Yvrac-et-Malleyrand », (consulté le )
    34. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 417
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Yvrac-et-Malleyrand (16425) », (consulté le ).
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    40. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    41. « Chapelle de Malleyrand », notice no PA00132881, base Mérimée, ministère français de la Culture
    42. Communauté de Communes Bandiat-Tardoire, « L'église d'Yvrac », (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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