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Saint-LĂ©onard (Seine-Maritime)

Saint-Léonard est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Saint-LĂ©onard
Saint-LĂ©onard (Seine-Maritime)
La fontaine pleureuse.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité CA Fécamp Caux Littoral Agglomération
Maire
Mandat
Bernard Hoguet
2020-2026
Code postal 76400
Code commune 76600
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Léonardais
Population
municipale
1 702 hab. (2020 en diminution de 4,54 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 143 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 44â€Č 34″ nord, 0° 21â€Č 33″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 114 m
Superficie 11,92 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Fécamp
(banlieue)
Aire d'attraction FĂ©camp
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de FĂ©camp
LĂ©gislatives 9e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Liens
Site web https://www.saint-leonard.fr/

    GĂ©ographie

    Localisation

    Située à l'ouest de Fécamp, Saint-Léonard fait partie des communes de bord de mer de la CÎte d'Albùtre. La commune est accessible par la route départementale RD 940.

    Le territoire de la commune englobe entiĂšrement Yport et Criquebeuf-en-Caux, et a donc deux accĂšs Ă  la mer.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    La partie de la commune jouxtant la mer est formée de hautes falaises de craie, l'érosion est active et des éboulements se produisent réguliÚrement comme le [1].

    Hydrographie

    Il n'y a pas de cours d'eau connu traversant la commune de Saint-LĂ©onard.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 894 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[8] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 109,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  73 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-LĂ©onard est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de FĂ©camp, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[18] et 20 365 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de FĂ©camp dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (74 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (77,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (59,2 %), forĂȘts (14,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8 %), prairies (6,8 %), zones urbanisĂ©es (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (4,9 %), zones humides cĂŽtiĂšres (0,1 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Saint Léonard sur Fécamp en 1612[28], Saint Lyénart en 1697[29], Saint Léonard en 1715[30], Saint Léonard sur Fécamp en 1751[31].

    Hagiotoponyme faisant, certainement, allusion Ă  l'Ă©vĂȘque Saint Leudeuald (LĂ©odowald) d'Avranches (v. 540-v. 630), souvent nommĂ© par erreur Saint LĂ©onard[32].

    Au cours de la période révolutionnaire, la commune a porté le nom de Grainval-la-Montagne en 1789[33], Grainval étant le nom de sources locale.

    Histoire

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Grainval-la-Montagne[33].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    10 octobre 1863 Charles Dargent Cultivateur
    1863 Hamel
    15 janvier 1868 mai 1904 Louis-Philippe Lange
    (1831-1908)
    Cultivateur
    mai 1904 3 mars 1907 Théophile Basille
    (1826-1907)
    Décédé en fonction
    mai 1907 mai 1908 EugÚne Fréger
    mai 1908 Jean Liberge
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Bernard Malandain
    2014[34] En cours
    (au 10 août 2020)
    Bernard Hoguet Vice-prĂ©sident de la CA FĂ©camp Caux Littoral AgglomĂ©ration (2020 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[35] - [36]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[38].

    En 2020, la commune comptait 1 702 habitants[Note 8], en diminution de 4,54 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1761 2001 1081 1191 1491 1421 1131 0171 006
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0181 0581 0941 1101 0019991 023958978
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0391 0851 1411 0951 1921 2161 2741 2511 307
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 3121 3951 6271 6601 6801 6901 7661 8311 837
    2015 2020 - - - - - - -
    1 7521 702-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les enfants de Saint-Léonard commencent leur scolarité à l'école primaire de la commune, qui dispose de 6 classes[40], pour 142 élÚves[41].

    Cultes

    Charitons de Saint-Léonard lors du rassemblement annuel des confréries de charité du diocÚse d'Evreux à Verneuil-sur-Avre le 11 mai 2016.

    Saint-Léonard est une des rares paroisses du département ayant conservé une confrérie de charité. Les charitons, outre le chaperon, continuent à porter un surplis blanc lors des rassemblements et processions.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise avec une tour prĂšs du porche d'entrĂ©e.
    • Le chĂąteau des Hogues, situĂ© aux limites de Froberville et d'Yport (il est d'ailleurs frĂ©quemment, Ă  tort, localisĂ© sur cette derniĂšre commune). Il a Ă©tĂ© construit au dĂ©but du XXe siĂšcle par l'architecte Camille Albert (1852-1942) pour Henry Simon (1849-1932), armateur, propriĂ©taire du trois-mĂąts morutier Marie-Marguerite, dont la totalitĂ© de l'Ă©quipage Ă©tait yportais. Cousine des propriĂ©taires, Anita Conti y vint dans son enfance.

    C'est aujourd'hui une maison d'éducation spécialisée[42].

    Personnalités liées à la commune

    Masure Ă  Saint-LĂ©onard, 1880, tableau de Georges DiĂ©terle. musĂ©e des PĂȘcheries, FĂ©camp.
    • Plusieurs peintres, comme Jules DiĂ©terle et son fils Georges, rĂ©sidant dans les alentours ont frĂ©quentĂ© la commune dans les annĂ©es 1880, peignant les paysages et les fermes typiques cauchoises.
    • Charles Dargent

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Saint-LĂ©onard, 30 mĂštres de falaise s'Ă©croulent sur le site Tendanceouest.com.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Léonard et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Léonard et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Fécamp », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fécamp », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    23. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    24. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    28. Archives de Seine-Maritime II B 424.
    29. Archives de Seine-Maritime II B.
    30. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, page 912.
    31. Archives de Seine-Maritime C 1647.
    32. Elie Guéné (sous la direction d'), Tout sur la Manche, Coutances, Manche Tourisme, 1987, p. 164).
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. « Bernard Hoguet Ă©lu maire », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Bernard Hoguet, 1er adjoint sortant, (liste « Bien vivre Ă  Saint-LĂ©onard ») a Ă©tĂ© Ă©lu maire de Saint-LĂ©onard, vendredi dernier, par 13 voix devant le maire sortant Bernard Malandain de la liste « Nouvelles Énergies pour Saint-LĂ©onard » qui a obtenu 3 voix et celle de la tĂȘte de liste « Saint-LĂ©onard, aujourd’hui et demain », Jean-Luc Dron, qui obtenait 2 voix ».
    35. Matthias ChaventrĂ©, « Municipales 2020. Bernard Hoguet, candidat Ă  un second mandat Ă  Saint-LĂ©onard, prĂšs de FĂ©camp : Maire depuis 2014, Bernard Hoguet souhaite continuer Ă  la tĂȘte de la commune. Notamment pour poursuivre le projet centre-bourg », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    36. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. site de l'Ă©cole primaire
    41. fiche de l'Ă©cole sur le site de l'Ă©ducation nationale
    42. « chùteau des Hogues », sur Manoirs du Pays de Caux, (consulté le ).
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