Yport
Yport est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Yport | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Le Havre | ||||
Intercommunalité | CA Fécamp Caux Littoral Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Christophe Dubuc 2020-2026 |
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Code postal | 76111 | ||||
Code commune | 76754 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Yportais | ||||
Population municipale |
718 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 347 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 44âČ 19âł nord, 0° 18âČ 50âł est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 96 m |
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Superficie | 2,07 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Aire d'attraction | FĂ©camp (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de FĂ©camp | ||||
LĂ©gislatives | 9e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | https://www.ville-yport.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Description
Yport est une commune littorale normande située à une trentaine de kilomÚtres au nord-est du Havre, sur le littoral de la Manche.
La commune est desservie plusieurs fois par jour par la ligne de bus régionale no 24 reliant Le Havre à Fécamp.
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
Yport se situe en zone de sismicité 1 (sismicité trÚs faible)[1].
Hydrographie
A quelques centaines de mĂštres Ă lâEst de la plage dâYport sur lâestran se trouvent des resurgences dâeau douce de type karstiques[2]. Elle sont appelĂ©es « Fontaines dâYport » et sont visibles Ă marĂ©e basse.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[9] et qui se trouve Ă 11 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 109,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă 75 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 10,5 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 11 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Yport est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fécamp, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].
La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (47,5 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (47,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (47,5 %), forĂȘts (34 %), zones urbanisĂ©es (16,6 %), zones humides cĂŽtiĂšres (1,9 %)[24].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[25].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Isport en 1217 puis vers 1262 ; Ipport en 1461-62 ; et enfin Yport en 1552[26].
Le second élément -port vient bien du français port qui désigne bien un port comme l'atteste d'ailleurs la notation de 1217 : portus de Isport « port d'Yport »[26].
Le premier Ă©lĂ©ment est peut-ĂȘtre un anthroponyme comme dans Vatteport (Vateport 1616) Ă Vatteville (Eure, Watevilla 1086). Cependant, les formes sont peu anciennes et pas assez caractĂ©risĂ©es[27] pour rĂ©vĂ©ler la nature de l'Ă©lĂ©ment Is- rĂ©current jusqu'au XVIe siĂšcle[26]. Il y a en effet plusieurs possibilitĂ©s : la Haute-Normandie est caractĂ©risĂ©e par un phĂ©nomĂšne secondaire qui affecte le groupe Wi- initial qui se rĂ©duit Ă I- / Y-[28] dĂšs le XIIIe siĂšcle. D'autre part, le second Ă©lĂ©ment des noms de personnes germaniques occidentaux et nordiques a tendance Ă s'amuĂŻr devant un appellatif toponymique, comme ici -port. Un composĂ© de type scandinave *Isulfr / ĂsĂłlfr / Ăsolfr[29] pourrait convenir, en admettant une chute prĂ©coce de l'Ă©lĂ©ment -ou dans *Isouport > *Iseport > Isport, bien que cet anthroponyme ne semble pas attestĂ© ailleurs en Normandie. Cette chute de la finale -ou (< -olfr / ulfr) est possible au dĂ©but du XIIIe siĂšcle[30] cf. Gonneville-sur-Dives (Gunnolvilla en 1135 ; Gonnouvilla en 1198 ; Gonnevilla au XIVe siĂšcle[31]), sur nom de personne norrois Gunnulfr/ GunnĂłlfr.
Histoire
Le site fut probablement occupé durant la période néolithique. Il fut habité, aprÚs le IVe siÚcle av. J.-C., par les CalÚtes.
Durant l'Ă©poque romaine, une voie romaine reliant FĂ©camp Ă Ătretat passait Ă lâactuel lieu-dit du Fond Pitron, d'oĂč partait une bifurcation vers le village. L'actuelle D 940 a repris le tracĂ© de cette voie romaine. La prĂ©sence d'indigĂšnes gallo-romains a Ă©tĂ© Ă©tablie par diffĂ©rentes fouilles archĂ©ologiques mais rien ne prouve que l'habitat Ă©tait permanent et il s'agissait peut-ĂȘtre seulement d'un site de pĂȘche.
L'habitat permanent Ă Yport n'est avĂ©rĂ© qu'Ă partir du haut Moyen Ăge sous le nom de Isport. Le village dĂ©pend alors de Criquebeuf-en-Caux, oĂč se trouvaient l'Ă©glise, le cimetiĂšre et l'Ă©cole, Ă deux kilomĂštres d'Yport.
Ce n'est qu'au XIXe siÚcle que la commune d'Yport existera en tant que telle, avec notamment la construction de l'église. La commune d'Yport est créée officiellement le et son premier maire est Jean-Baptiste Feuilloley.
Le XIXe siĂšcle marque aussi le dĂ©but de l'essor de la pĂȘche qui entraĂźne l'arrivĂ©e de nouveaux habitants. La population atteint 1 800 habitants. Le front de mer Ă©volue beaucoup durant cette pĂ©riode : rampe en 1842, Ă©pi en 1858, chenal en 1873, corps de garde (dĂ©truit en 1905), plate-forme d'artillerie. Port dâĂ©chouage, le front de mer est marquĂ© par la prĂ©sence de cabestans, de caĂŻques et de caloges (anciennes caĂŻques renversĂ©es servant de rĂ©serve).
C'est aussi au XIXe siĂšcle que la mode des bains apparaĂźt, et Yport n'y Ă©chappe pas.
En 1849 puis en 1884, le village est touché par une épidémie de choléra.
Actuellement, si la pĂȘche a disparu, comme partout sur la CĂŽte d'AlbĂątre (les derniĂšres caĂŻques sont dĂ©sarmĂ©es dans les annĂ©es soixante) l'aspect du village n'a que trĂšs peu changĂ©. Seul le front de mer a subi de notables Ă©volutions avec la construction du Casino Groupe Tranchant, et de l'activitĂ© liĂ©e au tourisme estival. Un grand parking a remplacĂ© les caloges.
Yport avait son propre idiome, quasiment Ă©teint Ă lâheure actuelle, mais qui se caractĂ©risait par une grande diffĂ©rence avec celui parlĂ© Ă FĂ©camp.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1846. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[39].
En 2020, la commune comptait 718 habitants[Note 9], en diminution de 15,03 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Sports
- Tennis de table : le club US yportaise Tennis de table compte l'équivalent de 10 % de la population en nombre d'adhérents, jouant au niveau national depuis plus de quinze ans et au niveau professionnel en ProB depuis cinq ans.
Manifestations culturelles et festivités
- Retraite aux flambeaux le 13 juillet.
- FĂȘte de la mer et de la peinture le 15 aoĂ»t (messe, bĂ©nĂ©diction, procession des ex-voto, exposition de peintures, peintres et sculpteurs dans les rues et sur la plage, vente aux enchĂšres vers 17 h des Ćuvres effectuĂ©es dans la journĂ©e).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Falaises.
- Plage de galets, plage d'Ă©chouage, boutiques sur le front de mer.
- Commerces du front de mer
- Ăglise : construite Ă partir de 1838, elle ne sera terminĂ©e qu'en 1876 aprĂšs de nombreuses modifications. Ex-voto. La rĂ©novation intĂ©rieure est terminĂ©e et il est Ă nouveau possible de la visiter. Chemin de croix peint par Jef Friboulet (vers 1980).
- Ăglise d'Yport (1838).
- Ăglise d'Yport - dĂ©tails de la façade.
- La nef de l'Ă©glise ependant la fĂȘte de la mer 2017
- Vitrail et ex-voto
- Casino.
- Le Manoir Laurens de style néo-médiéval éclectique.
Personnalités liées à la commune
- Jules Diéterle (1811-1889), architecte, décorateur et peintre. Il fait construire en 1863, la villa « Les Charmilles » à Yport. à son décÚs, la villa est vendue en 1891 au peintre Albert Fourié.
- Jean-Paul Laurens (1838 - 1921), peintre, membre de l'Institut. En 1872, il achÚte à Yport une ancienne corderie qu'il fait transformer, le «Manoir Laurens». Il y travaille notamment son grand tableau pour le Panthéon à Paris : La Mort de sainte GeneviÚve. Une place de la ville porte son nom. Sa belle-fille est Yvonne Diéterle (1882-1974), petite-fille de Jules Diéterle.
- Paul-Alfred Colin (1838-1916), peintre de paysages et de marines, ancien prix de Rome, professeur de dessin Ă l'Ăcole Polytechnique, fils du 2e mariage d'Alexandre Colin (1798-1875). Il fait construire Ă Yport, la « Villa Colin ». Sa belle fille est Anne Henriette Ămilie DiĂ©terle (1876-1961), petite-fille de Jules DiĂ©terle[42].
- Albert Fourié (1854-1937), peintre, a peint un Repas de noces à Yport en 1886.
- Henry E. Burel (1883-1967), peintre, est venu peindre Ă Yport (dont une toile Marine Ă Yport - Barques de pĂȘche, 1947, conservĂ©e au MusĂ©e des PĂȘcheries de FĂ©camp.
- Jef Friboulet (1919-2003), peintre, a vécu et est décédé dans la commune.
- Maurice Boitel (1919-2007), peintre, est venu peindre à Yport dans les années 1970.
- Jean Recher (1924-2005), capitaine de grande pĂȘche et auteur du Grand MĂ©tier dont la famille est originaire d'Yport.
Yport dans les arts
- Littérature
- Yport est le lieu oĂč se passe l'action du roman Une Vie, de Guy de Maupassant
- Frédéric H. Fajardie, Un soir d'hiver à Yport (in Chrysalide des villes, Ed. Manitoba)[43]
- Georges Simenon, Maigret et la vieille dame (Ed. LGF)[43]
- Pierre Guyaut-Genon, Le Rivage des égarés[44]
- Yport sert de cadre Ă l'intrigue policiĂšre du roman N'oublier jamais de Michel Bussi, paru en 2014.
- Aristide Frémine, Un bénédictin (Ed. Cahiers culturels de la Manche)[43]
- Peinture
- Albert Fourié : Un Repas de noces à Yport (1887) - Musée des beaux-arts de Rouen.
- Pierre-Auguste Renoir (1883) : Marée basse à Yport - Musée de l'Hermitage
- Paul-Alfred Colin (1871) : La Plage d'Yport
DĂ©part des bateaux de pĂȘche Ă Yport
Maxime Maufra, 1900
MusĂ©e des Beaux-Arts (Boston)- TakeshirĆ Kanokogi (1907) : 'Plage en Normandie(Yport)
HĂ©raldique
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Les armes de la commune de Yport se blasonnent ainsi : |
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Pour approfondir
Bibliographie
- Marie-HĂ©lĂšne Desjardins, Des peintres au pays des falaises, Ă©ditions des falaises, 2004. (chapitre Yport pages 98 Ă 129)
- Annales du patrimoine de Fécamp, édition Fécamp Terre-Neuve, numéro spécial, no 13 - 2006.
Articles connexes
Liens externes
- Yport sur le site de l'Institut géographique national
- « La station balnéaire de Yport vers 1900 avec ses artistes et ses villas », sur Duboys Fresney
- « Dossier complet : Commune de Yport (76754) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Yport », Ma commune, MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La salle polyvalente de la commune porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Plan séisme
- BRGM, « Ătude hydrogĂ©ologique des fontaines dâYport », (consultĂ© le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Yport et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Yport et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Fécamp », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative Ă lâamĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Charles de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, Paris, 1982-1984, p. 1081.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 167.
- François de Beaurepaire, op. cit., p. 19
- Site de Nordic Names (anglais) : nom de personne Ăsolfr
- François de Beaurepaire, op. cit., p. 84
- Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados, Paris, 1883, p. 129
- « Le regard critique de Francis Grandguillot, ancien Ă©lu Ă Yport : Dans « Lâeffet maire », Francis Grandguillot raconte ses expĂ©riences de premier magistrat et dâadjoint Ă Yport », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « EntrĂ© au conseil municipal dâYport en 2001, lâancien commerçant et animateur socioculturel fut Ă©lu dâemblĂ©e adjoint. En janvier 2004, il succĂ©da au maire, Daniel Loisel, dĂ©cĂ©dĂ© subitement ».
- « Le village en effervescence », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « DĂšs samedi matin, dĂšs le conseil dâinstallation du nouveau maire, lâopposition entre ancienne et nouvelle Ă©quipe sâest fait sentir : alors quâAlain Charpy, tout fraĂźchement Ă©lu maire, proposait un poste de quatriĂšme adjoint issu de lâĂ©quipe de Christophe Dubuc, le maire sortant, ce dernier refusait la main tendue ».
- « Résultats municipales 2020 à Yport », sur lemonde.fr (consulté le ).
- « Ălections municipales 2020 : Alain Charpy laissera son fauteuil de maire dâYport en mars prochain », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Matthias ChaventrĂ©, « Municipales 2020 : Ă Yport, prĂšs de FĂ©camp, une liste constituĂ©e autour de lâancien maire Christophe Dubuc : Lâancien maire, actuel conseiller municipal, figure en tĂȘte de la liste « Nouvel Ă©lan pour Yport », Ă lâapproche dâune nouvelle Ă©chĂ©ance », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Matthias ChaventrĂ©, « Municipales 2020. Ă Yport, Christophe Dubuc aux manettes : LâĂ©lu retrouve le poste de maire quâil avait dĂ» quitter en 2014. Autour de lui, quatorze adjoints et conseillers issus de sa liste », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « La liste menĂ©e par Christophe Dubuc, maire de 2008 Ă 2014 et conseiller municipal dâopposition sortant, avait obtenu les quinze siĂšges Ă pourvoir ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Anne Henriette Ămilie DiĂ©terle, fille de Charles Jules DiĂ©terle artiste peintre et de Marie Louise Perrine Van Marcke de Lummen. Elle est nĂ©e dans le 9e arrondissement de Paris, le 11 septembre 1876. Elle Ă©pouse Laurent Alexandre Maurice Colin dans le 17e arrondissement de Paris, le 12 fĂ©vrier 1898. Anne DiĂ©terle meurt Ă Grisy-les-PlĂątres, le 18 aoĂ»t 1961.
- « Lettres Yportaises ».
- « Pierre Guyaut-Genon â Le rivage des Ă©garĂ©s ».